La Minerve française, Volume 3Bureau de la Minerve Française, 1818 - France |
From inside the book
Results 1-5 of 98
Page 17
... sujets de rancune contre les écri- vains constitutionnels aussi , comme ils s'empressent de servir d'écho à la moindre injure qui arrive de Paris ! Ce n'est plus l'encens qui fume dans les cassolettes , elles exha- lent alors une odeur ...
... sujets de rancune contre les écri- vains constitutionnels aussi , comme ils s'empressent de servir d'écho à la moindre injure qui arrive de Paris ! Ce n'est plus l'encens qui fume dans les cassolettes , elles exha- lent alors une odeur ...
Page 20
... sujets , et ne souffre pas qu'on les outrage . la La correspondance du Sun est extrêmement active ; dans sa dernière lettre , il prétend que , si la Minerve a paru d'abord douter de la conspiration , c'est qu'elle était rete- nue par la ...
... sujets , et ne souffre pas qu'on les outrage . la La correspondance du Sun est extrêmement active ; dans sa dernière lettre , il prétend que , si la Minerve a paru d'abord douter de la conspiration , c'est qu'elle était rete- nue par la ...
Page 21
... sujet de tous les entre- >> tiens , paraît enfin avoir fixé l'attention des cours judi- » ciaires . La tranquillité publique n'en a pas été troublée , » le crédit national n'en a pas souffert . La cour de Saint- » Cloud est extrêmement ...
... sujet de tous les entre- >> tiens , paraît enfin avoir fixé l'attention des cours judi- » ciaires . La tranquillité publique n'en a pas été troublée , » le crédit national n'en a pas souffert . La cour de Saint- » Cloud est extrêmement ...
Page 22
... sujet à la tribune ; mais , si l'on ne nous envoyait que des pères de famille qui veulent pla- cer leurs enfans , j'avoue que , d'après la phrase que je viens de transcrire , je ne serais pas tout - à - fait rassuré . Les Français , j ...
... sujet à la tribune ; mais , si l'on ne nous envoyait que des pères de famille qui veulent pla- cer leurs enfans , j'avoue que , d'après la phrase que je viens de transcrire , je ne serais pas tout - à - fait rassuré . Les Français , j ...
Page 33
... sujets devant la loi . L'assemblée a même proposé d'exclure de ses séances le factieux représentant , et cette exclusion serait sans doute déjà prononcée , si les journaux allemands , qui plaisantent aussi au besoin , n'avaient pas eu ...
... sujets devant la loi . L'assemblée a même proposé d'exclure de ses séances le factieux représentant , et cette exclusion serait sans doute déjà prononcée , si les journaux allemands , qui plaisantent aussi au besoin , n'avaient pas eu ...
Contents
325 | |
332 | |
337 | |
351 | |
375 | |
385 | |
402 | |
412 | |
84 | |
97 | |
107 | |
112 | |
129 | |
145 | |
174 | |
193 | |
222 | |
241 | |
256 | |
276 | |
289 | |
302 | |
314 | |
315 | |
424 | |
427 | |
433 | |
447 | |
468 | |
470 | |
479 | |
481 | |
527 | |
529 | |
532 | |
562 | |
577 | |
579 | |
616 | |
623 | |
Other editions - View all
Common terms and phrases
accusations agens Andelys auteurs avaient Benjamin Constant calomnie Camille Jordan candidats cent chambre charte Châteaubriant chef chose citoyens conseils constitutionnel courage crime départemens députés devoir digne doit donner doute écrivains électeurs élections électoral ennemis états étrangers événemens Fayette fonctionnaires force Francfort garantie garde nationale général Givenchy-le-Noble gloire gouvernement Grande-Bretagne habitans hommes intérêts j'ai jamais jour journaux juges justice l'abbé Georgel l'auteur l'autorité l'esprit l'état l'Europe l'opinion lettre liberté lois long-temps Louis XIV Lunel madame de Staël magistrats malheur ment mérite mille Minerve MINERVE FRANÇAISE ministériels ministres monarchie monarque Moselle nation Nîmes noble nommé note secrète parle patrie patriotisme Pensacola pensée peuple place PLACE DE L'ODÉON politique pouvoir préfet premier presse prince principes protestans public publique puissance qu'un réclame reste révolution rien royale s'est s'il semble sentimens sentiment serait seul siècle sorte sujet système talent teurs tiers état tion toyens tribunal trouve unissons vérité
Popular passages
Page 461 - Nulle contravention, nul délit, nul crime, ne peuvent être punis de peines qui n'étaient pas prononcées par la loi avant qu'ils fussent commis.
Page 133 - Ainsi, nous avons vu dans le renouvellement de la pairie une institution vraiment nationale, et qui doit lier tous les souvenirs à toutes les espérances, en réunissant les temps anciens et les temps modernes.
Page 197 - S'il voulut ménager le sang de ses su» jets , ce ne fut ni par devoir, ni par pitié , mais par in» térêt de propriétaire. Cette doctrine eut pour sanction sa » propre volonté , et il prit soin que l'âme de ses héritiers » s'en pénétrât dès l'enfance. Enfin ,1e Coran de la France » fut contenu dans quatre syllabes , et Louis xiv les pro» nonça un jour :
Page 182 - ... c'est une envie qui ne prend guère aux rois , aux barbes grises et aux victorieux comme moi; mais l'amour que je porte à mes sujets, et l'extrême désir que j'ai de conserver mon Etat , me font trouver tout facile et tout honorable.
Page 133 - Chambres du tiers état. qui ont si souvent donné tout à la fois des preuves de zèle pour les intérêts du peuple, de fidélité et de respect pour l'autorité des rois. En cherchant ainsi à renouer la chaîne des temps, que...
Page 337 - ... judiciaire, sont trois ressorts qui doivent coopérer, chacun dans sa partie, au mouvement général; mais quand ces ressorts dérangés se croisent , s'entrechoquent et s'entravent , il faut une force qui les remette à leur place. Cette force ne peut pas être dans l'un...
Page 230 - Nul ne peut être arrêté ou traduit en jugement, si ce n'est dans les cas prévus par la loi et dans les formes qu'elle prescrit.
Page 151 - Concordat de 1802, les protestants sont toujours restés en paix, bien que le principe de tout Concordat avec le chef d'une église soit une préférence accordée à cette église, et, par conséquent, une défaveur pour les autres croyances. Cependant, la connaissance qu'avaient les protestants de l'impartialité, ou, si l'on veut...
Page 431 - Sitôt que le service public cesse d'être la principale affaire des citoyens, et qu'ils aiment mieux servir de leur bourse que de leur personne, l'État est déjà près de sa ruine.
Page 341 - État se forme au centre; dans la capitale s'agglomèrent tous les intérêts ; là vont s'agiter toutes les ambitions. Le reste est immobile. Les individus, perdus dans un isolement contre nature, étrangers au lieu de leur naissance, sans contact avec le passé, ne vivant que dans un présent rapide, et jetés comme des atomes sur une plaine immense et nivelée, se détachent d'une patrie qu'ils n'aperçoivent mille part, et dont l'ensemble leur devient indifférent, parce que leur affection ne...