Annales, Volumes 66-681895 - Loire-Atlantique (France) |
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... compte de ce que dut être l'univers pour des êtres qui n'avaient que leurs yeux pour le regarder et que des traditions plus ou moins nébuleuses pour les instruire . Forêts impénétrables , pays inexplorés , mer immense , firmament infini ...
... compte de ce que dut être l'univers pour des êtres qui n'avaient que leurs yeux pour le regarder et que des traditions plus ou moins nébuleuses pour les instruire . Forêts impénétrables , pays inexplorés , mer immense , firmament infini ...
Page 26
... compte , en effet , 72 ducs , marquis et comtes , et 7,405,928 diablotins . Le pouvoir de la sorcière ne s'exerce pas seulement sur les nuées . Elle jettera des sorts sur les bestiaux , elle soutirera le lait des vaches pour le faire ...
... compte , en effet , 72 ducs , marquis et comtes , et 7,405,928 diablotins . Le pouvoir de la sorcière ne s'exerce pas seulement sur les nuées . Elle jettera des sorts sur les bestiaux , elle soutirera le lait des vaches pour le faire ...
Page 29
... compte dans toute critique scientifique , et que rien n'explique encore , mais qui n'auraient de valeur qu'autant que pourrait être précisé l'état mental de leurs auteurs et de leurs témoins , troublent certainement l'esprit et font ...
... compte dans toute critique scientifique , et que rien n'explique encore , mais qui n'auraient de valeur qu'autant que pourrait être précisé l'état mental de leurs auteurs et de leurs témoins , troublent certainement l'esprit et font ...
Page 41
... compte de ce que devenaient leurs poils de loup quand ils reprenaient la forme humaine . Ils étaient très redoutés les loups - garous , comme l'était aussi la grande belette blanche , les champs ensorcelés , les mares où s'allumaient ...
... compte de ce que devenaient leurs poils de loup quand ils reprenaient la forme humaine . Ils étaient très redoutés les loups - garous , comme l'était aussi la grande belette blanche , les champs ensorcelés , les mares où s'allumaient ...
Page 59
... compte de l'idée dominante de l'auteur , de la genèse de l'œuvre , du fil direc- teur qui en relie les diverses parties ; il sera frappé de ses beautés comme de ses faiblesses : du premier coup d'œil il verra ce qu'il y a de personnel ...
... compte de l'idée dominante de l'auteur , de la genèse de l'œuvre , du fil direc- teur qui en relie les diverses parties ; il sera frappé de ses beautés comme de ses faiblesses : du premier coup d'œil il verra ce qu'il y a de personnel ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 116 - Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit Chante sa plainte. Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là, Simple et tranquille. Cette paisible rumeur-là Vient de la ville.
Page 102 - Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Page xvi - Faire aller son ménage, avoir l'œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie. Nos pères, sur ce point, étaient gens bien sensés, Qui disaient qu'une femme en sait toujours assez Quand la capacité de son esprit se hausse A connaître un pourpoint d'avec un haut-de-chausse.
Page 181 - ... montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 261 - Tu ne reverras plus tes riantes montagnes, Le temple, le hameau, les champs de Vaucouleurs , Et ta chaumière et tes compagnes, Et ton père expirant sous le poids des douleurs.
Page 104 - Dans le vieux parc solitaire et glacé Deux formes ont tout à l'heure passé. Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles, Et l'on entend à peine leurs paroles.
Page 114 - De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l'Impair Plus vague et plus soluble dans l'air, Sans rien en lui qui pèse ou qui pose. Il faut aussi que tu n'ailles point Choisir tes mots sans quelque méprise: Rien de plus cher que la chanson grise Où l'Indécis au Précis se joint.
Page 103 - Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres, Et sangloter d'extase les jets d'eau, Les grands jets d'eau sveltes parmi les arbres. All that follows this period,
Page 107 - Qui bombinent autour des puanteurs cruelles, Golfes d'ombre ; E, candeurs des vapeurs et des tentes, Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles ; I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles -, Dans la colère ou les ivresses pénitentes ; U, cycles, vibrements divins des mers virides...
Page 97 - Ils laissent s'égayer ceux qui vivent un temps ; Mais les festins humains qu'ils servent à leurs fêtes Ressemblent la plupart à ceux des pélicans. Quand ils parlent ainsi d'espérances trompées, De tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur, Ce n'est pas un concert à dilater le cœur. Leurs déclamations sont comme des épées ; Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant : Mais il y pend toujours quelque goutte de sang.