Annales, Volumes 66-681895 - Loire-Atlantique (France) |
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Page 46
... semble absorbé par une étude difficile et ardue ; détrompez - vous . Autrefois il élevait des vers à soie ; maintenant il lit un journal ou un roman après lequel les aventures de la belle Nausicaa lui paraissent fades et puériles . Le ...
... semble absorbé par une étude difficile et ardue ; détrompez - vous . Autrefois il élevait des vers à soie ; maintenant il lit un journal ou un roman après lequel les aventures de la belle Nausicaa lui paraissent fades et puériles . Le ...
Page 51
... semble généralement persuadé qu'un Monsieur qui lit beaucoup est un être supérieur , quelqu'un de très fort devant qui il doit s'incliner avec respect . Mais relève donc la tête , bon public , encore si naïf , qu'un peu de pose suffit à ...
... semble généralement persuadé qu'un Monsieur qui lit beaucoup est un être supérieur , quelqu'un de très fort devant qui il doit s'incliner avec respect . Mais relève donc la tête , bon public , encore si naïf , qu'un peu de pose suffit à ...
Page 55
... semble que nous n'avons pas , sur le mérite respectif des écrivains du XVIIe siècle , les mêmes opinions que les contemporains de Voltaire , et qui dira si nous sommes plus près qu'eux de la vérité ? Mesurera - t - on le mérite d'un ...
... semble que nous n'avons pas , sur le mérite respectif des écrivains du XVIIe siècle , les mêmes opinions que les contemporains de Voltaire , et qui dira si nous sommes plus près qu'eux de la vérité ? Mesurera - t - on le mérite d'un ...
Page 90
... d'effroi ! Une mère éplorée et voilant son visage , Grie à Dieu Pourquoi donc le ravir à cet âge . Où tout semble immortel ? De regrets , de sanglots lasse de se repaître , Elle va se jeter tremblante aux pieds du prêtre Qui 90.
... d'effroi ! Une mère éplorée et voilant son visage , Grie à Dieu Pourquoi donc le ravir à cet âge . Où tout semble immortel ? De regrets , de sanglots lasse de se repaître , Elle va se jeter tremblante aux pieds du prêtre Qui 90.
Page 107
... semble - t - il pas , Messieurs , entendre le luth de Lamartine accompagnant la muse de Musset ? Si , dans La Marguerite des Marguerites et dans Le Songe , nous retrouvons toute l'exquise sensibilité d'une âme de femme , dans Les ...
... semble - t - il pas , Messieurs , entendre le luth de Lamartine accompagnant la muse de Musset ? Si , dans La Marguerite des Marguerites et dans Le Songe , nous retrouvons toute l'exquise sensibilité d'une âme de femme , dans Les ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 116 - Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu'on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l'arbre qu'on voit Chante sa plainte. Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là, Simple et tranquille. Cette paisible rumeur-là Vient de la ville.
Page 102 - Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.
Page xvi - Faire aller son ménage, avoir l'œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie. Nos pères, sur ce point, étaient gens bien sensés, Qui disaient qu'une femme en sait toujours assez Quand la capacité de son esprit se hausse A connaître un pourpoint d'avec un haut-de-chausse.
Page 181 - ... montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 261 - Tu ne reverras plus tes riantes montagnes, Le temple, le hameau, les champs de Vaucouleurs , Et ta chaumière et tes compagnes, Et ton père expirant sous le poids des douleurs.
Page 104 - Dans le vieux parc solitaire et glacé Deux formes ont tout à l'heure passé. Leurs yeux sont morts et leurs lèvres sont molles, Et l'on entend à peine leurs paroles.
Page 114 - De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l'Impair Plus vague et plus soluble dans l'air, Sans rien en lui qui pèse ou qui pose. Il faut aussi que tu n'ailles point Choisir tes mots sans quelque méprise: Rien de plus cher que la chanson grise Où l'Indécis au Précis se joint.
Page 103 - Qui fait rêver les oiseaux dans les arbres, Et sangloter d'extase les jets d'eau, Les grands jets d'eau sveltes parmi les arbres. All that follows this period,
Page 107 - Qui bombinent autour des puanteurs cruelles, Golfes d'ombre ; E, candeurs des vapeurs et des tentes, Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles ; I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles -, Dans la colère ou les ivresses pénitentes ; U, cycles, vibrements divins des mers virides...
Page 97 - Ils laissent s'égayer ceux qui vivent un temps ; Mais les festins humains qu'ils servent à leurs fêtes Ressemblent la plupart à ceux des pélicans. Quand ils parlent ainsi d'espérances trompées, De tristesse et d'oubli, d'amour et de malheur, Ce n'est pas un concert à dilater le cœur. Leurs déclamations sont comme des épées ; Elles tracent dans l'air un cercle éblouissant : Mais il y pend toujours quelque goutte de sang.