Magasin pittoresque, Volume 6Jouvet & cie., 1838 - France |
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Abyssinie animaux assez avaient bateau bâtiments bayadères beau belle Bénarès bois BOURGOGNE BOURGOGNE et MARTINET BUREAUX D'ABONNEMENT c'était cause célèbre cent chanter château cheval chose composé comte considérable corps côté couches couronne couronne de fer d'or destiné devadâsi devant Dieu donner élevé espèces eût femme forme François Ier Frumentius gens gnou habitants Haydn HIPPOGRIFFE homme houille huiles Imprimerie de BOURGOGNE Jamerai Duval jeune jour l'autre l'eau l'église l'huile l'un laisser lieu long-temps Louis Louis XIV lune madrépores main maison maître marbre ment milieu mille monde monument mort mouffettes moyen moyen âge nandou nombre nommé oiseaux passer pauvre pays peinture pendant petite peuple pièces pieds Pierre place poëte porte premier presque prince qu'un queue remarquable représente reste Rouvière rue des Petits-Augustins rue Jacob s'était saint seigneur serait servir seulement siècle sorte souvent statue suivant surface terre tête tion tombeau de Rachel trouve voit voyageurs Voyez Zurbaran
Popular passages
Page 394 - L'habitude de la vertu eSt la seule que vous puissiez contracter sans crainte pour l'avenir. Tôt ou tard les autres sont importunes. Lorsque la passion" tombe, la honte, l'ennui, la douleur commencent. Alors on craint de se regarder. La vertu se voit elle-même toujours avec complaisance. Le vice et la vertu" travaillent sourdement en nous.
Page 355 - Le vent se fait entendre et se fait voir par des tourbillons de flamme dans les gouffres d'où sort la lave. On a peur de ce qui se passe au sein de la terre, et l'on sent que d'étranges fureurs la font trembler sous nos pas. Les rochers qui entourent la source de la lave sont couverts de soufre, de bitume, dont les couleurs ont quelque chose d'infernal.
Page 355 - ... qu'on se représente un fleuve de l'enfer ; elle roule lentement comme un sable noir de jour et rouge la nuit. On entend, quand elle, approche, un petit bruit d'étincelles qui fait d'autant plus de peur qu'il est léger, et que la ruse semble se joindre...
Page 127 - Un enduit d'argile broyée avec un peu de paille était le seul obstacle qui en défendit l'entrée. Quant aux habitants, leur figure cadrait à merveille avec la pauvreté de leurs cabanes. Les haillons dont ils étaient couverts, la pâleur de leur visage, leurs yeux livides et abattus, leur maintien languissant, morne et engourdi, la nudité et la maigreur de quantité d'enfants que la faim desséchait, et que je voyais dispersés parmi les haies et les buissons pour y chercher certaines racines...
Page 355 - Cette lave avance sans jamais se hâter, et sans perdre un instant : si elle rencontre un mur élevé, un édifice quelconque qui s'oppose à son passage, elle s'arrête, elle amoncele devant l'obstacle ses torrents noirs et bitumineux, et l'ensevelit enfin sous ses vagues brûlantes.
Page 355 - Cette lave avance, avance sans jamais se hâter, et sans perdre un instant ; si elle rencontre un mur élevé, un édifice quelconque qui s'oppose à son passage, elle s'arrête, elle amoncelle devant l'obstacle ses torrents noirs et bitumineux, et l'ensevelit enfin sous ses vagues brûlantes. Sa marche n'est point assez rapide pour que les hommes ne puissent pas fuir devant elle ; mais elle atteint, comme le temps, les imprudents et les vieillards qui, la voyant venir lourdement et silencieusement,...
Page 87 - Pour prévenir les embarras qui se sont souvent présentés, et qui pourraient naître encore des prétentions de préséance entre les...
Page 8 - Les dieux, qui ont donné à la plupart des hommes une lâche ambition, ont attaché à la liberté presque autant de malheurs qu'à la servitude. Mais, quel que doive être le prix de cette noble liberté, il faut bien le payer aux dieux.
Page 94 - Seule, que deviendroit chacune d'elles? pas une n'échapperoit aux périls de la route; réunies, elles résistent aux vents, l'aile débile ou fatiguée s'appuie sur une aile moins frêle. Pauvres douces petites créatures que le dernier printemps vit éclore, les plus jeunes, abritées par leurs aînées, atteignent sous leur garde le terme du voyage, et, sur la terre lointaine où la Providence les a conduites par-dessus les mers, rêvent le nid natal et...
Page 83 - Je suis un peu inquiet de la signification des mots dans la langue absurde du préjugé; je parlais ici la langue de la liberté, et je m'appuyais sur l'exemple des Anglais, sur celui des Américains, qui ont toujours honoré le nom de peuple, qui l'ont toujours consacré dans leurs déclarations, dans leurs lois, dans leur politique. Quand Chatham renferma dans un seul mot la charte des nations, et dit — la majesté...