Paul Verlaine |
From inside the book
Results 1-5 of 32
Page 3
... by Lepelletier and Delahaye may not , after all , be a gratuitous undertaking . The thing can be little else than a picture , more or less sympathetic , of a character failing consistently to cope with the rudiments of a social 3.
... by Lepelletier and Delahaye may not , after all , be a gratuitous undertaking . The thing can be little else than a picture , more or less sympathetic , of a character failing consistently to cope with the rudiments of a social 3.
Page 5
... less conventional Anglo - Saxons . And finally , and perhaps predominantly , there is Rimbaud- the fierce schoolboy who stalked through Verlaine's middle youth , and passed on to Africa flinging behind him a scattered handful of ...
... less conventional Anglo - Saxons . And finally , and perhaps predominantly , there is Rimbaud- the fierce schoolboy who stalked through Verlaine's middle youth , and passed on to Africa flinging behind him a scattered handful of ...
Page 22
... less healthy with Lucien Viotti , and his cousin Georges Dehée ; the willing admiration of his mother , the holidays with books and paper in his beloved Pas de Calais or up in the Ardennes , the jokes , the letters and the laughter . Qu ...
... less healthy with Lucien Viotti , and his cousin Georges Dehée ; the willing admiration of his mother , the holidays with books and paper in his beloved Pas de Calais or up in the Ardennes , the jokes , the letters and the laughter . Qu ...
Page 42
... less palpable virtues . His request was not rejected in principle ; but Mathilde was so young : they had seen each other so little it would be better if nothing were to be settled at present : Mathilde was being taken to Normandy , and ...
... less palpable virtues . His request was not rejected in principle ; but Mathilde was so young : they had seen each other so little it would be better if nothing were to be settled at present : Mathilde was being taken to Normandy , and ...
Page 45
... less negligent even about his clothes ; we find him almost clean . And every night there was that letter to be sent to Mathilde out there among the orchards of Normandy . The whole period was tremulous and delicate , but as the weeks ...
... less negligent even about his clothes ; we find him almost clean . And every night there was that letter to be sent to Mathilde out there among the orchards of Normandy . The whole period was tremulous and delicate , but as the weeks ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
absinthe already âme Amour André Gide appears Ardennes Arras arrival Arthur Rimbaud Barrès became become bien Bonne Chanson Brussels c'est Café calm Charles de Sivry Charleville ciel cœur Coulommes Delahaye early endeavoured Ernest Delahaye Eugénie fait Fampoux father Fêtes galantes France François Premier French language French literature friends gentle Hôpital hospital Hôtel intimacy J'ai Jean Moréas jour Juniville later least Lepelletier letters literary live London Lucien Madame Verlaine Mallarmé Mathilde Maurice Barrès Mauté ment Metz Monsieur mort mother noir once Palmé Parnassiens Parnassus Paul Verlaine pauvre Philomène picture pleure Poèmes saturniens poems poet poète poetry prison prosody published qu'on Quartier Latin realised remain Rethel returned to Paris rêve rhyme Rimbaud Romances sans paroles Romanticists rue Nicolet Sagesse sent sous strange Symbolist temperament tion Tournez tout triste Vanier Verlaine's vers verse Victor Hugo vraiment whole William Rothenstein write wrote yeux young
Popular passages
Page 260 - O qui dira les torts de la Rime? Quel enfant sourd ou quel nègre fou Nous a forgé ce bijou d'un sou Qui sonne creux et faux sous la lime?
Page 240 - Ayant poussé la porte étroite qui chancelle, Je me suis promené dans le petit jardin Qu'éclairait doucement le soleil du matin, Pailletant chaque fleur d'une humide étincelle. Rien n'a changé. J'ai tout revu : l'humble tonnelle De vigne folle avec les chaises de rotin... Le jet d'eau fait toujours son murmure argentin Et le vieux tremble sa plainte sempiternelle. Les roses comme avant palpitent; comme avant, Les grands lys orgueilleux se balancent au vent.
Page 78 - Quoi! nulle trahison? Ce deuil est sans raison. C'est bien la pire peine De ne savoir pourquoi. Sans amour et sans haine, Mon cœur a tant de peine.
Page 31 - Car elle me comprend, et mon cœur, transparent Pour elle seule, hélas ! cesse d'être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir en pleurant. Est-elle brune, blonde ou rousse ? Je l'ignore. Son nom? Je me souviens qu'il est doux et sonore Comme ceux des aimés que la Vie exila. Son regard est pareil au regard des statues, Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a L'inflexion des voix chères qui se sont tues.
Page 90 - Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit Chante sa plainte.
Page 34 - Votre âme est un paysage choisi Que vont charmant masques et bergamasques, Jouant du luth et dansant et quasi Tristes sous leurs déguisements fantasques. Tout en chantant sur le mode mineur L'amour vainqueur et la vie opportune, Ils n'ont pas l'air de croire à leur bonheur Et leur chanson se mêle au clair de lune, Au calme clair de lune triste et beau, Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres Et sangloter d'extase, les...
Page 31 - Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Page 78 - O bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits! Pour un cœur qui s'ennuie, O le chant de la pluie!
Page 123 - Vous, Dieu de paix, de joie et de bonheur, Toutes mes peurs, toutes mes ignorances, Vous, Dieu de paix, de joie et de bonheur, . . . Vous connaissez tout cela, tout cela, Et que je suis plus pauvre que personne, Vous connaissez tout cela, tout cela, Mais ce que j'ai, mon Dieu, je vous le donne.
Page 267 - J'ai perdu jusqu'à la fierté Qui faisait croire à mon génie. Quand j'ai connu la Vérité, J'ai cru que c'était une amie ; Quand je l'ai comprise et sentie, J'en étais déjà dégoûté . Et pourtant elle est éternelle, Et ceux qui se sont passés d'elle Ici-bas ont tout ignoré. Dieu...