Ruche littéraire et politique, Volumes 3-41854 |
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aime Almonte âme américain amour Asmodée avez beau beauté belle blanc bonheur bras brise Brise-tout C'était Cacouna Canada Carbonari Castor charmes Chedotel cher chose ciel Clémence Cléry cœur comte corsage côté coup Cronstadt devant Dieu dire dit-il Donaldsonville Duval enfant êtes femme fleurs front Georges Georges Duval Greytown Guillaume Guyonne heures j'ai j'étais jamais Jean de Ganay Jeannet jeune fille jeune homme jour l'amour l'écuyer l'homme laisser larmes Laure lèvres Louis Louis Duchesnes Lucie madame madame Duval mademoiselle main maison Maléficieux malheureux matelot ment mère monde monseigneur monsieur Montréal navire Neptune noir Nouvelle-France nuit parfum passe pauvre Pékin pensée père peuple pieds pleure politique porte qu'un Québec regard répondit reste rien robe Roche rose Ruche rue de Chabrol s'écria s'était sais seigneur sentiments sera seul soir soleil sorte sourire terre tête Tiverton trouve velours vicomte visage voix yeux Yvon
Popular passages
Page 326 - Quand le Gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple , et pour chaque portion du peuple, le plus sacré et le plus indispensable des devoirs.
Page 60 - Beau trio de baudets ! Le meunier repartit : Je suis âne , il est vrai , j'en conviens , je l'avoue ; Mais que dorénavant on me blâme , on me loue, Qu'on dise quelque chose ou qu'on ne dise rien , J'en veux faire à ma tête.
Page 302 - Quand une lecture vous élève l'esprit, et qu'elle vous inspire des sentiments nobles et courageux, ne cherchez pas une autre règle pour juger de l'ouvrage; il est bon, et fait de main d'ouvrier.
Page 161 - Par la loi même de la nature, les femmes, tant pour elles que pour leurs enfants, sont à la merci des jugements des hommes : il ne suffit pas qu'elles soient estimables, il faut qu'elles soient estimées...
Page 571 - En présence de Dieu et devant le peuple français, représenté par l'Assemblée nationale, je jure de rester fidèle à la République démocratique une et indivisible , et de remplir tous les devoirs que m'impose la Constitution.
Page 435 - Vous qui connaissez tous la fable du Corbeau, Je viens à ce sujet vous conter du nouveau : Hier, en traversant la forêt de Sénard, Je fus témoin, hélas ! de la mort du renard.
Page 461 - Dans son château, près d'un large foyer. Le père et l'oncle, et la mère et la fille, Et les voisins, et toute la famille. Ouvraient l'oreille à monsieur l'aumônier. Qui leur faisait des contes de sorcier. On a banni les démons et les fées; Sous la raison les grâces étouffées Livrent nos cœurs à l'insipidité ; Le raisonner tristement s'accrédite; On court, hélas! après la vérité : Ah! croyez-moi, l'erreur a son mérite.
Page 247 - Tout ce fatras fut du chanvre en son temps; Linge il devint par l'art des tisserands, Puis en lambeaux des pilons le pressèrent : II fut papier ; cent cerveaux à l'envers De visions à l'envi le chargèrent ; Puis on le brûle, il vole dans les airs, II est fumée, aussi bien que la gloire. De nos travaux voilà quelle est l'histoire ; Tout est fumée, et tout nous fait sentir Ce grand néant qui doit nous engloutir.
Page 199 - S'il faut une grande intelligence pour créer un mot, quel âge a donc la parole humaine ? L'assemblage des lettres, leurs formes , la figure qu'elles donnent à un mot, dessinent exactement, suivant le caractère de chaque peuple, des êtres inconnus dont le souvenir est en nous.
Page 199 - Par leur seule physionomie, les mots raniment dans notre cerveau les créatures auxquelles ils servent de vêtement. Semblables à tous les êtres, ils n'ont qu'une place où leurs propriétés puissent pleinement agir et se développer.