| Jules Michelet - 1835 - 736 pages
...décrets dr nos Assemblées républicaines. qui n'était pas de la mort. Ces papiers , ces parcbemins laissés là depuis long-temps ne demandaient pas...Ces papiers ne sont pas des papiers, mais des vies d'bommes, de provinces , de peuples. D'abord , les familles et les fiefs , blasonnés dans leur poussière,... | |
| Jules Michelet - France - 1840 - 692 pages
...des siècles! Toutefois je ne lardai pas à m'apercevoir dans le silence apparent de ces galeries, qu'il y avait un mouvement, un murmure qui n'était...provinces, de peuples. D'abord, les familles et les fiefs, blasonnés dans leur poussière, réclamaient contre l'oubli. Les provinces se soulevaient,... | |
| Jules Michelet - France - 1861 - 620 pages
...des siècles ! Toutefois je ne tardai pas à m'apercevoir dans le silence apparent de ces galeries, qu'il y avait un mouvement, un murmure qui n'était...provinces, de peuples. D'abord, les familles et les fiefs, blasonnés dans leur poussière, réclamaient contre l'oubli. Les provinces se soulevaient,... | |
| J. MICHELET - 1871 - 1028 pages
...un mouvement, un mur1 Os divers objets ont été déposés aux archives en vertu des décrett mure qui n'était pas de la mort. Ces papiers, ces parchemins...provinces, de peuples. D'abord, les familles et les iiefs, blasonnés dans leur poussière, réclamaient contre l'oubli. Les provinces se soulevaient,... | |
| Académie des sciences morales et politiques (France) - 1887 - 982 pages
...pénétra dans ces longues galeries. «Je ne tardai pas à m'apercevoir, dans ce silence apparent, qu'il y avait un mouvement, un murmure qui n'était...mais des vies d'hommes, de provinces, de peuples. Si en voulait les écouter tous, comme disait le fossoyeur au champ de bataille, il n'y en aurait pas... | |
| Jules Simon - 1890 - 384 pages
...pénétra dans ces longues galeries. *< Je ne tardai pas à m'apercevoir, dans ce silence apparent, qu'il y avait un mouvement, un murmure qui n'était...des papiers, mais des vies d'hommes, de provinces, dépeuples. Si on voulait les écouter tous, comme disait le fossoyeur au champ de bataille, il n'y... | |
| Camille Jullian - France - 1896 - 904 pages
...m'apercevoir dans lu sik-Hco apparentée ces galeries », dit Michelet des Archives du Royaume1, « qu'il y avait un mouvement, un murmure qui n'était...jour. Ces papiers ne sont pas des papiers, mais des vie d'hommes, de provinces, de peuples. D'abord, les familles et les fiefs, blasonnés dans leur poussière,... | |
| Louis Petit de Julleville - French language - 1899 - 1002 pages
...voix, marchent et parlent. « Je ne tardai pas à m'apercevoir que dans ces galeries (les Archives) il y avait un mouvement, un murmure qui n'était pas de la mort... Ces papiers ne sont pas des papiers, mais des vies d'hommes, de provinces, de peuples. D'abord, les familles et... | |
| Camille Jullian - France - 1897 - 824 pages
...il entend 'icux papiers des Archives, et il leur répond. LU INTRODUCTION. galeries », dit Michclet des Archives du Royaume', « qu'il y avait un mouvement,...provinces, de peuples. D'abord, les familles et les liefs, hlasonnés dans leur poussière, réclamaient contre l'oubli. Les provinces se soulevaient, alléguant... | |
| Gustave Merlet - French literature - 1900 - 828 pages
...j'errai vingt années, dans ce profond silence, des murmures cependant venaient à mon oreille... : ces papiers ne sont pas des papiers, mais des vies d'hommes, de provinces, de peuples.... Si on eût voulu les écouter tous, comme disait ce fossoyeur au champ de bataille, il n'y en aurait... | |
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