Annales, Volumes 66-681895 - Loire-Atlantique (France) |
From inside the book
Results 1-5 of 77
Page 6
... heures qu'ils nous ont permis de vivre dans le monde de l'idéal et du rêve . La critique littéraire n'a point , non plus , été abandonnée et , tout à l'heure , vous pourrez applaudir une étude magistrale sur le théâtre d'Henry Becque ...
... heures qu'ils nous ont permis de vivre dans le monde de l'idéal et du rêve . La critique littéraire n'a point , non plus , été abandonnée et , tout à l'heure , vous pourrez applaudir une étude magistrale sur le théâtre d'Henry Becque ...
Page 8
... heures de péril , et c'est à lui , c'est à son administration sage et prudente , que nous devons le bien - être et la vie . Et M. Viard , comment lui témoigner notre reconnaissance ? Il est le gardien de nos trésors , je veux dire de ...
... heures de péril , et c'est à lui , c'est à son administration sage et prudente , que nous devons le bien - être et la vie . Et M. Viard , comment lui témoigner notre reconnaissance ? Il est le gardien de nos trésors , je veux dire de ...
Page 30
... heures , filant leur quenouille , puis , après s'être donné rendez - vous au sabbat , elles s'en allaient au lit. Elles se levaient soi- disant après pour s'y rendre , chacune à part , ou plusieurs ensemble ( 2 ) . Et que de faits ...
... heures , filant leur quenouille , puis , après s'être donné rendez - vous au sabbat , elles s'en allaient au lit. Elles se levaient soi- disant après pour s'y rendre , chacune à part , ou plusieurs ensemble ( 2 ) . Et que de faits ...
Page 31
... heures de suite , • et elle aurait dormi plus longtemps encore si on ne l'avait » éveillée par des moyens violents , entre autres des ven- » touses . Elle se plaignit amèrement à son réveil qu'on l'eût » enlevée au bras d'un jeune homme ...
... heures de suite , • et elle aurait dormi plus longtemps encore si on ne l'avait » éveillée par des moyens violents , entre autres des ven- » touses . Elle se plaignit amèrement à son réveil qu'on l'eût » enlevée au bras d'un jeune homme ...
Page 35
... heures au milieu d'une chambre , jusqu'à ce que la circu- » lation du sang venant à cesser , elles fussent contraintes , » par la violence du supplice , à faire des aveux qui leur coû- » taient ensuite la vie . On en tenait d'autres ...
... heures au milieu d'une chambre , jusqu'à ce que la circu- » lation du sang venant à cesser , elles fussent contraintes , » par la violence du supplice , à faire des aveux qui leur coû- » taient ensuite la vie . On en tenait d'autres ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
aime âme amour Annamites Arrondissement d'Ancenis Arthon assez avez Azote Basse-Indre beau Bretagne Bretons Brizeux Carrier chant charme cher chercher chinois choses Cochinchine cœur collègue critique DÉCIUS devant Dieu dire docteur Dr Ollive écrivains enfant engrais femme fleurs gens goût Haute-Goulaine Haye-Fouassière Hélas heures heureux hommes Hulewicz j'ai jeune joli jour Jules Lemaître l'auteur laisser Larabrie Lemaître lettres Leveau licteurs lire livre Lloyd Loire-Inférieure Louis XIV Mailcailloz maison maître malade MANLIUS médecin médicale de Nantes ment Messieurs Mme Riom monde mort œuvres passer pauvre pays pensée peuple peut-être phosphate phosphate du Grand-Connétable phosphate précipité phylloxera pièce plantes pleurs poésie poète poudre d'os premier Président qu'un radis noir reste rêve rien Riom rive Roche-Maurice Saigon Saint-Jean savant scène science scories sent serait seul Silique Société Académique soir Sol artificiel sorcière souvent superphosphate surtout talent Temple théâtre Tige tion travaux Trentemoult trouve Tyrion Verlaine Vertou voitures XVIIe siècle
Popular passages
Page 116 - Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit Chante sa plainte. Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là, Simple et tranquille. Cette paisible rumeur-là Vient de la ville.
Page 102 - Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Page xvi - Faire aller son ménage, avoir l'œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie. Nos pères, sur ce point, étaient gens bien sensés, Qui disaient qu'une femme en sait toujours assez Quand la capacité de son esprit se hausse A connaître un pourpoint d'avec un haut-de-chausse.
Page 181 - ... montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 261 - Tu ne reverras plus tes riantes montagnes, Le temple, le hameau, les champs de Vaucouleurs , Et ta chaumière et tes compagnes, Et ton père expirant sous le poids des douleurs.
Page 104 - Dans le vieux parc solitaire et glacé Deux formes ont tout à l'heure passé. Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles, Et l'on entend à peine leurs paroles.
Page 114 - De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l'Impair Plus vague et plus soluble dans l'air, Sans rien en lui qui pèse ou qui pose. Il faut aussi que tu n'ailles point Choisir tes mots sans quelque méprise: Rien de plus cher que la chanson grise Où l'Indécis au Précis se joint.
Page 103 - Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres, Et sangloter d'extase les jets d'eau, Les grands jets d'eau sveltes parmi les arbres. All that follows this period,
Page 107 - Qui bombinent autour des puanteurs cruelles, Golfes d'ombre ; E, candeurs des vapeurs et des tentes, Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles ; I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles -, Dans la colère ou les ivresses pénitentes ; U, cycles, vibrements divins des mers virides...
Page 97 - Ils laissent s'égayer ceux qui vivent un temps ; Mais les festins humains qu'ils servent à leurs fêtes Ressemblent la plupart à ceux des pélicans. Quand ils parlent ainsi d'espérances trompées, De tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur, Ce n'est pas un concert à dilater le cœur. Leurs déclamations sont comme des épées ; Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant : Mais il y pend toujours quelque goutte de sang.