Histoire de l'affaire Dreyfus: RennesEditions de la Revue Blanche, 1905 - France |
From inside the book
Results 1-5 of 99
Page 12
... question annoncée sur les scènes de la gare Saint - Lazare , interpeller sur les menées royalistes , dénoncer à la tribune la comédie des pseudo- poursuites . Dupuy , très adroitement , y para , en lançant tout de suite son Bisseuil ...
... question annoncée sur les scènes de la gare Saint - Lazare , interpeller sur les menées royalistes , dénoncer à la tribune la comédie des pseudo- poursuites . Dupuy , très adroitement , y para , en lançant tout de suite son Bisseuil ...
Page 13
... question de confiance , dé- clara qu'il mettrait aux sénateurs le marché à la main , les rendrait responsables de la crise ( 1 ) . A la Chambre , il l'avait emporté en une séance , sans presque combattre . Il lui fallut trois jours ( 2 ) ...
... question de confiance , dé- clara qu'il mettrait aux sénateurs le marché à la main , les rendrait responsables de la crise ( 1 ) . A la Chambre , il l'avait emporté en une séance , sans presque combattre . Il lui fallut trois jours ( 2 ) ...
Page 14
... question , qualifia l'enquête sur la Chambre criminelle « une des plus grandes hontes du siècle » . << Les arrêts dictés par l'opinion publique , je n'appelle plus cela la justice , mais l'arbitraire , et l'arbitraire sans honneur ...
... question , qualifia l'enquête sur la Chambre criminelle « une des plus grandes hontes du siècle » . << Les arrêts dictés par l'opinion publique , je n'appelle plus cela la justice , mais l'arbitraire , et l'arbitraire sans honneur ...
Page 15
... question de procédure ? Non , ce sont les principes mêmes sur lesquels se fonde la sécurité individuelle autant que la liberté des citoyens » . Vous ne laisserez pas toucher à ce trésor national , au dépôt sacré que nous tenons de nos ...
... question de procédure ? Non , ce sont les principes mêmes sur lesquels se fonde la sécurité individuelle autant que la liberté des citoyens » . Vous ne laisserez pas toucher à ce trésor national , au dépôt sacré que nous tenons de nos ...
Page 36
... question de Joseph Fabre sur la circulaire de la Patrie française que j'avais révé- lée . ( 3 ) Courrier de Genève du 13 mars . Voir p . 5. ) ( 4 ) « Cet Italien , plus diplomate que prètre ... GAMBETTA , du 20 février 1878 ...
... question de Joseph Fabre sur la circulaire de la Patrie française que j'avais révé- lée . ( 3 ) Courrier de Genève du 13 mars . Voir p . 5. ) ( 4 ) « Cet Italien , plus diplomate que prètre ... GAMBETTA , du 20 février 1878 ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
accusation antisémite août aurait Austerlitz avaient Barrès Bernard Lazare Bertillon Boisdeffre bordereau annoté Brücker c'était capitaine Dreyfus Carrière Casimir-Perier Cass Cernuski Chambre criminelle Chambres réunies Chamoin chose Clemenceau colonel condamné conseil de guerre Cour de cassation crime Cuignet d'Esterhazy d'Henry débats déclaration Delcassé demande dépêche déposition Déroulède devant discours documents dossier secret Drumont Dupuy Esterhazy eût faux fort Chabrol Freycinet Freystætter fût Galliffet général Mercier Gonse gouvernement Guérin Haute Cour Henry homme Ibid j'ai Jaurès Jouaust jour journaux juges juifs juillet juin justice Krantz l'Affaire l'armée l'arrêt l'audience l'avait l'île du Diable Labori Lebret lettre Libre Parole Loubet lui-même Manau Mareschal Mathieu Dreyfus Mazeau ment militaires Millerand ministre Mornard n'avait n'était officiers Panizzardi Paty Picquart pièces secrètes police Président Procès Dautriche procès de Rennes Przyborowski Quesnay question raconta républicains République revision revisionnistes rien Roget s'était Sandherr Schwarzkoppen septembre 1899 serait seulement soldats témoins tion Trarieux voix Waldeck-Rousseau Zola Zurlinden
Popular passages
Page 581 - Rennes, à ce désigné par délibération spéciale prise en chambre du conseil, pour être jugé sur la question suivante : Dreyfus est-il coupable d'avoir, en 1894, pratiqué des machinations ou entretenu des intelligences avec une puissance étrangère ou un de ses agents, pour l'engager à commettre des hostilités ou entreprendre la guerre contre la France, ou pour lui en procurer les moyens, en lui livrant des notes...
Page 581 - A tous commandants et officiers de la force publique de prêter main forte lorsqu'ils en seront légalement requis.
Page 81 - Lorsqu'il ne pourra être procédé de nouveau à des débats oraux entre toutes les parties, notamment en cas de décès, de contumace ou de défaut d'un ou de plusieurs condamnés, en cas de prescription de l'action ou de celle de la peine, la cour de cassation, après avoir constaté expressément cette impossibilité, statuera au fond, sans cassation préalable ni renvoi, en présence des parties civiles, s'il...
Page 578 - Lorsque, après une condamnation, un fait viendra à se produire ou à se révéler, ou lorsque des pièces inconnues lors des débats seront représentées, de nature à établir l'innocence du condamné.
Page 578 - Sur le moyen concernant le bordereau : Attendu que le crime reproché à Dreyfus consistait dans le fait d'avoir livré à une puissance étrangère ou à ses agents des documents intéressant la défense nationale, confidentiels ou secrets, dont l'envoi avait été accompagné d'une lettre missive, ou bordereau non datée, non signée, et écrite sur un papier pelure « filigrane au canevas après fabrication de rayures en quadrillage de quatre millimètres sur chaque sens...
Page 589 - ... décret cijoint. Veuillez agréer, Monsieur le Président, l'hommage de mon respectueux dévouement. Le ministre de la guerre, BILLOT. Le Président de la République française, Sur le rapport du ministre de la guerre, Décrète : Art. 1".
Page 43 - S'agirait-il d'un autre prévenu que l'innocent ou le coupable qu'ont introduit ses juges ? La vraie accusée ne serait-elle pas la République ? Qu'on n'espère pas, en tout cas, faire de cette affaire de partis une affaire de religion.
Page 564 - Dès aujourd'hui, je vais continuer à poursuivre la réparation de l'effroyable erreur judiciaire dont je suis encore victime. Je veux que la France entière sache, par un jugement définitif, que je suis innocent. Mon cœur ne sera apaisé que lorsqu'il n'y aura plus un Français qui m'impute un crime qu'un autre a commis.
Page 579 - Att. qu'en novembre 1898, l'enquête a révélé l'existence et amené la saisie de deux lettres sur papier pelure quadrillé, dont l'authenticité n'est pas douteuse, datées l'une du 17 avril 1892, l'autre du 17 août 1894, celle-ci contemporaine de l'envoi du bordereau, toutes deux émanées...
Page 579 - Attendu que cette lettre, base de l'accusation dirigée contre lui, avait été successivement soumise à cinq experts chargés d'en comparer l'écriture avec la sienne, et que trois d'entre eux, Charavay, Teyssonnières et Bertillon, la lui avaient attribuée ; Que l'on n'avait, d'ailleurs, ni découvert en sa possession, ni prouvé qu'il eût employé aucun papier de cette espèce et que les recherches faites pour en trouver de...