DÉCOMPTE REPORT.. TRAVAUX DE MISE EN PLACE 1 Provenance des graines ....... Provenance des plants ou des boutures:.... Age et dimension des plants:..... Mise en place :. . . . . . Date d'exécution:. Méthode employée:... Nombre de journées consacrées à cette opération:... Reprise..... TRAVAUX D'IRRIGATION ET DE DRAINAGE Travaux de drainage:... Nombre de journées consacrées à ce travail et prix de revient : Nombre de journées consacrées à cette opération et prix de TRAVAUX DIVERS Nombre de journées consacrées à chacun et prix de revient : 1. Dire leur qualité, nom de la variété, etc. 2. Indiquer avec soin tous les renseignements complémentaires qu'il paraitra utile de signaler: but poursuivi, le plan de l'expérience, les instructions reçues, etc. 1 1° Soins donnés aux abris et date d'exécution :.. Nombre de journées consacrées à ce travail et prix de revient 2:.. 2o Nettoyages, sarclage et date d'exécution:.... Nombre de journées consacrées à ce travail et prix de 3o Labours, binages et date d'exécution':..... Nombre de journées consacrées à ce travail et prix de 4o Travaux de taille et date d'exécution :. .. Nombre de journées consacrées à ce travail et prix de 5o Maladies ou insectes: Remède ou traitement employé et Nombre de journées consacrées à ce travail et prix de 6o Travaux de remplacement et date d'exécution ':.... Provenance des plants:.... Age et taille des plants:.. Nombre de journées consacrées à ce travail et prix de 7° Fumures et date d'exécution': ... Nature et provenance de l'engrais: Dose employée par unité de surface:.... Nombre de journées consacrées à ce travail et prix de 8 Travaux d'irrigation, de drainage et date d'exécution': 9° Travaux divers et date d'exécution: . . . . Nombre de journées consacrées à chacun de ces travaux II. — TRAVAUX DE RÉCOLTE ET DE PRÉPARATION Travaux de récolte commencés le.... . . . . . . ., finis le........... Quantité récoltée dans le mois 3 Nombre par kilo ou par 100 kilos:. Poids de l'hectolitre:.. Qualité de la récolte à l'état brut:.... Nombre de journées consacrées à ce travail et prix de revient 2: Destination:. DÉCOMPTE TOTAL...... 1. Indiquer pour chaque opération la surface ou le nombre de plants. 2. Renseignement très important. 3. Récolte à l'état brut. 4. Dire la méthode employée et comment s'est effectué ce travail. Observations diverses et renseignements Tous les renseignements concernant la préparation des récoltes seront consignés avec soin sur cette page. Ne jamais oublier de dire : 1o la méthode employée; 2o la quantité soumise à la préparation; 3o le poids et, s'il y a lieu, le volume des produits obtenus; 4o la durée des différentes phases de la préparation; 5° la qualité du produit obtenu, dont on devra toujours. conserver un échantillon dans les collections; le numéro donné à cet échantillon devra être consigné ici. Faire, en outre, tous les calculs permettant de connaitre les rendements par plant et par unité de surface (hectare). Indiquer également la destination donnée au produit obtenu. Etat de la culture ou de la plantation pendant le mois écoulé:..... Renseignements sur la croissance et la vigueur des plants, sur la floraison et sur la maturation:. . . . . Renseignements sur les abris, sur leur croissance et sur leur vigueur:..... CULTURE PRATIQUE DU CACAOYER et préparation du cacao. (Suite 1.) ÉTABLISSEMENT DES CACAOYÈRES A LA GUYANE HOLLANDAISE En ce qui concerne la Guyane Hollandaise, les renseignements que j'ai pu me procurer sont beaucoup moins précis ; néanmoins, M. Bray, un planteur distingué de Surinam, a bien voulu me donner les renseignements concernant le capital nécessaire à la création d'une cacaoyère. Avant de reproduire ici le devis établi d'après les indications que m'a obligeamment données M. Bray, je crois devoir parler un peu de la main-d'œuvre, qui est fournie à peu près exclusivement par des émigrants hindous et javanais; ces travailleurs sont donnés aux planteurs pour une période de cinq années. Le gouvernement de la colonie se charge de l'introduction de cette main-d'œuvre. Les frais d'introduction sont fixés par un arrêté du gouverneur de Surinam. Dans ces dernières années, ces frais ont été fixés à 260 florins, soit 559 francs, par ouvrier adulte. Le planteur qui a besoin de main-d'œuvre envoie sa demande, en indiquant le nombre des travailleurs qui lui sont nécessaires, à l'agent général de l'immigration qui, après avoir été autorisé par le Gouverneur, transmet l'ordre d'expédition des coolies à l'agent de l'émigration à Calcutta ou à Batavia. Le planteur en faisant sa demande indique la nationalité de la main-d'œuvre qu'il désire, et prend l'engagement de payer à l'arrivée des coolies les trois cinquièmes des frais d'introduction, soit 156 florins, ou 335 fr. 40, par travailleur adulte; s'il ne peut payer toute cette dépense, il donne des garanties suffisantes pour assurer à la colonie le paiement de ces frais; dans ce dernier cas, il ne paye 1. Voir Bulletins, no 25 à 33. à l'arrivée des coolies que les 3/25 des frais d'introduction de la main-d'œuvre qui lui a été allouée. La somme qui lui reste à solder pour amortir sa dette est versée par quart, à la fin de chaque année, au trésor de la colonie, qui perçoit en outre un intérêt de 4,50 °, sur les sommes dues. Les frais de rapatriement des immigrants, comme les frais de leur introduction, sont à la charge du gouvernement, ou plutôt à la charge de fonds spéciaux administrés séparément et nommés « fonds d'immigration »>. La part dans les frais d'introduction que payent les planteurs est versée à cette caisse. La caisse d'immigration est alimentée par des emprunts coloniaux, dont l'amortissement et l'intérêt, calculés à 3 °/。, sont garantis par le gouvernement hollandais. Chaque année, les planteurs versent à la caisse d'immigration un impôt de 5 florins par homme adulte et 2 florins 50 par femme adulte travaillant sans contrat. L'introduction de la main-d'œuvre étrangère sans contrat, par des particuliers, est permise et encouragée par des primes accordées par le gouvernement colonial. Les coolies hindous et javanais ne sont néanmoins introduits que par le gouvernement. Lorsque les coolies ont terminé leur contrat, s'ils veulent reprendre du service chez le même planteur, ils reçoivent de celui-ci une prime assez élevée, fixée par le gouvernement local. Si au contraire ils désirent rester libres, afin de s'établir dans la colonie, en renonçant à leur droit au rapatriement, on leur donne des terres et des primes en argent. L'introduction de la main-d'oeuvre hindoue a été commencée en 1873; ce n'est que depuis 1890 que la Guyane emprunte des travailleurs à Java. Le nombre des coolies introduits depuis ces époques a été : |