Histoire de France, depuis la mort de Louis XVI jusqu'au 1er août 1821: Pour servir de suite à l'histoire de France de M. Anquetil. Tom. ii, Volume 2Ledentu, 1822 |
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... Autrichiens , maîtres de l'Italie , n'attendaient que la prise de cette ville pour envahir le midi de la France ... Autrichienne en Italie , ce qui était placer celle - ci dans la posi- tion la plus difficile , la France conservant ...
... Autrichiens , maîtres de l'Italie , n'attendaient que la prise de cette ville pour envahir le midi de la France ... Autrichienne en Italie , ce qui était placer celle - ci dans la posi- tion la plus difficile , la France conservant ...
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... Autrichiens veuleut arrêter ce mou- vement : il porte le désordre dans leurs rangs . En un moment leur centre est ... autrichienne fuit à la débandade vers la Bormida . La victoire a changé de parti : elle est désormais assurée aux ...
... Autrichiens veuleut arrêter ce mou- vement : il porte le désordre dans leurs rangs . En un moment leur centre est ... autrichienne fuit à la débandade vers la Bormida . La victoire a changé de parti : elle est désormais assurée aux ...
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... Autrichiens remettraient aux Français , que les forteresses de Gênes , de Savone , de Coni , de Ceva , de Turin , de ... autrichienne eut 10 1800 . JISTOIRE DE FRANCE .
... Autrichiens remettraient aux Français , que les forteresses de Gênes , de Savone , de Coni , de Ceva , de Turin , de ... autrichienne eut 10 1800 . JISTOIRE DE FRANCE .
Page 11
... autrichienne eut la liberté de traverser les cantonnemens fran- çais , pour se retirer derrière la ligne du Mincio ... Autrichiens vinssent asseoir leur camp jusque sous les murs de la capitale de la France , comme les Anglais le ...
... autrichienne eut la liberté de traverser les cantonnemens fran- çais , pour se retirer derrière la ligne du Mincio ... Autrichiens vinssent asseoir leur camp jusque sous les murs de la capitale de la France , comme les Anglais le ...
Page 12
... Autrichiens sur ses derrières . Annibal , en cas de malheur , laissait encore la mer pour barrière entre Rome et sa patrie ; Bonaparte , défait , ne laissait rien de semblable entre les Au- trichiens et la république française . Il ...
... Autrichiens sur ses derrières . Annibal , en cas de malheur , laissait encore la mer pour barrière entre Rome et sa patrie ; Bonaparte , défait , ne laissait rien de semblable entre les Au- trichiens et la république française . Il ...
Common terms and phrases
Alhandra alliés Anglais Anglo-Portugais armée armées françaises armes artillerie assignats attaque Autrichiens avaient ayant bientôt blessés Bonaparte çais cavalerie cent champ de bataille chef colonel combat commandant confédération du Rhin d'Allemagne et d'Autriche d'armée d'Italie députés devait division drapeaux duc d'Elchingen duc de Bellune duc de Dalmatie duché duché de Varsovie enfans ennemis Espagnols états forces fran gauche général gloire gouvernement grenadiers guerre habitans heures impériale Joseph jours l'Angleterre l'archiduc l'armée française l'empereur d'Autriche l'empire l'ennemi l'Espagne l'état légion d'honneur légionnaires lord Wellington Madrid majesté l'empereur marche maréchal Masséna mée ment militaire mille hommes Napoléon nation officiers paix passé pays peuple pièces de canon pont porter Portugal position poste premier consul présent traité prince d'Essling prisonniers provinces Prusse république reste retraite royaume royaume d'Italie S. M. l'empereur d'Allemagne s'était sénat sentimens sera seront seule sixième corps soldats souverain territoire tête tion titre trône troupes françaises victoire Vistule
Popular passages
Page 278 - J'ignore quels sont les desseins de Dieu sur ma race et sur moi ; mais je connais les obligations qu'il m'a imposées par le rang où il lui a plu de me faire naître.
Page 58 - Gouvernement de la république française reconnaît que la religion catholique, apostolique et romaine est la religion de la grande majorité des citoyens français. • Sa Sainteté reconnaît également que cette même religion a retiré et attend encore en ce moment le plus grand bien et le plus grand éclat de l'établissement du culte catholique en France, et de la profession particulière qu'en font les consuls de la république. En conséquence, d'après cette reconnaissance mutuelle, tant...
Page 136 - La dynastie de Naples a cessé de régner; son existence est incompatible avec le repos de l'Europe et l'honneur de ma couronne. «Soldats! marchez, précipitez dans les flots, si tant est qu'ils vous attendent, ces débiles bataillons des tyrans des mers; montrez au monde de quelle manière nous punissons les parjures...
Page 303 - Bonaparte avec ceux qui l'ont précédé ; j'estime sa valeur, ses talents militaires ; je lui sais gré de plusieurs actes d'administration, car le bien que l'on fera à mon peuple me sera toujours cher ; mais il se trompe, s'il croit m'engager à transiger sur mes droits.
Page 293 - La religion peut m'engager à pardonner à un assassin ; mais le tyran de mon peuple doit toujours être mon ennemi. Dans le siècle présent , il est plus heureux de mériter un sceptre que de le porter.
Page 285 - Ce nouvel acte d'une révolution où tout, dès l'origine, a été nul, ne peut sans doute infirmer mes droits. Mais, comptable de ma conduite à tous les souverains, dont les droits ne sont pas moins lésés que les miens, et...
Page 177 - Qu'elle déclare bloquées des places devant lesquelles elle n'a pas même un seul Bâtiment de Guerre, quoiqu'une place ne soit bloquée que quand elle est tellement investie, qu'on ne puisse tenter de s'en approcher sans un danger imminent...
Page 411 - Le peuple veut l'hérédité de la dignité impériale dans la descendance directe, naturelle, légitime et adoptive de Napoléon Bonaparte, et dans la descendance directe, naturelle et légitime de Joseph Bonaparte et de Louis Bonaparte, ainsi qu'il est réglé par le sénatus-consulte organique du 28 floréal an xii.
Page 408 - de n'établir aucune taxe qu'en vertu de la loi ; de » maintenir l'institution de la légion d'honneur; de » gouverner dans la seule vue de l'intérêt , du bonheur » et de la gloire du Peuple français (i) ». Du Serment du Régent.
Page 426 - SM l'empereur de toutes les Russies et voulant donner une preuve du désir sincère qu'il a d'unir les deux nations par les liens d'une confiance et d'une amitié inaltérables, consent à restituer à SM le roi de Prusse, allié de SM l'empereur de toutes les Russies, tous les pays, villes et territoires conquis et dénommés ci-après...