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repos et la sépulture des rois d'Écosse, d'Irlande et de Norwége.

Ce qui précède réfute naturellement l'assertion de ceux qui prétendent que Colomba et ses moines ne reconnaissaient pas la supériorité des évêques sur les prêtres; Adamnan, le biographe de S. Colomba et supérieur de Hy († 704), a soin de distinguer toujours les évêques et les prêtres (1), et Bède, rendant compte de la vocation du moine de Hy, Aidan, missionnaire de Northumbrie, raconte qu'Aïdan y fut envoyé, accepto gradu episcopatus, dont on le trouva digne, ipsum esse dignum episcopatu (2). On ne peut pas plus faire des moines de Colomba de prétendus Culdéens (3), car il n'est question des Culdéens d'Écosse qu'au neuvième et au dixième siècle; c'étaient des chanoines vivant en cominunauté, qui, après l'abolition de la vie canonique, prirent, comme il arriva ailleurs, des concubines (4). On a voulu aussi attribuer à S. Colomba et à ses moines un Symbole différent de celui de l'Église catholique, apostolique et romaine, et la négation de la primauté du Pape; mais la vie de S. Colomba et ce que Bède raconte du couvent de Hy démontrent combien cette assertion est fabuleuse. Bède accorde les louanges les plus fréquentes aux moines de Hy; il ne parle nulle part de leur prétendue doctrine antiromaine; il rappelle seulement leur opinion divergente sur la date de la fête de Pâques, et rapporte qu'à la célèbre conférence de Whitby, en 664, des moines de Hy et l'évêque Colman de Lindisfarne reconnurent la primauté de S. Pierre (5).

La vie de S. Colomba a été écrite par l'abbé de Hy, Cumineus, puis par l'abbé

(1) L. c., p. 208, 211, 229, etc. (2) Bède, Hist. Angl., III, 3 et 5. (3) Voy. CULdéens.

(4) Dællinger, Manuel de l'hist. de l'Église, t. II, p. 113 et 114.

(5) Bède, Hist. Angl., 111, 25.

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| Adamnan. Les deux biographies se trouvent dans les Bolland., au 9 juin. Voy. aussi Usher, Brit. Eccles. Antiquitates, et Döllinger, Hist. de l'Église chrét., t. I, P. II, p. 180.

SCHRÖDL.

COLOMBAN (S.), né en 550 dans la province de Leinster, en Irlande, fut de bonne heure initié aux connaissances sacrées et profanes, entra dans le couvent de Banchor, et s'y voua à tous les exercices d'une vie pieuse et ascétique.

Après avoir été longtemps une des gloires de ce couvent célèbre, il fut saisi du vif désir d'imiter quelques-uns de ses compatriotes, d'aller dans les pays étrangers y répandre les semences du Christianisme ou d'y cultiver les germes de l'Évangile déjà reconnu. Ce fut à regret que Comogell, abbé de Banchor, le vit sortir de cette retraite dont il faisait l'ornement; toutefois il lui donna son consentement et sa bénédiction, et Colomban quitta le couvent vers la fin du sixième siècle, avec douze amis disposés comme lui, parmi lesquels on remarquait Gall, Mang, Théodore et Placide. Ils se dirigèrent vers la France. Les deux anciens biographes dont nous parlerons à la fin de cette article ne donnent pas des renseignements certains sur la date de leur arrivée; mais l'auteur de cet article a démontré ailleurs (1) que Colomban arriva dans les Vosges en 589 ou 590. Il y fixa sa résidence, sur la demande de Gontran, roi des Franks bourguignons, pour enseigner aux habitants de cette contrée alors sauvage à cultiver à la fois leur âme et leur terre. Un vieux château, nommé Anagrates, plus tard Anegray, fut la première résidence des pieux colons, qui se nourrirent des plantes et des racines du désert jusqu'au moment où l'abbé d'un couvent voisin vint à leur aide. La renommée de Colomban lui

(1) Hist. de l'introd. du Christian. dans le sud-ouest de l'Allemagne, p. 263.

attira tant de disciples qui demandaient à entrer dans la nouvelle colonie que le couvent établi dans le vieux château ne put bientôt plus les contenir. Colomban se vit donc obligé de fonder dans le même désert un second couvent. Il choisit pour cela les ruines d'un château, autrefois nommé Luxovium, et qui devint Luxeuil, dans le département de la Haute-Saône (Franche-Comté). Mais là aussi le nombre des nouveaux venus augmenta de jour en jour, et Colomban fut obligé de créer un troisième couvent, qu'on nomma Fontaines, à cause de ses sources abondantes. L'abbé continua à résider à Luxeuil, dont dépendaient les supérieurs des deux autres couvents. Quelque temps après, Colomban eut avec le clergé frank une discussion relative à la solennité de âques. S. Patrice, en fondant l'Église irlandaise, y avait introduit le cycle pascal romain, avec les améliorations importées dans les Gaules par Sulpice Sévère, qui annulaient une erreur chronologique de l'ancien cycle. Les calculs de ce dernier cycle ayant fait les lunaisons de deux minutes et quelques secondes trop courtes, on était, avec le temps, arrivé à une avance de deux jours, et on comptait le 16 du mois quand on n'en était réellement qu'au 14.

troverse sur la fête pascale, en Irlande, et attirait aux Irlandais, de la part des Bretons, le reproche d'être des quartodécimans (parce qu'il était possible que chez eux Pâques tombât le 14 après la nouvelle lune), cette pratique excita une discussion analogue dans les Gaules. Les évêques gaulois ne comprenaient pas complétement la différence qu'il y avait entre la pratique des quartodécimans et celle des Irlandais. Toutefois cette dernière les scandalisa, et ils se réunirent à cette occasion en concile. Il y avait douze ans que Colomban était arrivé dans les Vosges, et il écrivit à cette occasion une lettre remarquable aux évêques assemblés (1), dans laquelle il remercie Dieu d'avoir été la cause de la célébration d'un synode, et exprime l'espoir de voir les évêques des Gaules renouveler souvent de pareilles assemblées pour le bien de l'Église. Du reste, continue-t-il, il les prie de le laisser continuer en paix à pratiquer un usage sur lequel il a déjà répondu au Pape Grégoire. Il envoya, en conséquence, en 606, une nouvelle lettre au Pape Boniface III, avec prière de confirmer l'usage suivi par ses moines. On ne sait si son message arriva à Rome et en obtint réponse; on voit seulement, d'après une lettre postérieure de Colomban, qu'il maintint sa coutume sans cesser de rester en rapport intime avec l'Église

Mais d'autres épreuves firent émigrer S. Colomban et une partie de ses disciples, qui se rendirent dans les environs du lac de Constance, où S. Gall exerça une salutaire influence. Le roi Childebert II, protecteur de Colomban, était mort, et ses deux fils, Théodebert et Théoderic, s'étaient partagé l'héritage paternel; le dernier avait obtenu la Bourgogne, et

Mais, comme Pâques pouvait tomber le 16 après la nouvelle lune, Patrice ordonna que, dans ce cas, l'Église d'Ir-romaine (2). lande célébrerait la fête le 14, d'après le comput de Sulpice Sévère. Ainsi les Irlandais célébraient la fête de Pâques le même jour que les autres Chrétiens, mais ce jour avait chez eux un autre chiffre et se nommait le 14 tandis qu'ailleurs il se comptait comme le 16. Colomban apporta cette coutume irlandaise dans les Gaules, où, vers le milieu du sixième siècle, on avait adopté le calcul plus exact de Denys le Petit. Or la pratique irlandaise qui occasionnait dans le moment même une nouvelle con

(1) Dans Mabillon, Analecta Bened., t. I, p. 233.

(2) Mabill., I. c., p. 261.

verain. Le jeune roi se plaisait à visiter le pauvre moine dans sa cellule, à l'entendre, et se recommandait souvent à son intervention auprès de Dieu; mais Brunehaut, aïeule du jeune prince, qui cherchait à le corrompre méthodiquement, l'empêchait notamment de se marier et le jetait entre les bras de concubines, espérant qu'il s'ensevelirait dans la débauche et lui abandonnerait les rênes du gouvernement. Colomban voulut sauver le prince, et il lui parla un jour sérieusement et avec une paternelle hardiesse de sa situation. Ses paroles firent impression. Brunehaut, l'ayant remarqué, résolut sans retard la perte de ce dangereux concurrent. Elle fit appeler Colomban et lui demanda de bénir et de déclarer capables d'hériter de leur père quatre fils que Théoderic avait eus de ses concubines. Colomban, comme elle l'avait prévu et le voulait, refusa. Aussitôt elle ordonna à tous les autres couvents de cesser tout rapport avec celui de Luxeuil. De plus sévères mesures devaient suivre; l'arrivée de l'abbé dans la villa royale d'Époisse renversa de nouveau le plan de Brunehaut, et son apparition, accompagnée de miracles, au rapport de l'antique biographe Jonas, effraya le roi et suspendit la persécution; mais le calme fut de courte durée.

Colomban reconnaissait en lui son sou- | ban ne voulant pas se retirer de plein gré, on envoya une troupe armée pour le chasser; les soldats le firent sortir de son couvent, en le suppliant de leur pardonner la violence dont ils étaient les involontaires instruments. Il ne put être accompagné que des disciples qui étaient venus d'Irlande avec lui; les autres durent rester, d'après les ordres du roi. Une escorte militaire accompagna le saint abbé jusqu'à Nantes; là un navire l'attendait pour le reconduire avec ses compagnons dans sa patrie; mais des vents contraires et d'autres circonstances empêchèrent leur départ, et Colomban obtint l'autorisation de se choisir un lieu quelconque de retraite hors du royaume de Bourgogne. Au bout de quelque temps de séjour à Nantes il s'adressa au roi Clotaire II, qui régnait alors à Soissons (610), et qui aurait aimé à voir l'homme de Dieu se fixer dans son royaume; mais Colomban avait déjà formé le plan de traverser la France et d'aller en Italie. Lorsqu'il arriva à Metz, le roi d'Austrasie, Théodebert, qui l'avait autrefois chassé, l'autorisa, ainsi que ses amis, à s'établir où ils voudraient dans le royaume d'Austrasie. Après d'assez longues pérégrinations, Colomban et ses disciples, parmi lesquels se distinguait Gall, parvinrent par Mayence, où ils furent amicalement accueillis par l'évêque Léonisius, en Suisse, et s'arrêtèrent près du lac de Zurich, à Tucconia (d'après J. de Muller, c'est vraisemblablement le village actuel de Tuggen, à une demi-lieue du lac de Zurich).

De nouvelles trames de Brunehaut, qui se cachait derrière les fonctionnaires royaux, amenèrent Théoderic à exiger de Colomban quelques changements dans l'organisation de son couvent, afin qu'elle fût conforme à celle des autres maisons de Bourgogne. On avait persuadé au roi que le bien de l'État exigeait une pareille uniformité; l'on savait bien que Colomban ne céderait point, et l'on espérait ainsi parvenir à irriter le roi contre le moine, ce qui eut lieu en effet. Colomban, ayant refusé, reçut l'ordre du roi de quitter le pays. Colom

Les habitants de cette contrée étaient encore presque barbares et beaucoup d'entre eux étaient païens; les missionnaires se vouèrent à leur instruction. Gall, nous l'avons dit, se faisait remarquer par son zèle apostolique. Colomban se trouva un jour au milieu d'une foule de gens réunis autour d'un immense vase rempli de bière; leur ayant

demande ce qu'ils en voulaient faire, ils lui apprirent que ce vase était destine à un sacritice qu'ils allaient offrir à Wodan. Colomban, dit son biographe Jonas, souffle fortement sur ce vase, qui éclate et laisse échapper la bière en ecume. Ce miracle convertit un grand nombre d'assistants qui se firent baptiser; d'autres, dejà baptisés, mais toujours adonnés à des pratiques païennes, les abandonnèrent. Cependant le reste des habitants n'en continua pas moins ses sacritices ordinaires, et, un jour qu'ils se disposaient à célébrer leur culte idolâtrique, Gall, saisi d'une sainte colère, mit le feu à leur temple et jeta leurs offrandes dans le lac. Les habitants irrités maltraitèrent Colomban, mirent Gall presqu'à mort, et obligèrent tous les colons à quitter le pays.

La pieuse colonie se retira au nordest, vers Arbon, vieux castel déjà connu du temps des Romains sous le nom de castrum Arbor felix, au bord méridional du lac de Constance. Colomban trouva à Arbon le curé Willimar et deux diacres qui reçurent très-libéralement les fugitifs. Cinquante ans avant leur arrivée le diocèse de Vindonisse avait été transféré à Constance (1), et, tout le long des bords du lac, Chrétiens et païens vivaient confondus. C'est pourquoi les missionnaires pensèrent exercer pendant quelque temps leur ministère dans ces contrées, et Willimar leur recommanda comme une résidence très-favoble Brigantium, aujourd'hui Brégenz (2), naguère dévasté par les Alemans. Après être restés sept jours auprès de Willimar ils s'embarquèrent pour Brégenz, et à peine arrivés ils entrèrent dans une petite église dédiée à Ste Aurélie pour y faire leur prière, considérèrent la contrée, la trouvèrent agréable, et s'y bâtirent des cellules tout autour de la petite

(1) Voy. CONSTANCE (2) Voy. BREGENZ.

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église. On montre encore auprès de Brégenz la pierre de S. Gall, et la place où les missionnaires passèrent, suivant la tradition, la première nuit. Quant à la petite église de Sainte-Aurélie, elle devait être sur l'emplacement où plus tard on bâtit le couvent de Mehrerau, à un quart de lieue de Brégenz. Cette église de Sainte-Aurélie date du temps où des communautés chrétiennes avaient fleuri parmi les colonies romaines autour du lac de Brégenz et avaient érigé publiquement des temples sous la protection des premiers empereurs chrétiens; mais, depuis que les Alemans s'étaient abattus sur ce pays et y avaient établi leur domination, Brégenz avait été ruinée; toutefois l'église de Sainte-Aurélie avait été épargnée, et les Alemans en avaient fait un temple. Trois statues d'airain doré, représentant des divinités alémaniques, étaient adorées dans ce sanctuaire. Les missionnaires formèrent donc le projet de convertir ces habitants, et Colomban en chargea spécialement son disciple Gall, qui non-seulement savait le latin, mais qui parlait la langue des barbares, c'est-à-dire le germain. Gall commença ses prédications un jour de fête païenne, au milieu d'une foule réunie à la fois pour assister à la solennité et pour voir les étrangers. Il parla du vrai Dieu, de son Fils, et de la vanité des idoles, qu'il démontra incontinent en saisissant les trois statues qu'il brisa en morceaux et dont il jeta les débris dans le lac. Une partie des assistants crut au Dieu de S. Gall, les autres partirent irrités et méditant de se venger. Colomban fit apporter de l'eau, la bénit, en aspergea le temple profané par les superstitions païennes, et le consacra au culte du vrai Dieu.

Les missionnaires demeurèrent pendant trois ans à Brégenz, se bâtirent de nouvelles cellules, plantèrent un jardin, cultivèrent des arbres fruitiers, se nourrissant surtout de poisson, exerçant

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l'hospitalité envers les étrangers, secou-
rant les habitants, et ne se lassant pas de
prêcher l'Évangile par leurs paroles et
leurs exemples. Mais plus leur mission
faisait de progrès, plus ce qui restait de❘
païens s'irritaient et songeaient à se dé-
barrasser des missionnaires. Ils eurent
recours à un moyen qui manquait ra-
rement son effet dans ces temps. Ils se
rendirent auprès du duc aleman Gunzo,
qui résidait à Ueberlingen (Iburningas),
et lui représentèrent combien les colons
étrangers nuisaient à la chasse publi-
que dans ces régions. Ils appuyaient
leur plainte de preuves, en montrant les
terres que les travaux agricoles des re-
ligieux avaient arrachées aux plaisirs de
la chasse, et l'on pouvait facilement pré-
voir le résultat d'une récrimination de ce
genre auprès d'un déterminé chasseur.
Les accusateurs de Colomban ne pou-
vaient articuler les véritables motifs de
leur accusation; car Gunzo était sans
aucun doute déjà chrétien, comme le
prouvent ses rapports ultérieurs avec
S. Gall (1). L'accusation porta ses fruits,
et le duc ordonna aux étrangers de
quitter la contrée. Les païens mirent
directement la main à la besogne, atta-
quèrent les missionnaires et en tuèrent
deux par trahison. Colomban résolut
alors d'émigrer en Italie, où l'avait depuis
longtemps attiré le vœu secret de son
cœur. Il recommanda à ses amis d'avoir
confiance en leur divin protecteur, dont
l'ange voulait certainement les conduire
vers Agilulphe, roi des Lombards. Cette
nouvelle émigration eut lieu trois ans
après leur arrivée en Suisse, en 612.

Cette date nous donne une autre indication, et nous explique pourquoi les missionnaires abandonnèrent si facilement les Alemans et ne firent aucune démarche pour obtenir l'autorisation de rester dans le pays. En 612 Théoderic, roi de Bourgogne, avait vaincu son frère

(1) Voy. GALL (S.).

Théodebert d'Austrasie et conquis son royaume; Théoderic devint par là maître de l'Alemanie, par conséquent de Brégenz, et c'était le prince qui déjà avait chassé les moines de Luxeuil. Brunehaut vivait encore, plus puissante que jamais, et ce n'était pas encourageant pour les missionnaires.

Lorsque le moment du départ fut arrivé, Gall tomba malade d'une forte fièvre, et déclara aux pieds de son maître qu'il n'était pas en état de le suivre. Colomban, on ne sait pourquoi, n'eut pas confiance en son disciple, crut que Gall avait trop pris en affection leur résidence actuelle, et lui dit : « Je sais, frère, qu'il t'en coûte de t'exposer à ces nouvelles fatigues. Reste donc ici; mais, ce que je puis te prédire, c'est que, tant que tu vivras, tu ne célébreras plus la sainte messe. » Ils se séparèrent; Colomban gagna l'Italie, fonda le couvent de Bobio, dans les Apennins, et On a conservé des mourut en 615. œuvres de S. Colomban :

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mieux

I. De 8 Vitiis principalibus; II. Pœnitentiale; III. Instructiones de Officiis Christianis; IV. Quelques Lettres et quelques Poésies. Ces ouvrages ont été souvent réimprimés, par exemple dans la Biblioth. maxim. PP., dans la Biblioth. veterum PP. de Galland, t. XII. La biographie de S. Colomban a été écrite par son compagnon Jonas, moine du couvent de Bobio, et par Walafrid Strabon, abbé de Reichenau dans le neuvième siècle. Ces biographies sont imprimées dans Mabillon, Acta SS. ordin. S. Bened. I sæculi, sect. 2, et dans Goldast, Rerum Alem. Script., t. I, p. 2.

Cf. Héfélé, Hist. de l'Introd. du Christ. dans le sud-ouest de l'Allemagne, p. 262, 280, et Knottenbelt, Disp. de Columbano, Lugd. Batav., 1839.

HÉFÉLÉ.

COLOMBINO (JEAN). Voy. JÉSUates.

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