Annales, Volumes 66-681895 - Loire-Atlantique (France) |
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... mieux précisée sinon dans ses moyens , du moins dans son but . Ce qu'elle recherche , c'est l'intervention des génies malfaisants pour la préparation des charmes , des philtres et des sortilèges . Elle est l'art d'opérer des prodiges ...
... mieux précisée sinon dans ses moyens , du moins dans son but . Ce qu'elle recherche , c'est l'intervention des génies malfaisants pour la préparation des charmes , des philtres et des sortilèges . Elle est l'art d'opérer des prodiges ...
Page 33
... mieux qu'eux , avec les idées qu'ils pouvaient et qu'ils devaient avoir , voilà l'obstacle et voilà la difficulté ! Chacun de nous . se croit facilement l'inventeur de ce qu'il sait ou de ce dont il jouit . Nous profitons du labeur de ...
... mieux qu'eux , avec les idées qu'ils pouvaient et qu'ils devaient avoir , voilà l'obstacle et voilà la difficulté ! Chacun de nous . se croit facilement l'inventeur de ce qu'il sait ou de ce dont il jouit . Nous profitons du labeur de ...
Page 38
... mieux que les prisons . Les malheureux fous y étaient enchaînés dans des loges de pierre étroites sans jour ni air ( 1 ) , leurs infirmiers étaient des malfaiteurs qu'on tirait des prisons ; mais mon sujet est trop étendu pour que j'en ...
... mieux que les prisons . Les malheureux fous y étaient enchaînés dans des loges de pierre étroites sans jour ni air ( 1 ) , leurs infirmiers étaient des malfaiteurs qu'on tirait des prisons ; mais mon sujet est trop étendu pour que j'en ...
Page 41
... les champs , il vaut mieux avoir peur du loup et , sculettes , dans votre chaumière , Vous pourriez voir le lutin , vous qui l'appelez en vos rêves , et qui ne croyez pas au lutin ! - - Mon cher Président , il faut finir . J'ai déjà 41.
... les champs , il vaut mieux avoir peur du loup et , sculettes , dans votre chaumière , Vous pourriez voir le lutin , vous qui l'appelez en vos rêves , et qui ne croyez pas au lutin ! - - Mon cher Président , il faut finir . J'ai déjà 41.
Page 52
... mieux peu de récits , mais qu'ils soient bien amenés ; peu de souvenirs de lectures , mais qu'on sache en tirer parti . - - Je soutiendrai , si vous le voulez bien , ma thèse par un argument ad feminam . Je crois que personne ne me ...
... mieux peu de récits , mais qu'ils soient bien amenés ; peu de souvenirs de lectures , mais qu'on sache en tirer parti . - - Je soutiendrai , si vous le voulez bien , ma thèse par un argument ad feminam . Je crois que personne ne me ...
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Common terms and phrases
aime âme amour Annamites Arrondissement d'Ancenis Arthon assez avez Azote Basse-Indre beau Bretagne Bretons Brizeux Carrier chant charme cher chercher chinois choses Cochinchine cœur collègue critique DÉCIUS devant Dieu dire docteur Dr Ollive écrivains enfant engrais femme fleurs gens goût Haute-Goulaine Haye-Fouassière Hélas heures heureux hommes Hulewicz j'ai jeune joli jour Jules Lemaître l'auteur laisser Larabrie Lemaître lettres Leveau licteurs lire livre Lloyd Loire-Inférieure Louis XIV Mailcailloz maison maître malade MANLIUS médecin médicale de Nantes ment Messieurs Mme Riom monde mort œuvres passer pauvre pays pensée peuple peut-être phosphate phosphate du Grand-Connétable phosphate précipité phylloxera pièce plantes pleurs poésie poète poudre d'os premier Président qu'un radis noir reste rêve rien Riom rive Roche-Maurice Saigon Saint-Jean savant scène science scories sent serait seul Silique Société Académique soir Sol artificiel sorcière souvent superphosphate surtout talent Temple théâtre Tige tion travaux Trentemoult trouve Tyrion Verlaine Vertou voitures XVIIe siècle
Popular passages
Page 116 - Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit Chante sa plainte. Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là, Simple et tranquille. Cette paisible rumeur-là Vient de la ville.
Page 102 - Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Page xvi - Faire aller son ménage, avoir l'œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie. Nos pères, sur ce point, étaient gens bien sensés, Qui disaient qu'une femme en sait toujours assez Quand la capacité de son esprit se hausse A connaître un pourpoint d'avec un haut-de-chausse.
Page 181 - ... montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 261 - Tu ne reverras plus tes riantes montagnes, Le temple, le hameau, les champs de Vaucouleurs , Et ta chaumière et tes compagnes, Et ton père expirant sous le poids des douleurs.
Page 104 - Dans le vieux parc solitaire et glacé Deux formes ont tout à l'heure passé. Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles, Et l'on entend à peine leurs paroles.
Page 114 - De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l'Impair Plus vague et plus soluble dans l'air, Sans rien en lui qui pèse ou qui pose. Il faut aussi que tu n'ailles point Choisir tes mots sans quelque méprise: Rien de plus cher que la chanson grise Où l'Indécis au Précis se joint.
Page 103 - Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres, Et sangloter d'extase les jets d'eau, Les grands jets d'eau sveltes parmi les arbres. All that follows this period,
Page 107 - Qui bombinent autour des puanteurs cruelles, Golfes d'ombre ; E, candeurs des vapeurs et des tentes, Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles ; I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles -, Dans la colère ou les ivresses pénitentes ; U, cycles, vibrements divins des mers virides...
Page 97 - Ils laissent s'égayer ceux qui vivent un temps ; Mais les festins humains qu'ils servent à leurs fêtes Ressemblent la plupart à ceux des pélicans. Quand ils parlent ainsi d'espérances trompées, De tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur, Ce n'est pas un concert à dilater le cœur. Leurs déclamations sont comme des épées ; Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant : Mais il y pend toujours quelque goutte de sang.