Bulletin trimestriel de la Société des antiquaires de Picardie, Volume 19Société des antiquaires de Picardie, 1898 - Picardy (France) |
Other editions - View all
Common terms and phrases
1re livraison Abbeville Académie adresse amiénois Amiens Antiquaires de Picardie Antoine archives bibliothèque Boudon Brandicourt Bulletin Calonne cathédrale d'Amiens chanoine Marle château Clari collègue Collombier comte curé d'Abbeville d'archéologie d'Arras découverte dernière réunion documents Doullens Dubois Durand écuyer élu membre étude fascicule feuille fief Gallet gallo-romaine Grandvillers Guerlin Guyencourt Hélicourt Hotoie Janvier Jean Jean de Bailleul l'abbaye l'abbé Cardon l'abbé Fourrière l'assemblée l'église l'histoire L'ordre du jour livres Longpré Louvencourt Mailly Maison de Mailly Marmion Martin du Bellay membre non résidant membres titulaires Mémoires Messieurs Mézières Milvoy monuments Musée de Picardie ordinaire du mardi ouvrages reçus Philippe Philippe de Mézières pièces Pierre Pinsard Ponthieu Poujol de Fréchencourt président Prouzel Puisieux religieux Revue Robert Robert de Clari Roux saint saint Fursy Secrétaire perpétuel dépouille seigneur série siècle sieur signale Simon Marmion Société archéologique Société des Antiquaires Société historique Somme terre tion titulaires non résidants travaux trimestre trouve Viseur volume xvII
Popular passages
Page 186 - La propriété d'un trésor appartient à celui qui le trouve dans son propre fonds ; si le trésor est trouvé dans le fonds d'autrui, il appartient pour moitié à celui qui l'a découvert, et pour l'autre moitié au propriétaire du fonds. — Le trésor est toute chose cachée ou enfouie sur laquelle personne ne peut justifier sa propriété, et qui est découverte par le pur effet du hasard.
Page 71 - Société d'histoire ecclésiastique et d'archéologie religieuse des diocèses de Valence, Gap, Grenoble et Viviers (Romans).
Page 529 - Dors, mon enfant, clos ta paupière; Tes cris me déchirent le cœur. Dors, mon enfant; ta pauvre mère A bien assez de sa douleur.
Page 492 - Si le roi m'avait donné Paris sa grand'ville , Et qu'il me fallût quitter L'amour de ma mie, Je dirais au roi Henri : Reprenez votre Paris , J'aime mieux ma mie , oh gay ! J'aime mieux ma mie.
Page 492 - J'aime mieux ma mie, au gué, J'aime mieux ma mie. La rime n'est pas riche, et le style en est vieux. Mais ne voyez- vous pas que cela vaut bien mieux Que ces colifichets dont le bon sens murmure, Et que la passion parle là toute pure ? Si le roi m'avait donné Paris sa grand'ville, Et qu'il me fallût quitter L'amour de ma mie; Je dirais au roi Henri: Reprenez votre Paris, J'aime mieux ma mie...
Page 53 - Cilly, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi, capitaine d'une compagnie de gens de pied entretenue au régiment du sieur de Czapen, mari de dame Jeanne de Bacouël.
Page 529 - Gaieté, génie heureux qui fus jadis le nôtre, Rire dont on riait d'un bout du monde à l'autre, Esprit de nos aïeux, qui te réjouissais Dans l'éternel bon sens, lequel est né Français, Fleurs de notre pays, qu'êtes-vous devenues...
Page 257 - Au terme du mandat que vous m'avez fait l'honneur de me confier deux années de suite, je ne puis me dispenser d'un examen de conscience.
Page 800 - L'art nouveau prend le monument où il le trouve, s'y incruste, se l'assimile, le développe à sa fantaisie, et l'achève s'il peut. La chose s'accomplit sans trouble, sans effort, sans réaction, suivant une loi naturelle et tranquille. C'est une greffe qui survient, une sève qui circule, une végétation qui reprend.
Page 493 - S'honorent du grand nom de citoyens du monde ; Feignent dans tout climat d'aimer l'humanité , Pour ne la point servir dans leur propre cité : Fils ingrats, vils fardeaux du sein qui les fit naître, Et dignes du néant par l'oubli de leur être.