Lorsque, sous des sapins pareils à ceux des Landes, Nous avons aperçu les grands ongles marqués Par les loups voyageurs que nous avions traqués. Nous avons écouté, retenant notre haleine Et le pas suspendu. - Ni le bois ni la plaine Ne poussaient... La poésie contemporaine, 1884-1896 - Page 24by E. Vigié-Lecocq - 1896 - 288 pagesFull view - About this book
| 1843 - 1126 pages
...voyageurs que nous avions traqués. Nous avons écouté, retenant notre haleine Et le pas suspendu. — Ni le bois ni la plaine Ne poussaient un soupir dans...Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés. Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en... | |
| Auch (France) - 1906 - 796 pages
...parfaitement calme à l'abri de cette tempête qui ne l'atteignait pas, s'occupait de ses affaires : Car le vent, élevé bien au-dessus des terres N'effleurait...Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés. (A. DE VIGNY, La mort du loup.} En dépit de son attitude plus que suspecte à Bayonne, où il avait... | |
| Eugène F. Bauer - French literature - 1902 - 556 pages
...voyageurs que nous avions traqués. Nous avons écouté, retenant notre haleine Et le pas suspendu. — Ni le bois ni la plaine Ne poussaient un soupir dans...Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés. Rien ne bruissait donc, lorsque, baissant la tête, Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis... | |
| Henri Sensine - French literature - 1902 - 736 pages
...voyageurs que nous avions traqués. Nous avons écouté, retenant notre haleine Et le pas suspendu. — Ni le bois ni la plaine Ne poussaient un soupir dans...Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés. Rien ne bruissait donc, lorsque, baissant la tête, Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis... | |
| Friedrich Klincksieck - French literature - 1905 - 424 pages
...voyageurs que nous avions traqués. Nous avons écouté, retenant notre haleine Et le pas suspendu. — Ni le bois ni la plaine Ne poussaient un soupir dans...Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés. Rien ne bruissait donc, lorsque baissant la tête, Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis en... | |
| Paul Marabail - Military ethics in literature - 1905 - 328 pages
...voyageurs que nous avions traqués. Nous avons écouté, retenant notre haleine Et le pas suspendu. Ni le bois ni la plaine Ne poussaient un soupir dans...N'effleurait de ses pieds que les tours solitaires. Et les cliènes d'en bas, contre les rocs penchés. Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés. Rien... | |
| Auguste Dorchain - French poetry - 1907 - 190 pages
...voyageurs que nous avions traqués. Nous avons écouté, retenant notre haleine Et le pas suspendu. — Ni le bois ni la plaine Ne poussaient un soupir dans...Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés. Rien ne bruissait donc, lorsque, baissant la tête, Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis... | |
| St. John Lucas - French periodicals - 1908 - 542 pages
...voyageurs que nous avions traqués. Nous avons écouté, retenant notre haleine Et le pas suspendu. — Ni le bois ni la plaine Ne poussaient un soupir dans...Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés. Rien ne bruissait donc, lorsque, baissant la tête, Le plus vieux des chasseurs qui s'étaient mis... | |
| Francis Yvon Eccles - French poetry - 1909 - 399 pages
...traqués. Nous avons écouté, retenant notre haleine Et le pas suspendu. — Ni le bois ni la plaine 10 Ne poussaient un soupir dans les airs ; seulement...Et les chênes d'en bas, contre les rocs penchés, 15 Sur leurs coudes semblaient endormis et couchés. Rien ne bruissait donc, lorsque, baissant la tête,... | |
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