M MA 282. ACHINE pour fouffler aisément de la fumée de tabac dans les inteftins, inventée en Angleterre, 281; perfectionnée en Hollande par M. Muffembroèch, Maladies contagieufes, leur origine, & caufe de leur propagation, 167. Maures poulfent des cris & des heurlemens fur le tombeau de leurs parens, MEAD, ( le Docteur) fon fentiment fur la principale caufe du progrès des maladies contagieufes, 182. Médecine. L'opinion de l'incertitude I 10. des fignes de la mort eft injurieufe à la Médecine, 22: elle le feroit particulièrement à M. Winflow, 68. Eloge de la Médecine, 27. Son difcrédit vient de l'ignorance de ceux qui fe mêlent de l'exeribid. Miroir approché de la bouche, est une épreuve illufoire pour conftater la mort Membres, leur fléxibilité eft un figne que le fujet n'eft pas mort, 133. cer, 123. > } 10. MOLIERE. On trouve dans cet Auteur le fondement de toutes les raifons rapportées par M. Bruhier en faveur d'un reglement général contre l'abus des enterremens précipités, Mort (La) a été pour les furvivans un fujer de joye ou de trifteffe, de respect ou de mépris, fuivant le caractére des différens peuples, 72. Ce que c'est que la mort, 119. Utilité des épreuves chirurgiques pour conftater la mort, 125; elles peuvent être infuffifantes, 126, & prouver moins que les autres épreuves, 128. La mort eft indiquée par des fignes effentiels, 133, & par des fignes acceffoires, 151. Berenger de Carpi l'a prédite fix jours avant qu'elle arrivât, 25. L'éxamen des yeux du fujer fournit la preuve la plus certaine de la mort, 153. La confervation des morts jufqu'à ce que la pourriture fe manifefte, feroit auffi embarraffante que défagréable, 203. Cette confervation feroit très-dangereufe dans les Hôpitaux, 208, e 'Mouvemens, il s'en fait dans les cadavres, 21; caufes de ces mouvemens, ibid. Ils ne prouvent pas que la perfonne n'eft pas morte, ibid. N Nor Ovés, Mémoire fur la cause de leur mort, 223. Leurs poumons font exceffivement gonflés, 230. L'entrée de l'eau dans les bronches eft la vraye cause de leur mort; expériences qui le prouvent, 238. Quelle eft la caufe déterminante de l'entrée de l'eau dans les bronches, 242. Etat de la poitrine dans ceux qui fe noyent, 244. Noyés mal comparés aux pendus & aux apoplectiques, 246. Avis publié en 1740. pour donner du fecours à ceux que l'on croit noyés, 250. Examen raisonné des différens fecours qu'on a propofés ou mis en ufage en faveur des noyés, 261. Symptômes par lefquels on juge ordinairement de leur état, 262. Modéles de port en Justice fur les noyés, 263. rap Indications curatives que présenté l'état des noyés, 266. Le premier fecours qu'on peut leur donner eft de leur fouffler de l'air chaud dans les poumons, 270; comment cela doit le faire, 272; il faut ensuite bien échauffer le corps & le frotter avec des linges chauds, 273; leur fouffler de la fumée de tabac dans les inteftins, 277; les faigner de la gorge, 287. BSERVATIONS rapportées par M. en de la mort, & qui prouvent le contraire, 38 & fuiv. Odeur, on en fent une mauvaise dans les Eglifes où l'on enterre, 283. Suivant M. Haguenot, les vapeurs cadavéreufes des Eglifes entretien- nent & irritent les maladies épidémiques @fophage, fa ftructure, ibid. 2 267 P ARALYSIE du fentiment fans motrice du la foit empêchée, que 1264 Pendus mal comparés aux apoplecti- 247. > morts 101. , 180. Pefte caufée par des vapeurs cada- morts, 108. PITAVAL (M. de) donne une histoire rapportée en preuve de l'incertitude des fignes de la mort. L'autorité de cet Auteur eft fufpecte, 53. Pleurs, ceux qu'on répand à l'occafion de la mort de quelques-uns, font des marques de douleurs & d'affliction, 106. Jamais ils n'ont pu être regardés comme une cérémonie propre à rappeller d'une mort apparente à la vie, 107. Opinion de Ciceron à ce sujet ibid. Sentiment de Pierre de Blois, 108; de Quintilien, 109. La trente quatriéme Loi des douze Tables défendoit aux femmes de pleurer aux enterremens, 110. |