 | Jean François Paul de Gondi de Retz - France - 1719 - 468 pages
...un gros tems , auquel il y avoit déjà quelque aparence. La nuit fut aflez douce, & nous aperçumes à la pointe du jour une chaloupe à la Mer. Nous nous en aprochârnes avec beaucoup de peine , parce qu'elle aprchcndoit que nous ne ftiffiong Corfaires. Nous... | |
 | Jean François Paul de Gondi de Retz - France - 1817 - 436 pages
...cet endroit par un gros temps , auquel il y avait déjà quelque apparence. La nuit fut assez douce, et nous aperçûmes à la pointe du jour une chaloupe...approchâmes avec beaucoup de peine, parce qu'elle appréhendait que nous fussions corsaires. Nous parlâmes espagnol et français à trois hommes qui... | |
 | Jean François Paul de Gondi de Retz - France - 1820 - 458 pages
...cet endroit par un gros temps, auquel il y avait déjà quelque apparence. La nuit fut assez douce, et nous aperçûmes à la pointe du jour une chaloupe...approchâmes avec beaucoup de peine, parce qu'elle appréhendait que nous fussions corsaires. Nous parlâmes espagnol et français à trois hommes qui... | |
 | France - 1825 - 544 pages
...cet endroit par un gros temps, auquel il y avoit déjà quelque apparence. La nuit fut assez douce ; et nous aperçûmes à la pointe du jour une chaloupe...l'une ni l'autre langue. L'un d'eux se mit à crier San-Sebastien! pour nous donner à connoître qu'il en étoit; nous lui montrâmes de l'argent, et... | |
 | Joseph Fr. Michaud, Jean Joseph François Poujoulat - France - 1837 - 658 pages
...gros temps, auquel il y avoit déjà quelque apparence. La nuit fut asses douce, et nous apperceumes à la pointe du jour une chaloupe à la mer. Nous nous en approchasmes avec beaucoup de peine, parce qu'elle appréhendoit que nous ne fussions corsaires. Nous... | |
 | Joseph Fr. Michaud, Poujoulat (M., Jean-Joseph-François) - France - 1837 - 636 pages
...gros temps, auquel il y avoit déjà quelque apparence. La nuit fut asses douce, et nous apperceumes à la pointe du jour une chaloupe à la mer. Nous nous en approchasmes avec beaucoup de peine, parce qu'elle appréhendoit que nous ne fussions corsaires. Nous... | |
 | Jean François Paul de Gondi de Retz - France - 1876 - 614 pages
...cet état 0 par un gros 7 temps, auquel il y avoit déjà quelque apparence. La nuit fut assez douce et nous aperçûmes, à la pointe du jour, une chaloupe...fussions corsaires * . Nous parlâmes espagnol et françois à trois hommes qui étoient dedans ; ils n'entendoient 10 ni l'une ni l'autre langue. L'un... | |
 | Jean François Paul de Gondi de Retz - France - 1879 - 382 pages
...cet endroit par un gros temps, auquel il y avait déjà quelque apparence. La nuit fut assez douce, et nous aperçûmes à la pointe du jour une chaloupe...approchâmes avec beaucoup de peine, parce qu'elle appréhendait que nous ne fussions corsaires. Nous parlâmes espagnol et français à trois hommes... | |
 | Jean François Paul de Gondi de Retz - France - 1891 - 504 pages
...cet endroit par un gros temps, auquel il y avoit déjà quelque apparence. La nuit fut assez douce et nous aperçûmes, à la pointe du jour, une chaloupe...approchâmes avec beaucoup de peine, parce qu'elle appréheidoil que nous ne fussions corsaires. Nous parlâmes espagnol et françois, à trois hommes... | |
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et nous aperçûmes à la pointe du jour une chaloupe à la mer. Nous nous en approchâmes avec beaucoup de peine, parce qu'elle appréhendoit que nous ne fussions corsaires. Nous parlâmes espagnol et français à trois hommes qui étoient dedans ; mais... 
