Histoire de l'empereur Napoléon |
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... les fondements d'une institution qu'il devait réaliser un jour dans sa toute- puissance . Les examens brillants qu'il soutint le firent , du reste , distinguer à Paris , comme il l'avait été à Brienne . Il. 18 HISTOIRE.
... les fondements d'une institution qu'il devait réaliser un jour dans sa toute- puissance . Les examens brillants qu'il soutint le firent , du reste , distinguer à Paris , comme il l'avait été à Brienne . Il. 18 HISTOIRE.
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... reste , jamais question de les unir . La mère , malgré son estime et son attachement pour le jeune homme , ne songea point à cette alliance , comme on l'a prétendu . En revanche , elle lui prédit souvent de hautes destinées , et ...
... reste , jamais question de les unir . La mère , malgré son estime et son attachement pour le jeune homme , ne songea point à cette alliance , comme on l'a prétendu . En revanche , elle lui prédit souvent de hautes destinées , et ...
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... reste courrait encore . » Témoin du 10 août , qu'il avait prévu comme une conséquence in- évitable et prochaine du 20 juin , Napoléon , toujours partisan zélé de la révolution française , mais toujours attaché par pressentiment ou par ...
... reste courrait encore . » Témoin du 10 août , qu'il avait prévu comme une conséquence in- évitable et prochaine du 20 juin , Napoléon , toujours partisan zélé de la révolution française , mais toujours attaché par pressentiment ou par ...
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... reste . » > Dès son arrivée au camp , Napoléon , avec ce coup d'œil prompt et sûr qui a si bien servi son génie sur les champs de bataille , avait com- pris que pour reprendre Toulon il fallait l'attaquer à l'issue de la rade , et il ...
... reste . » > Dès son arrivée au camp , Napoléon , avec ce coup d'œil prompt et sûr qui a si bien servi son génie sur les champs de bataille , avait com- pris que pour reprendre Toulon il fallait l'attaquer à l'issue de la rade , et il ...
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... reste une simple connaissance ou une liaison éphé- mère que Napoléon avait formée avec madame de Beauharnais . L'amour le plus vif et le plus tendre était entré dans son âme , et il mit son bonheur à épouser celle qu'il adorait . Ce ...
... reste une simple connaissance ou une liaison éphé- mère que Napoléon avait formée avec madame de Beauharnais . L'amour le plus vif et le plus tendre était entré dans son âme , et il mit son bonheur à épouser celle qu'il adorait . Ce ...
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Common terms and phrases
Alexandre alliés anglais armée armes arriva attaque Augereau Austerlitz Autrichiens avaient avez Bernadotte blessés blocus continental Blücher Bonaparte Bourbons braves c'était camp campagne capitale cavalerie cent champ de bataille combat commandement corps législatif czar d'Italie Davoust démocratie devant directoire dit-il division donner drapeaux Égypte ennemis Erfurth eût garde génie gloire gouvernement guerre heures impériale j'ai Joséphine jour journée l'Angleterre l'armée française l'Autriche l'empereur l'empire l'ennemi l'Europe laisser Lannes lui-même marche maréchal maréchal Ney maréchal Soult Marmont mée ment militaires mille hommes monarchie Moscou Murat n'avait n'était Napo Napoléon nation Niémen nouvelle Oudinot paix pape passé patrie peuple Pie VII pièces de canon politique Pologne pont porter position pouvait premier consul prince prisonniers proclamation Prusse Prussiens puissance quartier-général républicain république reste retraite révolution révolution française Rhin rois Russes s'était Sainte-Hélène sénat sera seul Smolensk soldats Soult souverains succès tion triomphe trône troupes trouva vainqueur victoire voulut Witepsk
Popular passages
Page 691 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 256 - J'accepte le titre que vous croyez utile à la gloire de la nation. « Je soumets à la sanction du peuple la loi de l'hérédité. » J'espère que la France ne se repentira jamais des honneurs dont elle environnera ma famille. Dans tous les cas, mon esprit ne sera plus avec ma postérité, le jour où elle cesserait de mériter l'amour et la confiance de la grande nation.
Page 116 - Soldats, Vous allez entreprendre une conquête dont les effets sur la civilisation et le commerce du monde sont incalculables. Vous porterez à l'Angleterre le coup le plus sûr et le plus sensible, en attendant que vous puissiez lui donner le coup de mort.
Page 323 - Soldats, lorsque tout ce qui est nécessaire pour assurer le bonheur et la prospérité de notre patrie sera accompli, je vous ramènerai en France : là, vous serez l'objet de mes plus tendres sollicitudes. Mon peuple vous reverra avec joie, et il vous suffira de dire : « J'étais à la bataille d'Austerlitz ! » pour que l'on vous réponde :
Page 121 - Ils prospéreront dans leur fortune et leur rang. Heureux ceux qui seront neutres ! Ils auront le temps d'apprendre à nous connaître , et ils se rangeront avec nous.
Page 707 - Soldats ! dans mon exil, j'ai entendu votre voix, je suis arrivé à travers tous les obstacles et tous les périls. Votre général, appelé au trône par le choix du peuple, et élevé sur vos pavois, vous est rendu : venez le joindre. Arrachez ces couleurs que la nation a proscrites, et qui, pendant vingt-cinq ans, servirent de ralliement à tous les ennemis de la France. Arborez cette cocarde tricolore : vous la portiez dans nos grandes journées ! Nous devons oublier que nous avons été les...
Page 744 - Bellerophon de me recevoir ainsi que ma suite, n'a voulu que me tendre une embûche, il a forfait à l'honneur et flétri son pavillon. Si cet acte se consommait, ce serait en vain que les Anglais voudraient...
Page 735 - En commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous...
Page 121 - Si l'Egypte est leur ferme, qu'ils montrent le bail que Dieu leur en a fait. Mais Dieu est juste et miséricordieux pour le peuple...
Page 187 - N'est-il donc aucun moyen de s'entendre ? Comment les deux nations les plus éclairées de l'Europe, puissantes et fortes plus que ne l'exigent leur sûreté et leur indépendance, peuvent-elles sacrifier à des idées de vaine grandeur le bien du commerce, la prospérité intérieure, le bonheur des familles ? Comment ne sentent-elles pas que la paix est le premier des besoins comme la première des gloires...