Histoire de Napoléon, Volume 4Furne, 1834 - France |
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... gauche ; cette armée s'élevait à soixante mille hommes . L'armée anglaise était stationnée à Irun ; elle occupait la Basse - Navarre , où elle couvrait les sièges de Pampelune et de Saint - Sébastien ; mais lors- qu'il apprit l'arrivée ...
... gauche ; cette armée s'élevait à soixante mille hommes . L'armée anglaise était stationnée à Irun ; elle occupait la Basse - Navarre , où elle couvrait les sièges de Pampelune et de Saint - Sébastien ; mais lors- qu'il apprit l'arrivée ...
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... gauche ; en conséquence , il se concentre derrière la petite rivière de Haynau . Mais l'armée française continue son attaque avec vigueur , et il doit se réfugier derrière la Katzbach . A la fin de cette journée a lieu la première ...
... gauche ; en conséquence , il se concentre derrière la petite rivière de Haynau . Mais l'armée française continue son attaque avec vigueur , et il doit se réfugier derrière la Katzbach . A la fin de cette journée a lieu la première ...
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... gauche des alliés ; le maréchal Mortier sur la droite , par la porte de Pirna . Le roi de Naples , avec la cavalerie de la garde et celle de Latour - Maubourg , repousse l'en- nemi sur la route de Wilsdruf . Bientôt la victoire , que ...
... gauche des alliés ; le maréchal Mortier sur la droite , par la porte de Pirna . Le roi de Naples , avec la cavalerie de la garde et celle de Latour - Maubourg , repousse l'en- nemi sur la route de Wilsdruf . Bientôt la victoire , que ...
Page 27
... gauche est sans appui . Cette lacune n'échappe pas à Napoléon . Le roi de Naples commande notre aile droite , le maréchal Ney la gauche , l'Empereur le centre . A sept heures la canonnade commence sur tous les fronts . Notre aile droite ...
... gauche est sans appui . Cette lacune n'échappe pas à Napoléon . Le roi de Naples commande notre aile droite , le maréchal Ney la gauche , l'Empereur le centre . A sept heures la canonnade commence sur tous les fronts . Notre aile droite ...
Page 31
... gauche par les Autrichiens , assailli par dix mille hommes de ca- valerie , il voit sa gauche forcée de se reployer sur Arbesau ; toutefois sa droite et son centre , appuyés sur Kulm , soutiennent le combat avec d'autant plus de vigueur ...
... gauche par les Autrichiens , assailli par dix mille hommes de ca- valerie , il voit sa gauche forcée de se reployer sur Arbesau ; toutefois sa droite et son centre , appuyés sur Kulm , soutiennent le combat avec d'autant plus de vigueur ...
Common terms and phrases
abdication alliés anglais armée armée de Bohême armes armistice arriva attaque Augereau Autrichiens avaient bataille bataillons Bellerophon Beningsen Bernadotte Blücher braves Bulow capitale cavalerie cent mille hommes Chambre des Représentans cinquante mille Codicille commandant comte congrès corps coup d'armes déclaration défection devant dit-il division Dresde duc de Bassano duc de Vicence ennemis Essonne eût Fontainebleau forces Fouché française garde nationale gauche général Bertrand gloire Gourgaud gouvernement provisoire Grouchy guerre habitans heures Hudson-Lowe Idem jour l'abdication l'armée l'Autriche l'empereur Alexandre l'ennemi l'Europe l'île d'Elbe Leipsick lendemain léon Ligny Longwood lord Macdonald marche maréchal Ney Marmont ment Metternich ministre Montholon Mortier n'avait Naples Napo Napoléon nation négociation nuit officiers ordres Oudinot paix patrie pereur peuple plénipotentiaires poléon pont porter position Prague prince de Schwartzemberg proclamation Prusse Prussiens quartier-général Quatre-Bras reste retraite Rhin route Russie s'était Sainte-Hélène Sénat sera seul soir soldats Souham souverain tion trente mille troupes Troyes Vandamme victoire Wellington
Popular passages
Page 354 - Je désire que mes cendres reposent sur les bords de la Seine, au milieu de ce peuple français que j'ai tant aimé.
Page 257 - Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne! Ma vie politique est terminée, et je proclame mon fils, sous le titre de Napoléon II, Empereur des Français.
Page 300 - J'en appelle à l'histoire : elle dira qu'un ennemi qui fit vingt ans la guerre au peuple anglais, vint librement, dans son infortune, chercher un asile sous ses lois; quelle plus éclatante preuve pouvait-il lui donner de son estime et de sa confiance? Mais comment répondit-on, en Angleterre, à une telle magnanimité? On feignit de tendre une main hospitalière à cet ennemi ; et quand il se fut livré de bonne foi, on l'immola.
Page 223 - Ils savent que cette coalition est insatiable ! Après avoir dévoré douze millions de Polonais, douze millions d'Italiens, un million de Saxons, six millions de Belges, elle devra dévorer les États de deuxième ordre de l'Allemagne.
Page 256 - Je les ai trouvés, je les ai laissés pauvres. L'instinct de la nécessité les éclaire, la voix du pays parle par leur bouche ; et si je le veux, si je le permets, la Chambre rebelle, dans une heure, elle n'existera plus...
Page 175 - Français ne furent jamais sur le point d'être plus puissants, et l'élite de l'armée ennemie était perdue sans ressource; elle eût trouvé son tombeau dans ces vaStes contrées qu'elle avait si impitoyablement saccagées, lorsque la trahison du duc de Raguse livra la capitale et désorganisa l'armée.
Page 332 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie, J'allais, Seigneur, pleurer un moment avec lui.
Page 294 - Altesse Royale, en butte aux factions qui « divisent mon pays et à l'inimitié des plus grandes « puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière « politique, et je viens, comme Thémistocle, « m'asseoir au foyer du peuple britannique. Je « me mets sous la protection de ses lois, que je « réclame de Votre Altesse Royale comme du plus « puissant, du plus constant et du plus généreux
Page 251 - Lorsque,, pour la première fois, depuis bien des années , j'élève une voix que les vieux amis de la liberté reconnaîtront encore , je me sens appelé à vous parler des dangers de la patrie, que vous seuls à présent avez le pouvoir de sauver.
Page 363 - ... périr sur le rocher de Sainte-Hélène. Wellington, qui a proposé cet attentat, cherchait à le justifier sur l'intérêt de la Grande-Bretagne, Cantillon, si vraiment il eût assassiné le lord, se serait couvert, et aurait été justifié par les mêmes motifs...