Histoire de Napoléon, Volume 4Furne, 1834 - France |
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... n'était pas le moins dangereux des amis de Napo- léon , et qu'il ne fallait pas laisser à Paris en de telles circonstances ; aussi l'envoyait - on remplacer le comte Bertrand au gouvernement général d'Illyrie ; mais Fouché prit le temps ...
... n'était pas le moins dangereux des amis de Napo- léon , et qu'il ne fallait pas laisser à Paris en de telles circonstances ; aussi l'envoyait - on remplacer le comte Bertrand au gouvernement général d'Illyrie ; mais Fouché prit le temps ...
Page 19
... n'était pas Fran- çais ne parlait qu'avec une féroce impatience du terme de ce congrès . Ce terme était si fatal , qu'il ne pouvait être retardé d'une heure ! La civilisation du dix - neuvième siècle le voulait ainsi pour le bonheur du ...
... n'était pas Fran- çais ne parlait qu'avec une féroce impatience du terme de ce congrès . Ce terme était si fatal , qu'il ne pouvait être retardé d'une heure ! La civilisation du dix - neuvième siècle le voulait ainsi pour le bonheur du ...
Page 53
... n'était pas moins meurtrière sur les rives de la Partha , où le prince de la Moskowa avait à combattre le prince royal de Suède et le maréchal Blücher . Menacé d'être tourné par le premier à Mockau , où Langeron a forcé le passage de la ...
... n'était pas moins meurtrière sur les rives de la Partha , où le prince de la Moskowa avait à combattre le prince royal de Suède et le maréchal Blücher . Menacé d'être tourné par le premier à Mockau , où Langeron a forcé le passage de la ...
Page 65
... n'était que de douze pièces contre trente , ce gé- néral garda sa position . Débarrassé de toute inquié- tude , le quatrième corps évacua Hanau pour prendre la route de Francfort . La division bavaroise , qui se trouvait dans cette ...
... n'était que de douze pièces contre trente , ce gé- néral garda sa position . Débarrassé de toute inquié- tude , le quatrième corps évacua Hanau pour prendre la route de Francfort . La division bavaroise , qui se trouvait dans cette ...
Page 71
... n'était point le manifeste de Francfort qui était une improvisation de la politique des alliés , mais bien les propositions faites à M. de Saint - Aignan . Dès le principe , l'Autriche avait senti qu'il lui fallait du temps pour armer ...
... n'était point le manifeste de Francfort qui était une improvisation de la politique des alliés , mais bien les propositions faites à M. de Saint - Aignan . Dès le principe , l'Autriche avait senti qu'il lui fallait du temps pour armer ...
Common terms and phrases
abdication alliés anglais armée armée de Bohême armes armistice arriva attaque Augereau Autrichiens avaient bataille bataillons Bellerophon Beningsen Bernadotte Blücher braves Bulow capitale cavalerie cent mille hommes Chambre des Représentans cinquante mille Codicille commandant comte congrès corps coup d'armes déclaration défection devant dit-il division Dresde duc de Bassano duc de Vicence ennemis Essonne eût Fontainebleau forces Fouché française garde nationale gauche général Bertrand gloire Gourgaud gouvernement provisoire Grouchy guerre habitans heures Hudson-Lowe Idem jour l'abdication l'armée l'Autriche l'empereur Alexandre l'ennemi l'Europe l'île d'Elbe Leipsick lendemain léon Ligny Longwood lord Macdonald marche maréchal Ney Marmont ment Metternich ministre Montholon Mortier n'avait Naples Napo Napoléon nation négociation nuit officiers ordres Oudinot paix patrie pereur peuple plénipotentiaires poléon pont porter position Prague prince de Schwartzemberg proclamation Prusse Prussiens quartier-général Quatre-Bras reste retraite Rhin route Russie s'était Sainte-Hélène Sénat sera seul soir soldats Souham souverain tion trente mille troupes Troyes Vandamme victoire Wellington
Popular passages
Page 354 - Je désire que mes cendres reposent sur les bords de la Seine, au milieu de ce peuple français que j'ai tant aimé.
Page 257 - Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne! Ma vie politique est terminée, et je proclame mon fils, sous le titre de Napoléon II, Empereur des Français.
Page 300 - J'en appelle à l'histoire : elle dira qu'un ennemi qui fit vingt ans la guerre au peuple anglais, vint librement, dans son infortune, chercher un asile sous ses lois; quelle plus éclatante preuve pouvait-il lui donner de son estime et de sa confiance? Mais comment répondit-on, en Angleterre, à une telle magnanimité? On feignit de tendre une main hospitalière à cet ennemi ; et quand il se fut livré de bonne foi, on l'immola.
Page 223 - Ils savent que cette coalition est insatiable ! Après avoir dévoré douze millions de Polonais, douze millions d'Italiens, un million de Saxons, six millions de Belges, elle devra dévorer les États de deuxième ordre de l'Allemagne.
Page 256 - Je les ai trouvés, je les ai laissés pauvres. L'instinct de la nécessité les éclaire, la voix du pays parle par leur bouche ; et si je le veux, si je le permets, la Chambre rebelle, dans une heure, elle n'existera plus...
Page 175 - Français ne furent jamais sur le point d'être plus puissants, et l'élite de l'armée ennemie était perdue sans ressource; elle eût trouvé son tombeau dans ces vaStes contrées qu'elle avait si impitoyablement saccagées, lorsque la trahison du duc de Raguse livra la capitale et désorganisa l'armée.
Page 332 - Je passais jusqu'aux lieux où l'on garde mon fils. Puisqu'une fois le jour vous souffrez que je voie Le seul bien qui me reste et d'Hector et de Troie, J'allais, Seigneur, pleurer un moment avec lui.
Page 294 - Altesse Royale, en butte aux factions qui « divisent mon pays et à l'inimitié des plus grandes « puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière « politique, et je viens, comme Thémistocle, « m'asseoir au foyer du peuple britannique. Je « me mets sous la protection de ses lois, que je « réclame de Votre Altesse Royale comme du plus « puissant, du plus constant et du plus généreux
Page 251 - Lorsque,, pour la première fois, depuis bien des années , j'élève une voix que les vieux amis de la liberté reconnaîtront encore , je me sens appelé à vous parler des dangers de la patrie, que vous seuls à présent avez le pouvoir de sauver.
Page 363 - ... périr sur le rocher de Sainte-Hélène. Wellington, qui a proposé cet attentat, cherchait à le justifier sur l'intérêt de la Grande-Bretagne, Cantillon, si vraiment il eût assassiné le lord, se serait couvert, et aurait été justifié par les mêmes motifs...