Annales, Volumes 66-681895 - Loire-Atlantique (France) |
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Page 26
... belle , pleine d'espérances . Un orage était venu qui , en quelques minutes , avait tout dévasté . Des hommes d'armes avaient passé qui , dans une querelle , avaient tout piétiné . La misère , la ruine , la faim , venaient exaspérer ses ...
... belle , pleine d'espérances . Un orage était venu qui , en quelques minutes , avait tout dévasté . Des hommes d'armes avaient passé qui , dans une querelle , avaient tout piétiné . La misère , la ruine , la faim , venaient exaspérer ses ...
Page 46
... belle Nausicaa lui paraissent fades et puériles . Le vieillard , couché sur son lit de souf- frances , où l'ont cloué l'âge et son cortège habituel de maux , ne retrouve un instant de bonheur et d'oubli qu'en relisant les beaux vers qui ...
... belle Nausicaa lui paraissent fades et puériles . Le vieillard , couché sur son lit de souf- frances , où l'ont cloué l'âge et son cortège habituel de maux , ne retrouve un instant de bonheur et d'oubli qu'en relisant les beaux vers qui ...
Page 107
... belle pièce ayant pour titre Pente rapide . Vous me permettrez de vous la lire tout entière : On marche lentement en gravissant la route , Tout est grâce , parfums , bonheur , rayonnement , L'âme n'a combattu ni l'ombre , ni le doute ...
... belle pièce ayant pour titre Pente rapide . Vous me permettrez de vous la lire tout entière : On marche lentement en gravissant la route , Tout est grâce , parfums , bonheur , rayonnement , L'âme n'a combattu ni l'ombre , ni le doute ...
Page 125
... belle corbeille , Embaumée et fleurie à tenter une abeille : " J'accepte ton présent , cher , mais je veux demain Que ces beaux fruits me soient présentés dans ta main . » Avril 1895 . AUTREFOIS . J'ai rêvé que j'étais la fière ...
... belle corbeille , Embaumée et fleurie à tenter une abeille : " J'accepte ton présent , cher , mais je veux demain Que ces beaux fruits me soient présentés dans ta main . » Avril 1895 . AUTREFOIS . J'ai rêvé que j'étais la fière ...
Page 129
... belle , la plus originale de l'Europe . C'était aussi le sentiment personnel de George Sand qui , dans son livre intitulé Promenades autour d'un village , s'exprimait ainsi : « Une seule pro- vince est à la hauteur dans sa poésie de ce ...
... belle , la plus originale de l'Europe . C'était aussi le sentiment personnel de George Sand qui , dans son livre intitulé Promenades autour d'un village , s'exprimait ainsi : « Une seule pro- vince est à la hauteur dans sa poésie de ce ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 116 - Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit Chante sa plainte. Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là, Simple et tranquille. Cette paisible rumeur-là Vient de la ville.
Page 102 - Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Page xvi - Faire aller son ménage, avoir l'œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie. Nos pères, sur ce point, étaient gens bien sensés, Qui disaient qu'une femme en sait toujours assez Quand la capacité de son esprit se hausse A connaître un pourpoint d'avec un haut-de-chausse.
Page 181 - ... montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 261 - Tu ne reverras plus tes riantes montagnes, Le temple, le hameau, les champs de Vaucouleurs , Et ta chaumière et tes compagnes, Et ton père expirant sous le poids des douleurs.
Page 104 - Dans le vieux parc solitaire et glacé Deux formes ont tout à l'heure passé. Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles, Et l'on entend à peine leurs paroles.
Page 114 - De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l'Impair Plus vague et plus soluble dans l'air, Sans rien en lui qui pèse ou qui pose. Il faut aussi que tu n'ailles point Choisir tes mots sans quelque méprise: Rien de plus cher que la chanson grise Où l'Indécis au Précis se joint.
Page 103 - Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres, Et sangloter d'extase les jets d'eau, Les grands jets d'eau sveltes parmi les arbres. All that follows this period,
Page 107 - Qui bombinent autour des puanteurs cruelles, Golfes d'ombre ; E, candeurs des vapeurs et des tentes, Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles ; I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles -, Dans la colère ou les ivresses pénitentes ; U, cycles, vibrements divins des mers virides...
Page 97 - Ils laissent s'égayer ceux qui vivent un temps ; Mais les festins humains qu'ils servent à leurs fêtes Ressemblent la plupart à ceux des pélicans. Quand ils parlent ainsi d'espérances trompées, De tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur, Ce n'est pas un concert à dilater le cœur. Leurs déclamations sont comme des épées ; Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant : Mais il y pend toujours quelque goutte de sang.