Histoire de France: Consulat, Empire, Restauration, Volume 1Lagny frères, 1855 - France |
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Page 8
... ennemis les plus irréconciliables de la France accouraient en foule dans son sein , y étaient accueillis , honorés . Un fanatique hypo- crite nous avait transportés tout à coup au xvie siècle ; la division était au Directoire ; dans le ...
... ennemis les plus irréconciliables de la France accouraient en foule dans son sein , y étaient accueillis , honorés . Un fanatique hypo- crite nous avait transportés tout à coup au xvie siècle ; la division était au Directoire ; dans le ...
Page 14
... ennemis de l'Église purent penser qu'elle était à jamais vaincue . Tous les cardinaux étaient dispersés ; plusieurs étaient jetés en prison , d'autres déportés , tous dépouillés , ruinés , à la merci des oppresseurs , comme leur maître ...
... ennemis de l'Église purent penser qu'elle était à jamais vaincue . Tous les cardinaux étaient dispersés ; plusieurs étaient jetés en prison , d'autres déportés , tous dépouillés , ruinés , à la merci des oppresseurs , comme leur maître ...
Page 16
... ennemis et persécuteurs , et à chacun d'eux en particulier ; la seconde , que vous ren- diez à Rome la chaire de Pierre et son propre trône ; à l'Europe la paix , à la France surtout qui m'est si chère , et qui toujours mérita si bien ...
... ennemis et persécuteurs , et à chacun d'eux en particulier ; la seconde , que vous ren- diez à Rome la chaire de Pierre et son propre trône ; à l'Europe la paix , à la France surtout qui m'est si chère , et qui toujours mérita si bien ...
Page 51
... ennemis du dehors ; ou comme des hommes bourreaux qui souriaient aux hordes déguenillées , avides de meurtre ; accumulant toutes les images de la terreur pour exciter l'horreur des assassins ; évoquant le peuple , comme il disait , le ...
... ennemis du dehors ; ou comme des hommes bourreaux qui souriaient aux hordes déguenillées , avides de meurtre ; accumulant toutes les images de la terreur pour exciter l'horreur des assassins ; évoquant le peuple , comme il disait , le ...
Page 57
... ennemis , serait préparer un soulèvement à la première occasion favorable . Cependant Bonaparte , à son départ , n'a pas laissé un sou en caisse , ni aucun objet équivalent ; il a laissé au contraire un arriéré de près de douze millions ...
... ennemis , serait préparer un soulèvement à la première occasion favorable . Cependant Bonaparte , à son départ , n'a pas laissé un sou en caisse , ni aucun objet équivalent ; il a laissé au contraire un arriéré de près de douze millions ...
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Common terms and phrases
actes allait alliés âmes Anglais armée armes Autrichiens avaient bataille Bernadotte Bonaparte Bourrienne c'était canon capitulation cent Cinq-Cents combats commandement Concordat conseil des Anciens conseil des Cinq-Cents constitution Corps législatif courage d'armée Davoust déclaration décret désastres desseins devait Directoire disait-il duc d'Enghien éclat ennemis Etats événements évêques force fortune frémissement garde général génie Georges Cadoudal gloire gouvernement Gouvion-St-Cyr guerre hâte Hollande jeter jours Kutuzow l'Angleterre l'archiduc l'armée française l'Autriche l'Église l'Empereur l'Empire l'Espagne l'Europe l'histoire l'Italie laissa Lannes liberté Louis XVIII Lucien lutte maréchal Marmont Masséna mêlée Mém ment mille hommes ministre monarchie Moreau mort Murat n'avait Napo Napoléon nation Oudinot paix Pape paroles patrie pensée périls peuple Pichegru Pie VII politique pouvoir premier consul prince proclamation Prusse Prussiens puissance religion République restait Révolution Rhin Russie s'était semblait Sénat sénatus-consulte sentait serait Siéyes soldats sorte Soult souverain Suchet tion trône victoire Wellington
Popular passages
Page 408 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 96 - Sainteté déclarera aux titulaires des évêchés français qu'elle attend d'eux, avec une ferme confiance, pour le bien de la paix et de l'unité, toute espèce de sacrifices, même celui de leurs sièges.
Page 179 - L'Empereur, debout , prononça d'une voix forte ces mots : « Soldats , voilà vos drapeaux , ces aigles vous serviront toujours de point de ralliement. Ils seront partout où votre Empereur les jugera nécessaires pour la défense de son trône et de son peuple. Vous jurez de sacrifier votre vie pour les défendre, et de les maintenir constamment par votre courage sur le chemin de la victoire. Vous le jurez! — Nous le jurons !» répondirent les porteurs des aigles , les députations et les troupes...
Page 256 - Vienne , selon l'expression de la députation de ses faubourgs, délaissé, abandonné, veuf, sera l'objet de nos égards : j'en prends les bons habitants sous ma spéciale protection. Quant aux hommes turbulents et méchants , j'en ferai une justice exemplaire. « Soldats! soyons bons pour les pauvres paysans, pour ce bon peuple qui a tant de droits à notre estime; ne conservons aucun orgueil de nos succès ; voyons-y une preuve de cette justice divine qui punit l'ingrat et le parjure.
Page 399 - Il est juste, il est sage, de donner à la France des institutions fortes et libérales, qui soient en rapport avec les lumières actuelles. Mes alliés et moi, nous ne venons que protéger la liberté de vos décisions.
Page 157 - Le gouvernement de la République est confié à un empereur, qui prend le titre d'empereur des Français.
Page 393 - D'indignes Français, des émigrés, auxquels nous avions pardonné, ont arboré la cocarde blanche, et se sont joints à nos ennemis ! Les lâches ! ils recevront le prix de ce nouvel attentat ! Jurons de vaincre ou de mourir, et de faire respecter cette cocarde tricolore, qui, depuis vingt ans, nous trouve...
Page 397 - Le Sénat conservateur, considérant que dans une monarchie constitutionnelle le monarque n'existe qu'en vertu de la constitution ou du pacte social ; « Que Napoléon Bonaparte, pendant quelque temps d'un gouvernement ferme et prudent, avait donné à la nation des sujets de compter, pour l'avenir, sur des actes de sagesse et de justice; mais cfu'ensuite il a déchiré le pacte qui l'unissait au peuple français...
Page 58 - Telle est, Citoyens Directeurs, la situation dans laquelle le général Bonaparte m'a laissé l'énorme fardeau de l'armée d'Orient ; il voyait la crise fatale s'approcher. Vos ordres, sans doute, ne lui ont pas permis de la surmonter.
Page 326 - Le temps est superbe ; les chemins sont beaux ; c-'est le reste de l'automne : ce- temps durera encore huit jours ;; et à cette époque nous serons rendus dans nos nouvelles positions. Dans le combat de Maloiaroslavetz la garde italienne s'est distinguée : elle a pris la position et s'y est maintenue Le général baron Delzons, officier distingué , a été tué de trois balles.