Oeuvres de M. François de Salignac de La Mothe Fénélon, Volume 1De L'Imprimerie de Franç-Amb. Didot, 1787 - Cambrai (France) |
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... nécessaires , et sont quelquefois si redoutées , l'abbé de Fénélon , malgré son mérite , ne fut pendant quelques années ni plus craint ni plus envié que s'il n'avoit été qu'un homme médiocre . Mais n'anticipons rien , et remontons jusqu ...
... nécessaires , et sont quelquefois si redoutées , l'abbé de Fénélon , malgré son mérite , ne fut pendant quelques années ni plus craint ni plus envié que s'il n'avoit été qu'un homme médiocre . Mais n'anticipons rien , et remontons jusqu ...
Page 10
... nécessaire pour résis- . ter au vent contagieux de la faveur et de l'élévation . La premiere éducation de M. de Fénélon , sim- ple , raisonnable et chrétienne , ne nous offre rien de remarquable , et n'en fut peut - être que meilleure ...
... nécessaire pour résis- . ter au vent contagieux de la faveur et de l'élévation . La premiere éducation de M. de Fénélon , sim- ple , raisonnable et chrétienne , ne nous offre rien de remarquable , et n'en fut peut - être que meilleure ...
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... nécessaires pour l'étendre et la fortifier : le cœur étoit droit , sensible , généreux ; et c'est à développer , à perfectionner ces qualités pré- cieuses , et souvent si négligées , qu'on crut devoir ses premiers et ses principaux ...
... nécessaires pour l'étendre et la fortifier : le cœur étoit droit , sensible , généreux ; et c'est à développer , à perfectionner ces qualités pré- cieuses , et souvent si négligées , qu'on crut devoir ses premiers et ses principaux ...
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... nécessaires . Voici comme , dans une lettre écrite à son neveu , il s'explique sur la philosophie qu'on enseignoit encore dans les classes en 1712 : « Je vous remercie , mon cher neveu , de toutes « les marques de votre amitié . Vous me ...
... nécessaires . Voici comme , dans une lettre écrite à son neveu , il s'explique sur la philosophie qu'on enseignoit encore dans les classes en 1712 : « Je vous remercie , mon cher neveu , de toutes « les marques de votre amitié . Vous me ...
Page 22
... nécessaire pour « toutes les études qu'il faut que vous fassiez dans la « suite . Je sais que les jeunes gens qui entendent cri- tiquer cette physique , sont fort tentés de la né- ( c ( C gliger ; mais il faut résister à cette tentation ...
... nécessaire pour « toutes les études qu'il faut que vous fassiez dans la « suite . Je sais que les jeunes gens qui entendent cri- tiquer cette physique , sont fort tentés de la né- ( c ( C gliger ; mais il faut résister à cette tentation ...
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Common terms and phrases
actes ames amis amour assez auroit avez avoient avoit besoin bonté Bossuet Cambrai cardinal de Noailles charité choses chrétienne cœur condamner confiance connoissance connoître croyoit déja demander desirer devoir Dieu diocese dire disoit dit-il doctrine donner donnoit douceur duc de Beauvilliers duc de Bourgogne écrits erreurs esprit étoient étoit évêque faisoit falloit foible François de Sales goût grace hommes j'ai jamais Jésus-Christ l'abbé de Fénélon l'ame l'amour l'archevêque de Cambrai l'église l'esprit l'oraison laisser lettre livre Louis XIV lui-même lumieres madame de Maintenon madame Guyon mandement maniere Maximes des Saints Meaux ment monseigneur mystiques n'avoit n'étoit nécessaire ouvrage paix pape parcequ'il parceque parler paroît paroles penser pere perfection personne persuader piété pourroit pouvoit pré prélat premiere presque prince propre qu'à quiétisme raison Ramsai religion rien saint Augustin Salignac sentiments seroit seul sincere sion soumission systême tion trouve vérité vertu vouloit vrai zele сс сс
Popular passages
Page 286 - Trente , ne commande rien d'impossible; mais, en commandant, il nous avertit de faire ce que nous pouvons et de demander ce que nous ne pouvons pas, et il nous aide à le pouvoir.
Page 698 - Accordez à tous la tolérance civile , non en approuvant tout comme indifférent , mais en souffrant avec patience tout ce que Dieu souffre , et en tâchant de ramener les hommes par une douce persuasion.
Page 425 - Eh bien! repris-je aussitôt, moi, que vous rendez l'arbitre de votre oraison, je vous ordonne, Dieu par ma bouche, de dire après moi : Mon Dieu, je vous prie de me pardonner mes péchés. Je puis bien, dit-elle, répéter ces paroles; mais d'en faire entrer le sentiment dans mon cœur, c'est contre mon oraison.
Page 538 - ... ainsi notre nation n'est point excitée à faire les mêmes efforts que les Grecs pour dominer par la parole. L'usage public de l'éloquence est maintenant presque borné aux prédicateurs et aux avocats. Nos avocats...
Page 480 - Quelque fin qu'un saint pontife puisse donner à cette affaire, je l'attends avec impatience , ne voulant qu'obéir , ne craignant que de me tromper, et ne cherchant que la paix. J'espère qu'on verra dans mon silence, dans ma soumission sans réserve, dans mon horreur...
Page 217 - J'ai fait un ouvrage où j'explique à fond tout le système des voies intérieures, où je marque d'une part tout ce qui est conforme à la foi, et fondé sur la tradition des saints; et de l'autre tout ce qui va plus loin, et qui doit être censuré rigoureusement (i 13).
Page 753 - Je déclare que je veux mourir entre les bras de l'Église catholique , apostolique et Romaine , ma mère. Dieu, qui lit dans les cœurs, et qui me jugera, sait qu'il n'ya eu aucun moment de ma vie, où je n'aie conservé...
Page 71 - ... une grande miséricorde que Dieu vous a faite. Mais, il ne faut pas trop vous appuyer là-dessus : on a souvent plus de part à son élévation qu'on ne pense ; il est...
Page 629 - Je ne puis me sentir si près de vous sans vous en témoigner ma joie et en même temps celle que me cause la permission que le Roi m'a donnée de vous voir en passant. Il ya mis néanmoins la condition de...
Page 141 - J'ai dit, Madame, qu'il ne faut se livrer à personne : je crois pourtant qu'il faut, par principe de christianisme et par sacrifice de sa raison, se soumettre aux conseils d'une seule personne qu'on a choisie pour la conduite spirituelle : si j'ajoute une seule personne, c'est qu'il me semble qu'on ne doit pas multiplier les directeurs, ni en changer sans de grandes raisons; car ces changements ou mélanges produisent une incertitude, et souvent une contrariété dangereuse.