Annales, Volumes 66-681895 - Loire-Atlantique (France) |
From inside the book
Results 1-5 of 51
Page 5
... forces vitales , d'établir la balance entre les bénéfices et les pertes , de réaliser enfin les innovations et les réformes utiles . Les sociétés , en effet , ne sont guère , suivant le mot des philo- sophes , qu'un perpétuel devenir ...
... forces vitales , d'établir la balance entre les bénéfices et les pertes , de réaliser enfin les innovations et les réformes utiles . Les sociétés , en effet , ne sont guère , suivant le mot des philo- sophes , qu'un perpétuel devenir ...
Page 8
... force d'activité et de bon vouloir . Vous êtes venus , nombreux , aux réunions du Comité central toutes les fois qu'il s'agissait d'une grave mesure à prendre . Je ne veux citer aucun nom . Laissez - moi pourtant adresser un mot à notre ...
... force d'activité et de bon vouloir . Vous êtes venus , nombreux , aux réunions du Comité central toutes les fois qu'il s'agissait d'une grave mesure à prendre . Je ne veux citer aucun nom . Laissez - moi pourtant adresser un mot à notre ...
Page 18
... force , et qu'instinctivement il se sentait appelé à pénétrer dans ses causes et à dominer de son intelligence , l'homme attribua à la nature , ce qu'il se sentait à lui - même , une âme ou une vie intellectuelle . Comme les hommes ...
... force , et qu'instinctivement il se sentait appelé à pénétrer dans ses causes et à dominer de son intelligence , l'homme attribua à la nature , ce qu'il se sentait à lui - même , une âme ou une vie intellectuelle . Comme les hommes ...
Page 34
... forces contre les erreurs de la magie . Elle en condamna la pratique , elle en anathématisa la doctrine . Le sabbat , l'envoûtement , l'évocation des morts , les conjurations infernales , sont , dès les premiers siècles , et tour à tour ...
... forces contre les erreurs de la magie . Elle en condamna la pratique , elle en anathématisa la doctrine . Le sabbat , l'envoûtement , l'évocation des morts , les conjurations infernales , sont , dès les premiers siècles , et tour à tour ...
Page 40
... force la serrure , on y trouve les lettres , on les jette au feu . Pendant que les lettres brûlent , le jeune homme s'amé- liore ; quand elles sont brûlées , il est guéri . Un maléfice assez commun était celui de l'enclouure ou du ...
... force la serrure , on y trouve les lettres , on les jette au feu . Pendant que les lettres brûlent , le jeune homme s'amé- liore ; quand elles sont brûlées , il est guéri . Un maléfice assez commun était celui de l'enclouure ou du ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
aime âme amour Annamites Arrondissement d'Ancenis Arthon assez avez Azote Basse-Indre beau Bretagne Bretons Brizeux Carrier chant charme cher chercher chinois choses Cochinchine cœur collègue critique DÉCIUS devant Dieu dire docteur Dr Ollive écrivains enfant engrais femme fleurs gens goût Haute-Goulaine Haye-Fouassière Hélas heures heureux hommes Hulewicz j'ai jeune joli jour Jules Lemaître l'auteur laisser Larabrie Lemaître lettres Leveau licteurs lire livre Lloyd Loire-Inférieure Louis XIV Mailcailloz maison maître malade MANLIUS médecin médicale de Nantes ment Messieurs Mme Riom monde mort œuvres passer pauvre pays pensée peuple peut-être phosphate phosphate du Grand-Connétable phosphate précipité phylloxera pièce plantes pleurs poésie poète poudre d'os premier Président qu'un radis noir reste rêve rien Riom rive Roche-Maurice Saigon Saint-Jean savant scène science scories sent serait seul Silique Société Académique soir Sol artificiel sorcière souvent superphosphate surtout talent Temple théâtre Tige tion travaux Trentemoult trouve Tyrion Verlaine Vertou voitures XVIIe siècle
Popular passages
Page 116 - Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit Chante sa plainte. Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là, Simple et tranquille. Cette paisible rumeur-là Vient de la ville.
Page 102 - Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Page xvi - Faire aller son ménage, avoir l'œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie. Nos pères, sur ce point, étaient gens bien sensés, Qui disaient qu'une femme en sait toujours assez Quand la capacité de son esprit se hausse A connaître un pourpoint d'avec un haut-de-chausse.
Page 181 - ... montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 261 - Tu ne reverras plus tes riantes montagnes, Le temple, le hameau, les champs de Vaucouleurs , Et ta chaumière et tes compagnes, Et ton père expirant sous le poids des douleurs.
Page 104 - Dans le vieux parc solitaire et glacé Deux formes ont tout à l'heure passé. Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles, Et l'on entend à peine leurs paroles.
Page 114 - De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l'Impair Plus vague et plus soluble dans l'air, Sans rien en lui qui pèse ou qui pose. Il faut aussi que tu n'ailles point Choisir tes mots sans quelque méprise: Rien de plus cher que la chanson grise Où l'Indécis au Précis se joint.
Page 103 - Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres, Et sangloter d'extase les jets d'eau, Les grands jets d'eau sveltes parmi les arbres. All that follows this period,
Page 107 - Qui bombinent autour des puanteurs cruelles, Golfes d'ombre ; E, candeurs des vapeurs et des tentes, Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles ; I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles -, Dans la colère ou les ivresses pénitentes ; U, cycles, vibrements divins des mers virides...
Page 97 - Ils laissent s'égayer ceux qui vivent un temps ; Mais les festins humains qu'ils servent à leurs fêtes Ressemblent la plupart à ceux des pélicans. Quand ils parlent ainsi d'espérances trompées, De tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur, Ce n'est pas un concert à dilater le cœur. Leurs déclamations sont comme des épées ; Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant : Mais il y pend toujours quelque goutte de sang.