Annales, Volumes 66-681895 - Loire-Atlantique (France) |
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Page 13
... dire un suprême adieu à ceux que la mort leur enlève . Mais , combien ce devoir n'est - il pas plus pénible quand , impla- cable dans ses arrêts , aveugle dans les coups qu'elle porte , elle atteint un collègue à qui son âge , son ...
... dire un suprême adieu à ceux que la mort leur enlève . Mais , combien ce devoir n'est - il pas plus pénible quand , impla- cable dans ses arrêts , aveugle dans les coups qu'elle porte , elle atteint un collègue à qui son âge , son ...
Page 35
... dire un cercle de fer garni à l'intérieur de pointes qui menacent ses chairs . On l'assied , le cou tétanisé d'effroi . Sous ses jambes on place des tisons ardents et , quand elle se tord de dou- leurs , dans le feu qui la brûle , elle ...
... dire un cercle de fer garni à l'intérieur de pointes qui menacent ses chairs . On l'assied , le cou tétanisé d'effroi . Sous ses jambes on place des tisons ardents et , quand elle se tord de dou- leurs , dans le feu qui la brûle , elle ...
Page 37
... dire sa fatalité et , je le crois du moins , on fait œuvre de bon Français en prou- vant que le mal ou la folie dont la France était atteinte n'était pas spécial à sa nature , mais inhérent à son époque , que nos pères n'étaient ni plus ...
... dire sa fatalité et , je le crois du moins , on fait œuvre de bon Français en prou- vant que le mal ou la folie dont la France était atteinte n'était pas spécial à sa nature , mais inhérent à son époque , que nos pères n'étaient ni plus ...
Page 40
... dire à la vie modeste et fraternelle avec leurs jeunes épouses étonnées . Oh ! ces sorciers , ils sont partout à l'un ils enlèvent la parole , à l'autre ils jettent un mal soudain et inexpliqué qui le torture et l'emmène au tombeau ...
... dire à la vie modeste et fraternelle avec leurs jeunes épouses étonnées . Oh ! ces sorciers , ils sont partout à l'un ils enlèvent la parole , à l'autre ils jettent un mal soudain et inexpliqué qui le torture et l'emmène au tombeau ...
Page 48
... charmants et d'enlèvements mystérieux . Ce jeune philosophe à la lèvre à peine ombragée d'un duvet naissant , affecte de se dire dégoûté du roman et blasé sur le genre d'émotions . qu'il procure ; il en a beaucoup lu dans le 48.
... charmants et d'enlèvements mystérieux . Ce jeune philosophe à la lèvre à peine ombragée d'un duvet naissant , affecte de se dire dégoûté du roman et blasé sur le genre d'émotions . qu'il procure ; il en a beaucoup lu dans le 48.
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 116 - Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit Chante sa plainte. Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là, Simple et tranquille. Cette paisible rumeur-là Vient de la ville.
Page 102 - Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Page xvi - Faire aller son ménage, avoir l'œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie. Nos pères, sur ce point, étaient gens bien sensés, Qui disaient qu'une femme en sait toujours assez Quand la capacité de son esprit se hausse A connaître un pourpoint d'avec un haut-de-chausse.
Page 181 - ... montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 261 - Tu ne reverras plus tes riantes montagnes, Le temple, le hameau, les champs de Vaucouleurs , Et ta chaumière et tes compagnes, Et ton père expirant sous le poids des douleurs.
Page 104 - Dans le vieux parc solitaire et glacé Deux formes ont tout à l'heure passé. Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles, Et l'on entend à peine leurs paroles.
Page 114 - De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l'Impair Plus vague et plus soluble dans l'air, Sans rien en lui qui pèse ou qui pose. Il faut aussi que tu n'ailles point Choisir tes mots sans quelque méprise: Rien de plus cher que la chanson grise Où l'Indécis au Précis se joint.
Page 103 - Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres, Et sangloter d'extase les jets d'eau, Les grands jets d'eau sveltes parmi les arbres. All that follows this period,
Page 107 - Qui bombinent autour des puanteurs cruelles, Golfes d'ombre ; E, candeurs des vapeurs et des tentes, Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles ; I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles -, Dans la colère ou les ivresses pénitentes ; U, cycles, vibrements divins des mers virides...
Page 97 - Ils laissent s'égayer ceux qui vivent un temps ; Mais les festins humains qu'ils servent à leurs fêtes Ressemblent la plupart à ceux des pélicans. Quand ils parlent ainsi d'espérances trompées, De tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur, Ce n'est pas un concert à dilater le cœur. Leurs déclamations sont comme des épées ; Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant : Mais il y pend toujours quelque goutte de sang.