L'Ami de la religion: journal ecclésiastique, politique et littéraire, Volume 4 |
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Contents
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Common terms and phrases
ancien appelle armées arrivé assez avoient avoit avons besoin Buonaparte cardinal cause Chambre chargé chef colléges compte comte conseil corps cour d'autres département dernier devoir dévouement Dieu dire discours doit donner doute ECCLÉSIASTIQUES écrit élèves enfin esprit établissement étoient étoit évêque famille fidélité force formes François garde gardes nationales général gouvernement guerre heures hommes janvier jour Journal juge l'abbé l'auteur l'Eglise l'Europe l'ordre laissé lettre lieu livre Louis maison malheurs maréchal mars ment mesures militaires ministre mois montré mort moyens n'étoit nation nombre nommé nouveau nouvelle ordonnance ordre Pape parle paroît passé pays pendant Père personnes peuple place porte pouvoir préfet premier présente prêtres prince pris publique qu'un rapport reçu religion rendre rendu reste réunis rien Rome royal royaume s'est s'il saint sentiment sera seront service seul sieur Signé sorte souverain suite suivant sujet tion traitement troupes trouve universités vérité vient ville zèle
Popular passages
Page 241 - C'est cet amour que nous appelons avec confiance contre l'ennemi qui vient souiller le territoire français, qui veut y renouveler la guerre civile. C'est contre lui que toutes les opinions doivent se réunir. Tout ce qui aime sincèrement la patrie, tout ce qui sent le prix d'un gouvernement paternel et d'une liberté garantie par les lois, ne doit plus avoir qu'une pensée, de détruire l'oppresseur qui ne veut ni patrie, ni gouvernement, ni liberté.
Page 333 - Les affaires de la Confédération seront confiées à une diète fédérative, dans laquelle tous les membres voteront par leurs plénipotentiaires, soit individuellement, soit collectivement, de la manière suivante, sans préjudice de leur rang...
Page 283 - Français que j'aimerai à choisir ceux qui doivent approcher de ma personne et de ma famille. . . Je ne veux exclure de ma présence que ces hommes dont la renommée est un sujet de douleur pour la France , et d'effroi pour l'Europe.
Page 347 - Altesse Royale, en butte aux factions qui « divisent mon pays et à l'inimitié des plus grandes « puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière « politique, et je viens, comme Thémistocle, « m'asseoir au foyer du peuple britannique. Je « me mets sous la protection de ses lois, que je « réclame de Votre Altesse Royale comme du plus « puissant, du plus constant et du plus généreux
Page 350 - Navarre , \oulant par la punition d'un attentat sans exemple, mais en graduant la peine , et limitant le nombre des coupables , concilier l'intérêt de nos peuples, la dignité de notre couronne et la tranquillité de l'Europe , avec ce que nous devons à la justice et à l'entière sécurité de tous les autres citoyens sans distinction , Avons déclaré et déclarons , ordonné et ordonnons ce qui suit: Art.
Page 335 - MarieLouise et ses descendans en ligne directe et masculine. Cette principauté est érigée en duché , et conservera une forme de gouvernement basée sur les principes de celle qu'elle avoit reçue en i8o5. Il sera ajouté aux revenus de la principauté...
Page 245 - ... je vous porte tous dans mon cœur. Je m'associais à la gloire de vos triomphes alors même qu'ils n'étaient pas pour ma cause : rappelé au trône de mes pères , je me suis felicité de le voir soutenu par cette brave armée, si digne de le défendre.
Page 284 - Je dois donc , pour la dignité de mon trône , pour l'intérêt de mes peuples , pour le repos de l'Europe , excepter du pardon , les instigateurs et les auteurs de cette trame horrible. Ils seront désignés à la vengeance des lois par les deux chambres que je me propose d'assembler incessamment.
Page 282 - ... pu se ranger autour de moi. Revenu sur le sol de la patrie , je me plais à parler de confiance à mes peuples. Lorsque je reparus au milieu d'eux, je trouvai les esprits agités et emportés par des passions contraires ; mes regards ne rencontraient de toutes parts que des difficultés et des obstacles : mon Gouvernement devait faire des fautes ; peut-être en at-il fait.
Page 283 - L'unité du ministère est la plus forte que je puisse offrir : j'entends qu'elle existe, et que la marche franche et assurée de mon conseil garantisse tous les intérêts et calme toutes les inquiétudes. On a parlé dans les derniers temps du rétablissement de la dîme et des droits féodaux. Cette fable, inventée par l'ennemi commun, n'a pas besoin d'être réfutée : on ne s'attendra pas que le roi de France s'abaisse jusqu'à repousser des calomnies et des mensonges dont les succès ont trop...