Mémoires de Madame de Rémusat, 1802-1808, Volume 1 |
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Common terms and phrases
aimait arrivait assez avaient Beauharnais Bourbons c'était campagne d'Égypte Caulaincourt choses conseil Corps législatif cour d'État dame du palais despotisme devait dire disait-il donner duc d'Enghien Égypte époque épousé esprit Eugène Eugène de Beauharnais eût événements famille femme fille fils Fouché frère fût gens Georges Cadoudal goût gouvernement grand'mère homme idées impressions inquiétude j'ai j'avais j'étais jacobins jamais jeune Joseph Bonaparte Joséphine jour l'empereur l'Empire l'esprit laissé liberté Louis Bonaparte Lucien madame Bona madame Bonaparte madame de Staël madame Louis madame Murat mademoiselle Georges Maret mari Mémoires ment mère militaire monde Moniteur montrer mort du duc n'avait naparte Napoléon occasion opinions parler paroles parut passé passion PAUL DE RÉMUSAT penser père personne peut-être Pichegru plaisir pleurais politique pouvait préfet premier consul prince quelquefois raison Rémusat Révolution Saint-Cloud salon savait secret semblait sentiments serait seul soir sorte souvent Talleyrand tard tion trouver Tuileries venait voulait
Popular passages
Page 368 - du peuple français : > Le peuple français veut l'hérédité de la dignité impériale dans la descendance directe, naturelle, légitime et adoptive de Napoléon Bonaparte, et dans la descendance directe, naturelle, légitime de Joseph Bonaparte et de Louis Bonaparte, ainsi qu'il est réglé par le sénatus-consulte organique du 28 floréal an
Page 346 - Les membres de cette famille dénaturée qui aurait voulu noyer la France dans son sang pour pouvoir régner sur elle. » Et il ajouta qu'il fallait les menacer de mort, s'ils voulaient souiller de leur présence le sol de la patrie. Cependant l'instruction du grand procès se continuait avec soin; chaque jour on arrêtait,
Page 265 - de ce coin, je le défendais de toute ma force. J'avais déjà l'instinct que ma volonté devait l'emporter sur celle des autres, et que ce qui me plaisait devait m'appartenir. On ne m'aimait guère à l'École, il faut du temps pour se faire aimer, et, même quand je n'avais rien à faire, j'ai toujours cru vaguement
Page 368 - dans la descendance directe, naturelle, légitime et adoptive de Napoléon Bonaparte, et dans la descendance directe, naturelle, légitime de Joseph Bonaparte et de Louis Bonaparte, ainsi qu'il est réglé par le sénatus-consulte organique du 28 floréal
Page 367 - Napoléon, par la grâce de Dieu et par les constitutions de la République, empereur des Français, à tout présent et à venir, salut. » Le Sénat, après avoir entendu les orateurs du conseil
Page 108 - que m'importe; sachez que je ne craindrais nullement d'en faire une, si elle m'était utile. Tenez, au fond, il n'ya rien de noble ni de bas dans ce monde; j'ai dans mon caractère tout ce qui peut contribuer à affermir le pouvoir, et à tromper ceux qui prétendent
Page 206 - Bonaparte, plus pressée que de coutume par sa jalouse inquiétude, m'avait gardée près d'elle, et m'entretenait vivement de ses chagrins. Il était une heure du matin, nous étions seules dans son salon, le plus profond silence régnait aux Tuileries. Tout à coup elle se lève. « Je n'y peux plus tenir, me dit-elle;
Page 331 - toujours un mystère pour les esprits médiocres, et devient une réalité pour les hommes supérieurs. Turenne n'y pensait guère et n'avait que de la méthode. Je crois, ajoutait-il en souriant, que je l'aurais battu. Condé s'en doutait plus que lui, mais c'était par impétuosité qu'il s'y livrait. Le prince Eugène est un de ceux qui
Page 277 - n'était que la feinte d'un tyran, et j'ai approuvé comme calcul ce qui me semblait puéril comme sentiment. Il faut toujours dire ce vers de manière que de tous ceux qui
Page 122 - J'ai, disait-il, des nerfs fort intraitables, et, dans cette disposition, si mon sang ne battait avec une continuelle lenteur, je courrais risque de devenir fou. » Je tiens, en effet, de Corvisart que ses artères donnent un peu moins de pulsations que le terme moyen ordinaire chez les hommes.