Annales, Volumes 66-681895 - Loire-Atlantique (France) |
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... hôpitaux , de Larabric était venu prendre place parmi les maîtres de notre Ecole de Médecine . Nommé , il y a quelques mois , professeur de clinique chirurgicale , à peine avait - il pris place dans sa chaire que la maladie le forçait.
... hôpitaux , de Larabric était venu prendre place parmi les maîtres de notre Ecole de Médecine . Nommé , il y a quelques mois , professeur de clinique chirurgicale , à peine avait - il pris place dans sa chaire que la maladie le forçait.
Page 14
Société Académique de Nantes et du Département de la Loire-Inférieure. pris place dans sa chaire que la maladie le forçait à l'aban- donner . Mais , qui aurait pu croire à une fin si prématurée ! Et cette robe de professeur que nous ...
Société Académique de Nantes et du Département de la Loire-Inférieure. pris place dans sa chaire que la maladie le forçait à l'aban- donner . Mais , qui aurait pu croire à une fin si prématurée ! Et cette robe de professeur que nous ...
Page 53
... pris absolument le contrepied et avaient fait dire à l'écrivain , qui n'en pouvait mais , qu'il craignait l'homme d'un seul livre , comme un être incomplet et mal équilibré , que son exclusivisme et son obsession par une idée fixe ...
... pris absolument le contrepied et avaient fait dire à l'écrivain , qui n'en pouvait mais , qu'il craignait l'homme d'un seul livre , comme un être incomplet et mal équilibré , que son exclusivisme et son obsession par une idée fixe ...
Page 54
... pris et par la scule beauté de son œuvre que l'écrivain doit contribuer à la moralisation de ses lecteurs ; en d'autres termes , la moralité doit être le résultat néces- sairement et pour ainsi dire inconsciemment atteint et non le but ...
... pris et par la scule beauté de son œuvre que l'écrivain doit contribuer à la moralisation de ses lecteurs ; en d'autres termes , la moralité doit être le résultat néces- sairement et pour ainsi dire inconsciemment atteint et non le but ...
Page 68
... pris du mal du pays , était de retour parmi nous . Un de ses premiers soins était , Messieurs , de solliciter son admission dans les rangs de votre compagnie et je ne prévoyais pas alors , il y a dix ans ( 6 mai 1885 ) , lorsque je fus ...
... pris du mal du pays , était de retour parmi nous . Un de ses premiers soins était , Messieurs , de solliciter son admission dans les rangs de votre compagnie et je ne prévoyais pas alors , il y a dix ans ( 6 mai 1885 ) , lorsque je fus ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 116 - Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit Chante sa plainte. Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là, Simple et tranquille. Cette paisible rumeur-là Vient de la ville.
Page 102 - Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Page xvi - Faire aller son ménage, avoir l'œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie. Nos pères, sur ce point, étaient gens bien sensés, Qui disaient qu'une femme en sait toujours assez Quand la capacité de son esprit se hausse A connaître un pourpoint d'avec un haut-de-chausse.
Page 181 - ... montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 261 - Tu ne reverras plus tes riantes montagnes, Le temple, le hameau, les champs de Vaucouleurs , Et ta chaumière et tes compagnes, Et ton père expirant sous le poids des douleurs.
Page 104 - Dans le vieux parc solitaire et glacé Deux formes ont tout à l'heure passé. Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles, Et l'on entend à peine leurs paroles.
Page 114 - De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l'Impair Plus vague et plus soluble dans l'air, Sans rien en lui qui pèse ou qui pose. Il faut aussi que tu n'ailles point Choisir tes mots sans quelque méprise: Rien de plus cher que la chanson grise Où l'Indécis au Précis se joint.
Page 103 - Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres, Et sangloter d'extase les jets d'eau, Les grands jets d'eau sveltes parmi les arbres. All that follows this period,
Page 107 - Qui bombinent autour des puanteurs cruelles, Golfes d'ombre ; E, candeurs des vapeurs et des tentes, Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles ; I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles -, Dans la colère ou les ivresses pénitentes ; U, cycles, vibrements divins des mers virides...
Page 97 - Ils laissent s'égayer ceux qui vivent un temps ; Mais les festins humains qu'ils servent à leurs fêtes Ressemblent la plupart à ceux des pélicans. Quand ils parlent ainsi d'espérances trompées, De tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur, Ce n'est pas un concert à dilater le cœur. Leurs déclamations sont comme des épées ; Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant : Mais il y pend toujours quelque goutte de sang.