Paul Verlaine |
From inside the book
Results 1-5 of 23
Page 19
... gave Verlaine the impression of being far richer than he actually was , and led him into a variety of temptations to which he invariably and increasingly succumbed . Not that his tastes were ever extravagant in the sense of being ...
... gave Verlaine the impression of being far richer than he actually was , and led him into a variety of temptations to which he invariably and increasingly succumbed . Not that his tastes were ever extravagant in the sense of being ...
Page 25
... gave to the school their name of " Parnassiens , " although they themselves would have preferred some more recondite label such as " les impassibles , " " les formalistes , " or " les stylistes . " This anthology , which appeared in ...
... gave to the school their name of " Parnassiens , " although they themselves would have preferred some more recondite label such as " les impassibles , " " les formalistes , " or " les stylistes . " This anthology , which appeared in ...
Page 62
... gave him so fierce , so vindictive , a welcome , that he at once escaped again . Without a penny in his pocket he walked across the Belgian frontier to Charleroi , where he endeavoured , without success , to obtain employ- ment on a ...
... gave him so fierce , so vindictive , a welcome , that he at once escaped again . Without a penny in his pocket he walked across the Belgian frontier to Charleroi , where he endeavoured , without success , to obtain employ- ment on a ...
Page 63
... gave the boy ten francs and told him to go back to his mother . For eight days Rimbaud wandered about the streets of Paris , shelterless and feeding only on the garbage in the dustbins . Finally he could bear it no longer and started to ...
... gave the boy ten francs and told him to go back to his mother . For eight days Rimbaud wandered about the streets of Paris , shelterless and feeding only on the garbage in the dustbins . Finally he could bear it no longer and started to ...
Page 75
... gave them time . And then Mathilde ? Ah yes , there was Mathilde . But she didn't really love him . She would get over it ; she would come back to him afterwards ; she would be happier alone with her parents . When all was over he would ...
... gave them time . And then Mathilde ? Ah yes , there was Mathilde . But she didn't really love him . She would get over it ; she would come back to him afterwards ; she would be happier alone with her parents . When all was over he would ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
absinthe already âme Amour André Gide appears Ardennes Arras arrival Arthur Rimbaud Barrès became become bien Bonne Chanson Brussels c'est Café calm Charles de Sivry Charleville ciel cœur Coulommes Delahaye early endeavoured Ernest Delahaye Eugénie fait Fampoux father Fêtes galantes France François Premier French language French literature friends gentle Hôpital hospital Hôtel intimacy J'ai Jean Moréas jour Juniville later least Lepelletier letters literary live London Lucien Madame Verlaine Mallarmé Mathilde Maurice Barrès Mauté ment Metz Monsieur mort mother noir once Palmé Parnassiens Parnassus Paul Verlaine pauvre Philomène picture pleure Poèmes saturniens poems poet poète poetry prison prosody published qu'on Quartier Latin realised remain Rethel returned to Paris rêve rhyme Rimbaud Romances sans paroles Romanticists rue Nicolet Sagesse sent sous strange Symbolist temperament tion Tournez tout triste Vanier Verlaine's vers verse Victor Hugo vraiment whole William Rothenstein write wrote yeux young
Popular passages
Page 260 - O qui dira les torts de la Rime? Quel enfant sourd ou quel nègre fou Nous a forgé ce bijou d'un sou Qui sonne creux et faux sous la lime?
Page 240 - Ayant poussé la porte étroite qui chancelle, Je me suis promené dans le petit jardin Qu'éclairait doucement le soleil du matin, Pailletant chaque fleur d'une humide étincelle. Rien n'a changé. J'ai tout revu : l'humble tonnelle De vigne folle avec les chaises de rotin... Le jet d'eau fait toujours son murmure argentin Et le vieux tremble sa plainte sempiternelle. Les roses comme avant palpitent; comme avant, Les grands lys orgueilleux se balancent au vent.
Page 78 - Quoi! nulle trahison? Ce deuil est sans raison. C'est bien la pire peine De ne savoir pourquoi. Sans amour et sans haine, Mon cœur a tant de peine.
Page 31 - Car elle me comprend, et mon cœur, transparent Pour elle seule, hélas ! cesse d'être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir en pleurant. Est-elle brune, blonde ou rousse ? Je l'ignore. Son nom? Je me souviens qu'il est doux et sonore Comme ceux des aimés que la Vie exila. Son regard est pareil au regard des statues, Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a L'inflexion des voix chères qui se sont tues.
Page 90 - Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit Chante sa plainte.
Page 34 - Votre âme est un paysage choisi Que vont charmant masques et bergamasques, Jouant du luth et dansant et quasi Tristes sous leurs déguisements fantasques. Tout en chantant sur le mode mineur L'amour vainqueur et la vie opportune, Ils n'ont pas l'air de croire à leur bonheur Et leur chanson se mêle au clair de lune, Au calme clair de lune triste et beau, Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres Et sangloter d'extase, les...
Page 31 - Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Page 78 - O bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits! Pour un cœur qui s'ennuie, O le chant de la pluie!
Page 123 - Vous, Dieu de paix, de joie et de bonheur, Toutes mes peurs, toutes mes ignorances, Vous, Dieu de paix, de joie et de bonheur, . . . Vous connaissez tout cela, tout cela, Et que je suis plus pauvre que personne, Vous connaissez tout cela, tout cela, Mais ce que j'ai, mon Dieu, je vous le donne.
Page 267 - J'ai perdu jusqu'à la fierté Qui faisait croire à mon génie. Quand j'ai connu la Vérité, J'ai cru que c'était une amie ; Quand je l'ai comprise et sentie, J'en étais déjà dégoûté . Et pourtant elle est éternelle, Et ceux qui se sont passés d'elle Ici-bas ont tout ignoré. Dieu...