La Revue hebdomadaire, Volume 5; Volume 6, Part 4René Moulin Librairie Plon, 1897 - Literature |
From inside the book
Results 6-10 of 55
Page 59
... C'était la seule pièce qui n'eût pas subi de remanie- ments . Mme Divoire s'était opposée énergiquement à ce que son mari la gâtât par des rajeunissements , et elle ― avait obtenu gain de cause . Jean , secoué CŒURS MEURTRIS 59.
... C'était la seule pièce qui n'eût pas subi de remanie- ments . Mme Divoire s'était opposée énergiquement à ce que son mari la gâtât par des rajeunissements , et elle ― avait obtenu gain de cause . Jean , secoué CŒURS MEURTRIS 59.
Page 78
... C'était la première fois qu'ils se retrou- vaient ensemble dans ces sentiers du Roc - de - Chère où ils avaient échangé leurs premiers aveux de tendresse . Tandis qu'ils cheminaient sur le sol déjà jonché de dé- bris , les souvenirs du ...
... C'était la première fois qu'ils se retrou- vaient ensemble dans ces sentiers du Roc - de - Chère où ils avaient échangé leurs premiers aveux de tendresse . Tandis qu'ils cheminaient sur le sol déjà jonché de dé- bris , les souvenirs du ...
Page 93
... c'était une fort bonne affaire , et , pour la première fois , il exprima son approbation à Carlsson lorsque celui - ci conta comment , avec son histoire des amateurs nombreux qui se dispu- taient la maison , il avait forcé le monsieur à ...
... c'était une fort bonne affaire , et , pour la première fois , il exprima son approbation à Carlsson lorsque celui - ci conta comment , avec son histoire des amateurs nombreux qui se dispu- taient la maison , il avait forcé le monsieur à ...
Page 94
... c'était lui qui les avait attirés à Hemsœ . Aucun autre , d'ailleurs , ne possédait la hardiesse nécessaire et les manières de société qu'il eût fallu pour lui disputer ce rang . L'arrivée des citadins dans l'île ne pouvait manquer d ...
... c'était lui qui les avait attirés à Hemsœ . Aucun autre , d'ailleurs , ne possédait la hardiesse nécessaire et les manières de société qu'il eût fallu pour lui disputer ce rang . L'arrivée des citadins dans l'île ne pouvait manquer d ...
Page 97
... C'était son heure pour rêver et forger des plans . Il se plaisait alors à bâtir des châteaux en Espagne qui , bien que n'ayant encore nul fondement dans les circonstances présentes , pouvaient un jour se réaliser , pour peu que la ...
... C'était son heure pour rêver et forger des plans . Il se plaisait alors à bâtir des châteaux en Espagne qui , bien que n'ayant encore nul fondement dans les circonstances présentes , pouvaient un jour se réaliser , pour peu que la ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
2º série Abyssinie aimer amour Anglais arrive AUGUSTE STRINDBERG avaient Balkans baron de Neuhoff bateau Bayonne Bulgarie C'était Carlsson chambre Charles Charles de Lesseps Charles IV charmante cher Choa chose Christine Clara cœur Corse coup cria cuisine demeurait devant dit-il Duchesse D'ABRANTÈS eût Faverges fenêtre Ferdinand fortune Frangy fût gens Gilbert Godoï goût Guillaume Lejean Gustave heures Hyacinthe Paoli Isabelle Italiens j'ai Jacqueline jamais Jean Serraval jeune femme jour l'empereur Johannès laisser main maison mari Marrac matin Ménélick ment Mme Divoire Mme Flod Mme Lancret Mme Serraval mort n'avait n'était Napoléon Norman parler paroles passer pasteur Paul Hervieu péninsule pensée père personne politique porte pouvait prince prit Raymond regard reste rien Rundquist s'en s'était s'il Sahala sais salon semblait sentit Serbes Serraval seul Simonne snob soir songer sorte tête Théodore de Neuhoff Théodoros tion Toron trouver venait vieille visage visite voix voulait yeux
Popular passages
Page 459 - Exercerai-je l'acte d'un grand protectorat , en prononçant entre le père et le fils ? Il me semble difficile de faire régner Charles IV : son gouvernement et son favori sont tellement dépopularisés , qu'ils ne se soutiendraient pas trois mois. » Ferdinand est l'ennemi de la France , c'est pour cela qu'on l'a fait roi ; le placer sur le trône sera servir les factions qui , depuis vingt-cinq ans, veulent l'anéantissement de la France. Une alliance de famille serait un faible lien.
Page 322 - Napoléon, empereur des Français. roi d'Italie et protecteur de la confédération du Rhin : Sur le rapport de notre Ministre des relations extérieures . Notre Conseil d'État entendu , Nous avons décrété et décrétons ce qui suit: Art.
Page 477 - Castellane, vous êtes un pacha ici; les préfets, une fois à cent lieues de la capitale, ont plus de pouvoir que moi.
Page 133 - Molière définissoit un médecin , un homme que l'on paie pour conter des fariboles dans la chambre d'un malade, jusqu'à ce que la nature l'ait guéri , ou que les remèdes l'aient tué.
Page 472 - Allons! faites donner la garde, cria-t-il, — Et lanciers, grenadiers aux guêtres de coutil, Dragons que Rome eût pris pour des légionnaires, Cuirassiers, canonniers qui traînaient des tonnerres, Portant le noir colback ou le casque poli, Tous, ceux de Friedland et ceux de Rivoli, Comprenant qu'ils allaient mourir dans cette fête, Saluèrent leur dieu, debout dans la tempête. Leur bouche, d'un seul cri, dit: vive l'empereur! Puis...
Page 476 - N'ayant point d'autre lieu où ils pussent se voir, ils s'y oublièrent un jour, furent surpris par la marée montante, n'eurent pas le temps de s'échapper, et périrent tous les deux ensemble. Tel est du moins le récit que l'on fait aux voyageurs qui viennent visiter ce lieu, fort curieux à voir sous plusieurs rapports. Pour moi, je n'avais rien vu qui me parût comparable au spectacle de la marée montante et de la marée descendante.
Page 459 - La dynastie qui gouverne l'Espagne, par ses affections, ses souvenirs, ses craintes, sera toujours l'ennemie cachée de la France; ennemie d'autant plus perfide qu'elle se présente comme amie, cédant tout à la France victorieuse, prête à l'accabler du moment où sa destinée deviendrait incertaine.
Page 470 - Je l'avais souvent entendu, mais, dans aucune circonstance, je ne l'avais entendu développer de telle richesses d'imagination et de langage. Soit abondance du sujet, soit que toutes ses facultés eussent été remuées par la scène de laquelle il sortait et que toutes les cordes de l'instrument vibrassent à la fois, il fut sublime.
Page 451 - Alors, soulevant le rideau, il regarda dans la rue. Un grand salon de coiffure, tout flambant de gaz, illuminait le trottoir d'en face, et, à travers les glaces de la vitrine, Chrétien vit quatre ou cinq jeunes gens que coiffaient ou rasaient avec agilité des garçons en bras de chemise. Il supposa que c'étaient des étudiants qui, le soir même, devaient aller au bal, au théâtre, qui se paraient pour quelque fête. Bientôt il ferait comme eux, goûterait aux plaisirs de Paris.
Page 470 - C'était , dit-il , le roi Priam. Ce forent ses expressions, lorsque s'arrêtant tout à coup, il ajouta après un moment de silence : » La scène devenait fort belle, quand la reine est venue l'interrompre en éclatant en invectives et en menaces contre son fils , et après lui avoir reproché de les avoir détrônés, elle m'a demandé de le faire monter sur l'échafaud. Quelle femme ! quelle mère ! s'écria-t-il ; elle m'a. fait horreur , elle m'a intéressé pour lui.