Plongeurs, précaution qu'ils pren nent avant de fe jetter à l'eau, Examen de ce qui se passe en eux lorfqu'ils font dans cet élé 244. ment, 245. PORTIUS, fon fentiment fur les principales caufes des maladies qui détruisent les armées, 169. Putréfaction, fuivant Zacchias elle eft le feul figne certain de la mort, 19. Ce fentiment eft réfuté par Lancifi, ibid. La putréfaction n'est pas un figne certain de la mort du fujet, 163. Caractéres qui distinguent la pourriture qui attaque un corps vivant de celle qui s'empare d'un mort, 164. Danger de conferver les morts jufqu'à ce que la pourriture fe manifeste, 166; cela Teroit capable d'empoifonner les vivans, 167. Il n'est pas néceffaire que les fubftances putrides fe mêlent avec nos humeurs pour exercer fur nous leur maligniτέ, 205. Q UINTILIEN, fentiment de cet Q 31 les, & fur les pleurs qu'on y ré pand, 109. R Ra turs, 199. 174. > RAMAZZINI, ce qu'il penfe des mala- vifs à ceux qui ne font point touchés des faits qu'il rapporte, $8. Respiration, cette fonction n'est qu'auxiliaire à la circulation du fang, 123. L'éxamen de la refpiration ne peut pas fournir des fignes capables de conftater la mort, ibid. Roideur des articulations eft un figne de la mort 133. S AIGNÉE utile aux noyés, 284. La faignée du pied n'eft point indiquée dans ce cas, & elle eft impraticable, 286. Obfervations fur les effets & les avantages de la faignée de la jugulaire, 287 & fuiv. SENAC (M.) a penfé que la glotte s'irritoit à l'approche de l'eau, & que les noyés mouroient faute d'air & de refpiration, 2.30. SENEQUE, fon fentiment fur le motif de la fépulture des morts, 171. Sépultures; ufages des différens ples fur cet objet, 74; ulages des Juifs, 83; ufages du tems des Apôtres, 85. Origine de la coutume d'enterrer les morts, Signes de la mort, Démocrite les peu . 171. croyoit incertains, 9. Motif de fon, opinion, 10. Celfe cité à faux pour avoir penfé que ces fignes étoient incertains, 11. Selon cet Auteur il n'y a que des ignorans qui puiffent s'y tromper, 12. Lancifi eft cité mal à propos comme ayant dit que les fignes de la mort étoient incertains, 18. L'opinion de l'incertitude des fignes de la mort eft injurieufe à la Médecine, 22. L'incerti tude de ces fignes n'eft pas prouvée par l'erreur de ceux qui les ont méconnus,65. Les fignes de la mort fe tirent de l'infléxibilité & de la roideur des membres, 133; de l'état B du vifage, 151, & de l'examen des yeux, 155; observations à ce fujet, Signes de la putrefaction qui attaque les vivans, 165; figne de celle qui furvient aux morts, ibid. Utilité de cette diftinction, Signes extérieurs par lefquels on jugeoit qu'un homme a été noyé, I57. 166. 262. SILVA, (M.) fon fyftême fur les faignées révulfives, 285. Sternutatoires noyés, 131. Suffocation de matrice, fymptôme de cette maladie, Superftition, eft le fondement de prefque tous les anciens ufages à l'égard des morts, Sufpenfion (La) du mouvement des artéres n'eft point un figne de 73. convenables mort, I 22. Sufpenfion. Les anciens pendoient les noyés par les pieds, les modernes ont profcrit cette pratique, parce qu'il n'y entre point d'eau dans Feftomach de ceux qui fe noyent, 23. Dans ce cas-là même, elle 1. feroit abfolument inutile, 267. Il peut néanmoins être utile de fufpendre les noyés par les pieds, 269. Syncope, ce que c'eft, I 20. T aux 274. T OSSACH (M.) Chirurgien Ecoffois, juge qu'un homme qu'on réputoit mort, ne l'eft point, & M. Bruhier raconte ce fait comme |