French Verse from Villon to Verlaine |
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... passé , les mérites égale D'Archémore 2 et de lui . Ne te lasse donc plus d'inutiles complaintes : Mais , sage à l'avenir , Aime une ombre comme ombre , et des cendres éteintes Éteins le souvenir . C'est bien , je le confesse , une ...
... passé , les mérites égale D'Archémore 2 et de lui . Ne te lasse donc plus d'inutiles complaintes : Mais , sage à l'avenir , Aime une ombre comme ombre , et des cendres éteintes Éteins le souvenir . C'est bien , je le confesse , une ...
Page 68
... passé les premiers à peine . Au banquet de la vie à peine commencé Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine . " Je ne suis qu'au printemps , je veux voir la moisson ; Et comme le soleil , de saison ...
... passé les premiers à peine . Au banquet de la vie à peine commencé Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine . " Je ne suis qu'au printemps , je veux voir la moisson ; Et comme le soleil , de saison ...
Page 85
... passé , sombres abîmes , Que faites - vous des jours que vous engloutissez ? Parlez : nous rendrez - vous ces ... passe LAMARTINE 85.
... passé , sombres abîmes , Que faites - vous des jours que vous engloutissez ? Parlez : nous rendrez - vous ces ... passe LAMARTINE 85.
Page 86
... passe , Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés , Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés ! Que le vent qui gémit , le roseau qui soupire , Que les parfums légers de ton air embaumé , Que ...
... passe , Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés , Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés ! Que le vent qui gémit , le roseau qui soupire , Que les parfums légers de ton air embaumé , Que ...
Page 88
... 'attend l'engloutit tout entière , Un silence éternel succède à ses amours ; Mais les siècles auront passé sur ta poussière , Elvire , et tu vivras toujours ! LX Le Crucifix ( Nouvelles Méditations poétiques , 1823 ) 88 FRENCH VERSE.
... 'attend l'engloutit tout entière , Un silence éternel succède à ses amours ; Mais les siècles auront passé sur ta poussière , Elvire , et tu vivras toujours ! LX Le Crucifix ( Nouvelles Méditations poétiques , 1823 ) 88 FRENCH VERSE.
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 84 - Ainsi toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? O lac, l'année à peine a fini sa carrière, Et, près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir!
Page 212 - De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l'Impair, Plus vague et plus soluble dans l'air, Sans rien en lui qui pèse ou qui pose.
Page 60 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Page 67 - L'épi naissant mûrit de la faux respecté; Sans crainte du pressoir, le pampre tout l'été Boit les doux présents de l'aurore; Et moi; comme lui belle, et jeune comme lui, Quoi que l'heure présente ait de trouble et d'ennui, Je ne veux point mourir encore.
Page 41 - La Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles: On a beau la prier; La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois. De murmurer contre elle et perdre patience II est mal à propos; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 61 - Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés : On n'en voyait point d'occupés A chercher le soutien d'une mourante vie : Nul mets n'excitait leur envie ; Ni loups ni renards n'épiaient La douce et l'innocente proie ; Les tourterelles se fuyaient : Plus d'amour ; partant, plus de joie.
Page 124 - Oh ! combien de marins, combien de capitaines Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines, Dans ce morne horizon se sont évanouis ! Combien ont disparu, dure et triste fortune...
Page 68 - D'une prison sur moi les murs pèsent en vain. J'ai les ailes de l'espérance. Échappée aux réseaux de l'oiseleur cruel, Plus vive, plus heureuse, aux campagnes du ciel Philomèle chante et s'élance. Est-ce à moi de mourir ? Tranquille je m'endors, Et tranquille je veille ; et ma veille aux remords Ni mon sommeil ne sont en proie. Ma bienvenue au jour me rit dans tous les yeux ; Sur des fronts abattus, mon aspect dans ces lieux Ranime presque de la joie.
Page 206 - CHANSON D'AUTOMNE Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon cœur D'une langueur Monotone. Tout suffocant Et blême, quand Sonne l'heure, Je me souviens Des jours anciens Et je pleure ; Et je m'en vais Au vent mauvais Qui m'emporte Deçà, delà, Pareil à la Feuille morte.
Page 130 - Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.