Mémoires du Duc de Rovigo: pour servir à l'histoire de l'empereur Napoléon, Volume 3Voglet, 1828 |
From inside the book
Results 1-5 of 34
Page 23
... parler , et riait toujours avec eux ; il était persuadé que ceux - là étaient les plus braves . A force d'opiniâtreté et de patience , on par- vint enfin à joindre l'armée russe à l'entrée de la forêt , au - delà de la petite ville de ...
... parler , et riait toujours avec eux ; il était persuadé que ceux - là étaient les plus braves . A force d'opiniâtreté et de patience , on par- vint enfin à joindre l'armée russe à l'entrée de la forêt , au - delà de la petite ville de ...
Page 50
... parler de la bataille d'Eylau , que les Russes prétendent avoir gagnée , et que nous voulons n'avoir pas perdue . reçu Bernadotte ayant déclaré qu'il n'avait pas l'ordre de marcher , et Berthier soutenant le lui avoir envoyé , on alla ...
... parler de la bataille d'Eylau , que les Russes prétendent avoir gagnée , et que nous voulons n'avoir pas perdue . reçu Bernadotte ayant déclaré qu'il n'avait pas l'ordre de marcher , et Berthier soutenant le lui avoir envoyé , on alla ...
Page 55
... manière à flanquer , de la rive droite , les ailes des bri- gades d'infanterie dont je viens de parler ; ma cavalerie me fut inutile , et je la laissai en repos . Je fis attaquer , le 16 , de grand matin DU DUC DE ROVIGO . 55.
... manière à flanquer , de la rive droite , les ailes des bri- gades d'infanterie dont je viens de parler ; ma cavalerie me fut inutile , et je la laissai en repos . Je fis attaquer , le 16 , de grand matin DU DUC DE ROVIGO . 55.
Page 70
... parler en maître à ses en- fans , et d'envoyer dans leurs terres ou au cou- vent les courtisans et les confesseurs . A la distance où était l'empereur , on n'en voyait le mal qu'avec un verre à multiplians , en sorte que , quoiqu'ayant ...
... parler en maître à ses en- fans , et d'envoyer dans leurs terres ou au cou- vent les courtisans et les confesseurs . A la distance où était l'empereur , on n'en voyait le mal qu'avec un verre à multiplians , en sorte que , quoiqu'ayant ...
Page 83
... parler . Il était content du coup d'essai de cette jeune troupe ; mais il me gronda pour avoir manqué au grand - duc de Berg ; et en me défendant , je me hasardai à lui dire que c'était un extravagant qui nous ferait perdre un jour ...
... parler . Il était content du coup d'essai de cette jeune troupe ; mais il me gronda pour avoir manqué au grand - duc de Berg ; et en me défendant , je me hasardai à lui dire que c'était un extravagant qui nous ferait perdre un jour ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
affaires ambassadeur Andujar Aranjuez armée arrivé aurait avaient bataille d'Eylau Baylen Bayonne Bernadotte c'était Castaños Cevallos Charles Charles IV chose corps d'armée courrier croyait d'Aranjuez devait division donner duc de Berg duc de l'Infantado Dufour envoyé Erfurth Espagne Espagnols eût faisait Ferdinand fût général Dupont général Vedel gouvernement grand-duc de Berg guerre hommes j'ai j'avais j'étais jours jusqu'à Koenigsberg l'Angleterre l'armée l'avait l'em l'empe l'empereur Alexandre l'empereur de Russie l'empereur Napoléon l'empereur Paul l'Espagne laisser lettre lui-même m'avait m'en Madrid malheureux manière Marac marche maréchal Mengibar ment ministre n'avait n'était Narew nation néral officiers ordres Ostrolenka pagne Paix parler passé pays père pereur Portugal position pouvait prendre prévenir prince des Asturies projet Prusse Pultusk rait Reding reine reste reur révolution rien Russie s'était Saint-Pétersbourg sentimens serait sorte souverains suite Talleyrand Tilsit tion traité de Tilsit trône troupes trouvé vait Varsovie venait Villoutray Vistule Vittoria voulait
Popular passages
Page 12 - La guerre n'est donc point une relation d'homme à homme, mais une relation d'État à État, dans laquelle les particuliers ne sont ennemis qu'accidentellement, non point comme hommes, ni même comme citoyens *, mais comme soldats; non point comme membres de la patrie, mais comme ses défenseurs.
Page 11 - Le droit des gens est naturellement fondé sur ce principe , que les diverses nations doivent se faire dans la paix le plus de bien, et dans la guerre le moins de mal qu'il est possible, sans nuire à leurs véritables intérêts.
Page 16 - Qu'elle déclare bloquées des places devant lesquelles elle n'a pas même un seul bâtiment de guerre, quoiqu'une 'place ne soit bloquée que quand elle est tellement investie, qu'on ne puisse tenter de s'en approcher sans un danger imminent; Qu'elle déclare même en état de blocus des lieux que toutes ses forces réunies seraient incapables de bloquer, des côtes entières et tout un empire; 5.
Page 262 - Vous exigerez pour eux, et vous leur rendrez les mêmes honneurs qu'autrefois. Vous ferez en sorte que les Espagnols ne puissent pas soupçonner le parti que je prendrai : cela ne vous sera pas difficile, je n'en sais rien moi-même. " Vous ferez entendre à la noblesse et au clergé que, si la France doit intervenir dans les affaires d'Espagne, leurs priviléges et leurs immunités seront respectés.
Page 17 - Qu'il est de droit naturel d'opposer à l'ennemi les armes dont il se sert , et de le combattre de la même manière qu'il combat, lorsqu'il méconnaît toutes les idées de justice et tous les...
Page 261 - Je pense qu'il ne faut rien précipiter, qu'il convient de prendre conseil des événemens qui vont suivre... Il faudra fortifier les corps d'armée qui se tiendront sur les frontières du Portugal , et attendre. « Je n'approuve pas le parti qu'a pris VAI de s'emparer si précipitamment de Madrid : il fallait tenir l'armée à dix lieues de la capitale.
Page 329 - Royale avait bien des torts : je n'en veux pour preuve que la lettre qu'elle m'a écrite, et que j'ai constamment voulu ignorer. Roi à son tour , elle saura combien les droits du trône sont sacrés. Toute démarche près d'un souverain étranger, de la part d'un prince héréditaire, est criminelle.
Page 328 - Mais tout cela peut se concilier : que le prince de la Paix soit exilé d'Espagne, et je lui offre un refuge en France. Quant à l'abdication de Charles IV, elle a eu lieu dans un moment où mes armées couvraient les Espagnes; et, aux yeux de l'Europe et de la postérité, je paraîtrais n'avoir envoyé tant de troupes que pour précipiter du trône mon allié et mon ami. Comme souverain voisin, il m'est permis de vouloir en connaître les motifs avant de reconnaître cette abdication.
Page 18 - Aucun bâtiment venant directement de l'Angleterre ou des colonies anglaises, ou y ayant été depuis la publication du présent décret, ne sera reçu dans aucun port.
Page 328 - ... mon allié et mon ami. Comme souverain voisin, il m'est permis de vouloir connaître, avant de reconnaître cette abdication. Je le dis à votre altesse royale, aux Espagnols, au Monde entier: si l'abdication du roi Charles est de pur mouvement, s'il n'ya pas été forcé par l'insurrection et l'émeute d'Aranjuez, je ne fais aucune difficulté de l'admettre, et je reconnais votre altesse royale comme roi d'Espagne.