Histoire de l'empereur Napoléon |
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... pouvait pas faire manquer à son génie et à son siècle un offi- cier dont Paoli avait dit avec tant de raison et de vérité , « qu'il était taillé à l'antique , que c'était un homme de Plutarque . » Napoléon n'imita donc pas la plupart de ...
... pouvait pas faire manquer à son génie et à son siècle un offi- cier dont Paoli avait dit avec tant de raison et de vérité , « qu'il était taillé à l'antique , que c'était un homme de Plutarque . » Napoléon n'imita donc pas la plupart de ...
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... pouvait vaincre le stupide entètement du général en chef . Enfin , il se trouva parmi les représentants du peuple un homme doué d'assez de pénétration et de perspicacité pour deviner ou pressen- tir le grand capitaine sous l'uniforme du ...
... pouvait vaincre le stupide entètement du général en chef . Enfin , il se trouva parmi les représentants du peuple un homme doué d'assez de pénétration et de perspicacité pour deviner ou pressen- tir le grand capitaine sous l'uniforme du ...
Page 30
... pouvait me conduire un premier pas , et quelles autres destinées m'attendaient ? >> Ce fut au siége de Toulon qu'il rencontra et s'attacha Duroc et Junot : Duroc , qui a possédé seul son intimité et son entière confiance , et Ju- not ...
... pouvait me conduire un premier pas , et quelles autres destinées m'attendaient ? >> Ce fut au siége de Toulon qu'il rencontra et s'attacha Duroc et Junot : Duroc , qui a possédé seul son intimité et son entière confiance , et Ju- not ...
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... pouvait y avoir de résultat ; l'attaque était une pure fantaisie , et pourtant quelques hommes y restè- rent . Aussi , plus tard , toutes les fois que le souvenir m'en est revenu à l'esprit , je me le suis fort reproché . >> Les ...
... pouvait y avoir de résultat ; l'attaque était une pure fantaisie , et pourtant quelques hommes y restè- rent . Aussi , plus tard , toutes les fois que le souvenir m'en est revenu à l'esprit , je me le suis fort reproché . >> Les ...
Page 40
... pouvait plus conduire avec l'éclat des premiers ans de la liberté . Le premier usage que fit Napoléon de son crédit et de son pouvoir fut de sauver Menou , dont les comités voulaient la perte . Malgré toute sa modération , les vaincus ...
... pouvait plus conduire avec l'éclat des premiers ans de la liberté . Le premier usage que fit Napoléon de son crédit et de son pouvoir fut de sauver Menou , dont les comités voulaient la perte . Malgré toute sa modération , les vaincus ...
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Common terms and phrases
Alexandre alliés anglais armée armes arriva attaque Augereau Austerlitz Autrichiens avaient avez Bernadotte blessés blocus continental Blücher Bonaparte Bourbons braves c'était camp campagne capitale cavalerie cent champ de bataille combat commandement corps législatif czar d'Italie Davoust démocratie devant directoire dit-il division donner drapeaux Égypte ennemis Erfurth eût garde génie gloire gouvernement guerre heures impériale j'ai Joséphine jour journée l'Angleterre l'armée française l'Autriche l'empereur l'empire l'ennemi l'Europe laisser Lannes lui-même marche maréchal maréchal Ney maréchal Soult Marmont mée ment militaires mille hommes monarchie Moscou Murat n'avait n'était Napo Napoléon nation Niémen nouvelle Oudinot paix pape passé patrie peuple Pie VII pièces de canon politique Pologne pont porter position pouvait premier consul prince prisonniers proclamation Prusse Prussiens puissance quartier-général républicain république reste retraite révolution révolution française Rhin rois Russes s'était Sainte-Hélène sénat sera seul Smolensk soldats Soult souverains succès tion triomphe trône troupes trouva vainqueur victoire voulut Witepsk
Popular passages
Page 691 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 256 - J'accepte le titre que vous croyez utile à la gloire de la nation. « Je soumets à la sanction du peuple la loi de l'hérédité. » J'espère que la France ne se repentira jamais des honneurs dont elle environnera ma famille. Dans tous les cas, mon esprit ne sera plus avec ma postérité, le jour où elle cesserait de mériter l'amour et la confiance de la grande nation.
Page 116 - Soldats, Vous allez entreprendre une conquête dont les effets sur la civilisation et le commerce du monde sont incalculables. Vous porterez à l'Angleterre le coup le plus sûr et le plus sensible, en attendant que vous puissiez lui donner le coup de mort.
Page 323 - Soldats, lorsque tout ce qui est nécessaire pour assurer le bonheur et la prospérité de notre patrie sera accompli, je vous ramènerai en France : là, vous serez l'objet de mes plus tendres sollicitudes. Mon peuple vous reverra avec joie, et il vous suffira de dire : « J'étais à la bataille d'Austerlitz ! » pour que l'on vous réponde :
Page 121 - Ils prospéreront dans leur fortune et leur rang. Heureux ceux qui seront neutres ! Ils auront le temps d'apprendre à nous connaître , et ils se rangeront avec nous.
Page 707 - Soldats ! dans mon exil, j'ai entendu votre voix, je suis arrivé à travers tous les obstacles et tous les périls. Votre général, appelé au trône par le choix du peuple, et élevé sur vos pavois, vous est rendu : venez le joindre. Arrachez ces couleurs que la nation a proscrites, et qui, pendant vingt-cinq ans, servirent de ralliement à tous les ennemis de la France. Arborez cette cocarde tricolore : vous la portiez dans nos grandes journées ! Nous devons oublier que nous avons été les...
Page 744 - Bellerophon de me recevoir ainsi que ma suite, n'a voulu que me tendre une embûche, il a forfait à l'honneur et flétri son pavillon. Si cet acte se consommait, ce serait en vain que les Anglais voudraient...
Page 735 - En commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous...
Page 121 - Si l'Egypte est leur ferme, qu'ils montrent le bail que Dieu leur en a fait. Mais Dieu est juste et miséricordieux pour le peuple...
Page 187 - N'est-il donc aucun moyen de s'entendre ? Comment les deux nations les plus éclairées de l'Europe, puissantes et fortes plus que ne l'exigent leur sûreté et leur indépendance, peuvent-elles sacrifier à des idées de vaine grandeur le bien du commerce, la prospérité intérieure, le bonheur des familles ? Comment ne sentent-elles pas que la paix est le premier des besoins comme la première des gloires...