Histoire complête et authentique de Louis-Napoléon Bonaparte depuis sa naissance jusqu'uà ce jour: précédée d'un avant-propos intitulé Le 2 décembre devant l'histoire |
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... pensée : l'élu des 10 et 20 décembre pré- pare , avec une sage lenteur , une Charte nouvelle mieux appropriée aux instincts et aux besoins de la France ; la presse périodique y trouvera sa place , non plus celle que nous avons connue ...
... pensée : l'élu des 10 et 20 décembre pré- pare , avec une sage lenteur , une Charte nouvelle mieux appropriée aux instincts et aux besoins de la France ; la presse périodique y trouvera sa place , non plus celle que nous avons connue ...
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... pensée sur les moyens nécessaires pour atteindre le but , son but , du moins , est demeuré le même , la gloire , le bonheur du pays , et , dans la mesure du possible , l'amélioration du sort des classes laborieuses . Il a déjà rendu un ...
... pensée sur les moyens nécessaires pour atteindre le but , son but , du moins , est demeuré le même , la gloire , le bonheur du pays , et , dans la mesure du possible , l'amélioration du sort des classes laborieuses . Il a déjà rendu un ...
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... pensée méditative à l'étude des institutions de l'Angleterre , de leur esprit et de leur mécanisme ; il visita , avec sa mère , les nombreux établisse- ments d'industrie qui constituent l'originalité et la richesse de ce pays ; il se ...
... pensée méditative à l'étude des institutions de l'Angleterre , de leur esprit et de leur mécanisme ; il visita , avec sa mère , les nombreux établisse- ments d'industrie qui constituent l'originalité et la richesse de ce pays ; il se ...
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... pensée ne reculait pas devant la perspective d'un mariage entre sa chère république et le neveu de l'Empereur . Le rédac- teur du National n'était pas plus hostile que le hé- ros des deux mondes ( 2 ) à cette combinaison . C'est lui ...
... pensée ne reculait pas devant la perspective d'un mariage entre sa chère république et le neveu de l'Empereur . Le rédac- teur du National n'était pas plus hostile que le hé- ros des deux mondes ( 2 ) à cette combinaison . C'est lui ...
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... pensée de contraindre la France , encore lui fallait - il un point d'appui et un levier pour soulever les masses . Le Prince avait , dans ces dernières années , su rallier autour de lui des amis sûrs qui s'étaient attachés à sa fortune ...
... pensée de contraindre la France , encore lui fallait - il un point d'appui et un levier pour soulever les masses . Le Prince avait , dans ces dernières années , su rallier autour de lui des amis sûrs qui s'étaient attachés à sa fortune ...
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Common terms and phrases
10 décembre acte appelé Arenenberg Assemblée avez Berryer Bonaparte c'était cabinet Cavaignac Chambre Changarnier chef choses citoyens Clément Thomas cœur colonel Vaudrey Commission conseil Constitution décembre décret demande devant devoir dévouement drapeau Dufaure dynastie élections électorale Ferdinand Barrot force garde nationale général Changarnier général Oudinot gloire Gouvernement guerre hommes impériale j'ai Jérôme Bonaparte jour journaux juger Juillet juin l'armée l'article l'Assem l'Assemblée Nationale l'Empereur l'Empire Ledru-Rollin législatif légitime Léon Faucher lettre liberté lois Louis Louis Bonaparte Louis-Napoléon LOUIS-NAPOLÉON BONAPARTE Louis-Philippe majorité membres ment Messieurs militaires ministres mois Napoléon Napoléon Bonaparte nation Odilon Barrot officiers Oudinot Pascal Duprat passé patrie pays pensée peuple poléon police politique pouvoir exécutif présent Prince principe proclamation projet publique questeurs reine Hortense repousse Représentants Répu républicains République reste révision révolution Rome s'était sentiments sera seul soldats souveraineté Strasbourg suffrage Suisse sympathies Thiers Thurgovie tion tribune voix vote universel voulait
Popular passages
Page 29 - Je désire que mes cendres reposent sur les bords de la Seine au milieu de ce peuple français que j'ai tant aimé.
Page 427 - Soyez fiers de votre mission ; vous sauverez la patrie, car je compte sur vous, non pour violer les lois, mais pour faire respecter la première loi du pays : la souveraineté nationale, dont je suis le légitime représentant. " Depuis longtemps vous souffriez comme moi des obstacles qui s'opposaient et au bien que je voulais faire et aux démonstrations de vos sympathies en ma faveur.
Page 409 - Les réquisitions peuvent être adressées directement à tous officiers, commandants ou fonctionnaires, qui sont tenus d'y obtempérer immédiatement, sous les peines portées par les lois. Les présidents du Sénat et de la Chambre des députés peuvent déléguer leur droit de réquisition aux questeurs ou à l'un d'eux.
Page 19 - ... ne sont pas remplies, l'assemblée nationale élit le président de la République à la majorité absolue et au scrutin secret parmi les cinq candidats éligibles, qui ont obtenu le plus de voix.
Page 428 - L'Assemblée, qui devait être le plus ferme appui de l'ordre, est devenue un foyer de complots. Le patriotisme de trois cents de ses membres n'a pu arrêter ses fatales tendances. Au lieu de faire des lois dans l'intérêt général, elle forge des armes pour la guerre civile ; elle attente au pouvoir que je tiens directement du peuple ; elle encourage toutes les mauvaises passions ; elle compromet le repos de la France : je l'ai dissoute, et je rends le peuple entier juge entre elle et moi.
Page 427 - ... et vos vœux, et cependant vous êtes l'élite de la nation. Aujourd'hui, en ce moment solennel, je veux que l'armée fasse entendre sa voix. « Votez donc librement comme citoyens ; mais , comme soldats, n'oubliez pas que l'obéissance passive aux ordres du chef du gouvernement est le devoir rigoureux de l'armée, depuis le général jusqu'au soldat. C'est à moi , responsable de mes actions devant le peuple et devant la postérité, de prendre les mesures qui me semblent indispensables pour...
Page 137 - Je représente devant vous un principe, une cause, une défaite. Le principe, c'est la souveraineté du peuple ; la cause, celle de l'Empire ; la défaite, Waterloo. Le principe, vous l'avez reconnu ; la cause, vous l'avez servie ; la défaite, vous voulez la venger.
Page 427 - Je fais un loyal appel au peuple et à l'armée, et je leur dis : Ou donnez-moi les moyens d'assurer votre prospérité, ou choisissez un autre à ma place. En 1830, comme en 1848, on vous a traités en vaincus. Après avoir flétri votre désintéressement héroïque, on a dédaigné de consulter vos sympathies et vos vœux, et cependant vous êtes l'élite de la nation.
Page 298 - J'apprends avec peine que les intentions bienveillantes du Saint-Père, comme notre propre action, restent stériles, en présence de passions et d'influences hostiles. On voudrait donner comme base à la rentrée du pape la proscription et la tyrannie. Dites de ma part au général Rostolan...
Page 258 - Elat. ,,Nous avons, citoyens représentants, une grande mission à remplir , c'est de fonder une république dans l'intérêt de tous et un gouvernement juste, ferme, qui soit animé d'un sincère amour du progrès, sans être réactionnaire ou utopiste. ..Soyons les hommes du pays , non les hommes d'un parti, et, Dieu aidant, nous ferons du moins le bien, si nous ne pouvons faire de grandes choses.