| French language - 1773 - 620 pages
...quoique l'entreprife fût des plus difhciles.Voici comment Ovide raconte cet exploit galant de Vertumne , au quatorzième livre des métamorphofes. Sous le...ni fur les bords des fleuves : elle ne fe plaifoit jamais que dans fes jardins. Ses mains n'étoient jamais armées de javelot : elle préféroit la ferpe,... | |
| Jean François de La Croix - 1772 - 446 pages
...raconte cet exploit galmt de Vertumne , au quatorzieme Livré des Métamorphofes. „ Sous le régne de Procas , roi d'Albe , vivoit une jeune Hamadryade...mains n'étoient jamais armées du javelot : elle préféroi la ferpe , infinunent plus utile. Toujours occupée , tantôt à émonder fes arbres , tantôt... | |
| Publius Ovidius Naso - 1772 - 356 pages
...Amadryades Latines , aucune n'entendit mieux la culture des jardins , aucune ne connut mieux celle des arbres fruitiers , ce qui lui fit donner le nom de Pomone. Elle n'aime ni les forêts , ni les fleuves ; elle ne chérit que les campagnes & les arbres qui portent... | |
| Dictionaries - 1773 - 620 pages
...quatorzième livre des métamorphofes. Sons le règne de Piocas, Roi d'Albe , vivoit une jeune Himadryade, uniquement adonnée à la culture des vergers & des...ni fur les bords des fleuves : elle ne fe plaifoit jamais que dans fes jardins. Ses mains n'éioient jamais armées de javelot : elle préféroit la ferpe... | |
| Jean François de La Croix - 1776 - 826 pages
...raconte cet exploit galant de Vertumne , au quatorzieme livre des Métamorphofes. « Sous le regne de Procas , roi d'Albe , vivoit une jeune Hamadryade...bornoit à ces foins innocents tous les plaifirs de la vie. Elle ignoroit l'amour, & ne vouloit point connoître fes douceurs trompeufes: fes vergers bien... | |
| Ovid - 1802 - 444 pages
...les amadryades Latines, aucune n'entendit mieux la culture des jardins, aucune ne connut mieux celle des arbres fruitiers, ce qui lui fit donner le nom de Pomone. Elle n'aime ni les forêts, ni les fleuves; elle ne chérit que les campagnes et les arbres qui portent... | |
| Ovid - 1887 - 474 pages
...les Arnadryades latines, aucune n'entendit mieux la culture des jardins, aucune ne connut mieux celle des arbres fruitiers, ce qui lui fit donner le nom de Pomone. Elle n'aime ni les forêts ni les fleuves ; elle ne chérit que les campagnes et les arbres qui portent... | |
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