L'histoire de France depuis 1789 jusqu'en 1848: racontée à mes petits-enfants, Volume 2 |
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... appelé le peuple à la défense de la patrie ; vos pro- clamations , vos mesures sont celles que vous aviez employées lorsque j'étais à Leoben . << Vous savez bien que je ne vous demande rien , que je ne prétends rien de vous et que même ...
... appelé le peuple à la défense de la patrie ; vos pro- clamations , vos mesures sont celles que vous aviez employées lorsque j'étais à Leoben . << Vous savez bien que je ne vous demande rien , que je ne prétends rien de vous et que même ...
Page 71
... appelé à son aide de nombreux renforts ; les troupes postées dans les environs et qui n'avaient pas encore pris part à l'action dispersèrent les rassem- blements hostiles . L'attaque commença avec une vigueur qui ne le cédait en rien à ...
... appelé à son aide de nombreux renforts ; les troupes postées dans les environs et qui n'avaient pas encore pris part à l'action dispersèrent les rassem- blements hostiles . L'attaque commença avec une vigueur qui ne le cédait en rien à ...
Page 77
... appelé quatre - vingt mille hommes sur les conscrip- tions passées ; le même expédient , bientôt appliqué à des années plus reculées , lui permit de ranger sous les drapeaux des hommes faits , aptes à supporter de longues fatigues . Le ...
... appelé quatre - vingt mille hommes sur les conscrip- tions passées ; le même expédient , bientôt appliqué à des années plus reculées , lui permit de ranger sous les drapeaux des hommes faits , aptes à supporter de longues fatigues . Le ...
Page 129
... appelé le Séminaire . Les Anglais s'y retranchèrent , recevant à tout instant de nouveaux renforts et se défendant à outrance contre les efforts du général Delaborde . Le gros de l'armée ennemie commençait à déboucher dans toutes les ...
... appelé le Séminaire . Les Anglais s'y retranchèrent , recevant à tout instant de nouveaux renforts et se défendant à outrance contre les efforts du général Delaborde . Le gros de l'armée ennemie commençait à déboucher dans toutes les ...
Page 143
... appelé à servir au moment du danger , mais qui restait remuant et suspect à l'empereur . « Vous lui ferez connaitre que j'ai été mécontent de son ordre du jour , écrit Napoléon au ministre de la guerre ; qu'il n'est pas vrai qu'il n'eût ...
... appelé à servir au moment du danger , mais qui restait remuant et suspect à l'empereur . « Vous lui ferez connaitre que j'ai été mécontent de son ordre du jour , écrit Napoléon au ministre de la guerre ; qu'il n'est pas vrai qu'il n'eût ...
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Common terms and phrases
alliés Anglais armée arrivé Arthur Wellesley assuré attaque Autrichiens avaient Barclay de Tolly bataille Bernadotte bientôt Blücher Bourbons C'était cabinet Caulaincourt cavalerie cent Chambre chargé Charles X chef coalisés combat commandement comte conseil corps députés désormais devait dit-il duc de Wellington éclat écrivait efforts ennemis Espagne Espagnols forces Fouché garde nationale général gouvernement guerre Guizot j'ai Joseph jour Kutusof l'Angleterre l'archiduc l'Autriche l'avait l'empereur Alexandre l'empereur Napoléon l'ennemi l'Espagne l'Europe laisser liberté longtemps lord lord Castlereagh Louis XVIII Macdonald Madrid Majesté marche maréchal Davout maréchal Ney maréchal Soult Marmont Masséna menaçait ment Metternich militaire mille hommes ministre Moscou mouvement Murat n'avait naguère négociations Niémen ordonné ordres Oudinot paix pape partout passions pensée peuple Pie VII politique pont porter Portugal préparait prince de Schwartzenberg prince Eugène Prussiens puissances réclamait résistance résolu restait révolutionnaires royalistes Russie s'avançait s'était sentiments seul Smolensk soldats souverains Talleyrand tion trône troupes trouvait tzar venait Villèle
Popular passages
Page 433 - Corps législatif, en nous engageant à mettre sous leurs yeux le travail que nous aurons fait avec une commission choisie dans le sein de ces deux corps...
Page 407 - Les armées des puissances alliées ont occupé la capitale de la France. Les souverains alliés accueillent le vœu de la nation française. Ils déclarent : Que si les conditions de la paix devaient renfermer de plus fortes garanties lorsqu'il s'agissait d'enchaîner l'ambition de Bonaparte , elles doivent être plus favorables lorsque , par un retour vers un gouvernement sage , la France elle-même offrira l'assurance de ce repos.
Page 504 - ... j'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. » Les circonstances me paraissent changées.
Page 471 - En rompant ainsi la convention qui l'avait établi à l'île d'Elbe, Bonaparte détruit le seul titre légal auquel son existence se trouvait attachée. En reparaissant en France, avec des projets de troubles et de bouleversements, il s'est privé lui-même de la protection des lois, et a manifesté, à la face de l'Univers, qu'il ne saurait y avoir ni paix, ni trêve avec lui.
Page 465 - France ; celui qui vient allumer parmi nous les torches de la guerre civile y apporte aussi le fléau de la guerre étrangère, il vient remettre notre patrie sous son joug de fer; il vient, enfin, détruire cette Charte constitutionnelle que je vous ai donnée , cette Charte mon plus beau titre aux yeux de la postérité ; cette Charte que tous les Français chérissent...
Page 402 - J'ignore quels sont les desseins de Dieu sur ma race et sur moi ; mais je connais les obligations qu'il m'a imposées par le rang où il lui a plu de me faire naître. Chrétien, je remplirai ces obligations jusqu'à mon dernier soupir...
Page 21 - I", notre Empereur ? R. — Les chrétiens doivent aux princes qui les gouvernent, et nous devons en particulier à Napoléon I", notre Empereur, l'amour, le respect, l'obéissance, la fidélité, le service militaire, les tributs ordonnés pour la conservation et la défense de l'Empire et de son trône; nous lui devons encore des prières ferventes pour son salut et pour la prospérité spirituelle et temporelle de l'État.
Page 504 - Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II , empereur des Français.
Page 56 - Portugal. Qu'à votre aspect, il fuie épouvanté; portons nos aigles triomphantes jusqu'aux colonnes d'Hercule : là aussi , nous avons des outrages à venger. Soldats, vous avez surpassé la renommée des armées modernes ; mais avez-vous égalé la gloire des armées de Rome , qui , dans une même campagne , triomphèrent sur le Rhin et sur l'Euphrate , en Illyrie et sur le Tage?
Page 453 - ... qui, pendant vingt-cinq ans, servirent de ralliement à tous les ennemis de la France. Arborez cette cocarde tricolore : vous la portiez dans nos grandes journées ! Nous devons oublier que nous avons été les maîtres des nations, mais nous ne devons pas souffrir qu'aucune se mêle de nos affaires. Qui prétendrait être maître chez nous? Qui en aurait le pouvoir? Reprenez ces aigles que vous aviez à Ulm, à Austerlitz, à léna, à Eylau, à Friedland, à Tudela, à Eckmiilh, à Essling,...