Histoire de l'empereur Napoléon |
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... presque en même temps à la rencontre de toutes les divisions ennemies , qu'il culbute , disperse et ruine dans une suite de combats qu'on appelle la campagne des cinq jours , et qui se donnèrent à Salo , à 8 DE NAPOLÉON . 57.
... presque en même temps à la rencontre de toutes les divisions ennemies , qu'il culbute , disperse et ruine dans une suite de combats qu'on appelle la campagne des cinq jours , et qui se donnèrent à Salo , à 8 DE NAPOLÉON . 57.
Page 59
... divisions de l'ennemi , elle pouvait battre chacune d'elles séparé- ment , et par ma position je me trouvais entre elles . Il m'était done possi- ble , en rétrogradant rapidement , d'envelopper la division ennemie des- cendue de Brescia ...
... divisions de l'ennemi , elle pouvait battre chacune d'elles séparé- ment , et par ma position je me trouvais entre elles . Il m'était done possi- ble , en rétrogradant rapidement , d'envelopper la division ennemie des- cendue de Brescia ...
Page 60
... division errant dans les montagnes a été presque toute prison- nière . Pendant ce temps Augereau marchait sur Castiglione , s'emparait de ce village ; toute la journée il livra et soutint des combats opiniâtres contre des forces doubles ...
... division errant dans les montagnes a été presque toute prison- nière . Pendant ce temps Augereau marchait sur Castiglione , s'emparait de ce village ; toute la journée il livra et soutint des combats opiniâtres contre des forces doubles ...
Page 61
... division cou- pée , qui , après avoir erré et s'être rejoints , cherchaient à se faire pas- sage . >>> La circonstance était assez embarrassante je n'avais à Lonado qu'à peu près douze cents hommes ; je fis venir le parlementaire : je ...
... division cou- pée , qui , après avoir erré et s'être rejoints , cherchaient à se faire pas- sage . >>> La circonstance était assez embarrassante je n'avais à Lonado qu'à peu près douze cents hommes ; je fis venir le parlementaire : je ...
Page 62
... division seraient responsables de l'insulte personnelle qu'ils m'avaient faite ; je lui déclarai que si sous huit mi- nutes toute sa division n'avait pas posé les armes , je ne ferais grâce à aucun . » Le parlementaire parut fort étonné ...
... division seraient responsables de l'insulte personnelle qu'ils m'avaient faite ; je lui déclarai que si sous huit mi- nutes toute sa division n'avait pas posé les armes , je ne ferais grâce à aucun . » Le parlementaire parut fort étonné ...
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Common terms and phrases
Alexandre alliés anglais armée armes arriva attaque Augereau Austerlitz Autrichiens avaient avez Bernadotte blessés blocus continental Blücher Bonaparte Bourbons braves c'était camp campagne capitale cavalerie cent champ de bataille combat commandement corps législatif czar d'Italie Davoust démocratie devant directoire dit-il division donner drapeaux Égypte ennemis Erfurth eût garde génie gloire gouvernement guerre heures impériale j'ai Joséphine jour journée l'Angleterre l'armée française l'Autriche l'empereur l'empire l'ennemi l'Europe laisser Lannes lui-même marche maréchal maréchal Ney maréchal Soult Marmont mée ment militaires mille hommes monarchie Moscou Murat n'avait n'était Napo Napoléon nation Niémen nouvelle Oudinot paix pape passé patrie peuple Pie VII pièces de canon politique Pologne pont porter position pouvait premier consul prince prisonniers proclamation Prusse Prussiens puissance quartier-général républicain république reste retraite révolution révolution française Rhin rois Russes s'était Sainte-Hélène sénat sera seul Smolensk soldats Soult souverains succès tion triomphe trône troupes trouva vainqueur victoire voulut Witepsk
Popular passages
Page 691 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 256 - J'accepte le titre que vous croyez utile à la gloire de la nation. « Je soumets à la sanction du peuple la loi de l'hérédité. » J'espère que la France ne se repentira jamais des honneurs dont elle environnera ma famille. Dans tous les cas, mon esprit ne sera plus avec ma postérité, le jour où elle cesserait de mériter l'amour et la confiance de la grande nation.
Page 116 - Soldats, Vous allez entreprendre une conquête dont les effets sur la civilisation et le commerce du monde sont incalculables. Vous porterez à l'Angleterre le coup le plus sûr et le plus sensible, en attendant que vous puissiez lui donner le coup de mort.
Page 323 - Soldats, lorsque tout ce qui est nécessaire pour assurer le bonheur et la prospérité de notre patrie sera accompli, je vous ramènerai en France : là, vous serez l'objet de mes plus tendres sollicitudes. Mon peuple vous reverra avec joie, et il vous suffira de dire : « J'étais à la bataille d'Austerlitz ! » pour que l'on vous réponde :
Page 121 - Ils prospéreront dans leur fortune et leur rang. Heureux ceux qui seront neutres ! Ils auront le temps d'apprendre à nous connaître , et ils se rangeront avec nous.
Page 707 - Soldats ! dans mon exil, j'ai entendu votre voix, je suis arrivé à travers tous les obstacles et tous les périls. Votre général, appelé au trône par le choix du peuple, et élevé sur vos pavois, vous est rendu : venez le joindre. Arrachez ces couleurs que la nation a proscrites, et qui, pendant vingt-cinq ans, servirent de ralliement à tous les ennemis de la France. Arborez cette cocarde tricolore : vous la portiez dans nos grandes journées ! Nous devons oublier que nous avons été les...
Page 744 - Bellerophon de me recevoir ainsi que ma suite, n'a voulu que me tendre une embûche, il a forfait à l'honneur et flétri son pavillon. Si cet acte se consommait, ce serait en vain que les Anglais voudraient...
Page 735 - En commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous...
Page 121 - Si l'Egypte est leur ferme, qu'ils montrent le bail que Dieu leur en a fait. Mais Dieu est juste et miséricordieux pour le peuple...
Page 187 - N'est-il donc aucun moyen de s'entendre ? Comment les deux nations les plus éclairées de l'Europe, puissantes et fortes plus que ne l'exigent leur sûreté et leur indépendance, peuvent-elles sacrifier à des idées de vaine grandeur le bien du commerce, la prospérité intérieure, le bonheur des familles ? Comment ne sentent-elles pas que la paix est le premier des besoins comme la première des gloires...