Suite des lettres particulières. Opuscules littéraires: Les Commentaires de Jule-César, tr. par Louis XIV; Amusemens poétiques. Additions aux Oeuvres de Louis XIV, contenant des pièces historiques ou anecdotiques, servant d'éclaircissemens et de supplémens aux écrits de ce monarqueTreuttel et Würtz, 1806 - Autographs |
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... mars 1702 . J'AI été mortifié de ce que V. M. paroissoit croire , que j'hésiterois à me séparer de la reine , lorsqu'il s'agiroit de passer en Italie . Louville vous pourra dire , que m'ayant représenté deux jours après qu'il fut arrivé ...
... mars 1702 . J'AI été mortifié de ce que V. M. paroissoit croire , que j'hésiterois à me séparer de la reine , lorsqu'il s'agiroit de passer en Italie . Louville vous pourra dire , que m'ayant représenté deux jours après qu'il fut arrivé ...
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... ROI , A PHILIPPE V. Versailles , le 22 mars 1702 . J'AI PU douter de votre fermeté , sans rien pu diminuer de la bonne opinion que j'ai de vos sentimens . Je sais quelle est votre tendresse pour la reine ; go LETTRES PARTICULIÈRES ,
... ROI , A PHILIPPE V. Versailles , le 22 mars 1702 . J'AI PU douter de votre fermeté , sans rien pu diminuer de la bonne opinion que j'ai de vos sentimens . Je sais quelle est votre tendresse pour la reine ; go LETTRES PARTICULIÈRES ,
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... mars 1702 . Je n'ai pu douter que votre amitié tendre et vive pour le roi d'Espagne , ne vous fit res- sentir toutes les peines d'être obligée de vous séparer de lui ; mais j'avoue que je ne pouvois croire , que cette séparation fût une ...
... mars 1702 . Je n'ai pu douter que votre amitié tendre et vive pour le roi d'Espagne , ne vous fit res- sentir toutes les peines d'être obligée de vous séparer de lui ; mais j'avoue que je ne pouvois croire , que cette séparation fût une ...
Page 112
... mars 1703 . J'AI reçu vos deux lettres du 18 et du 22 fé- vrier . Je n'ai point été fâché de voir combien vous avez été sensible à celles que vous avez reçues de moi . Je vous ai écrit en père qui vous aime tendrement , qui aime votre ...
... mars 1703 . J'AI reçu vos deux lettres du 18 et du 22 fé- vrier . Je n'ai point été fâché de voir combien vous avez été sensible à celles que vous avez reçues de moi . Je vous ai écrit en père qui vous aime tendrement , qui aime votre ...
Page 121
... mars doit être , que vous n'y devez pas être trompé ; vous avez beaucoup de régi- mens étrangers dans l'infanterie qui compo- sent mon armée de Flandre . Il y en a plusieurs qui ont fait leur devoir avec distinction en différentes ...
... mars doit être , que vous n'y devez pas être trompé ; vous avez beaucoup de régi- mens étrangers dans l'infanterie qui compo- sent mon armée de Flandre . Il y en a plusieurs qui ont fait leur devoir avec distinction en différentes ...
Contents
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Common terms and phrases
affaires aîné ambassadeur assuré audit auroit avez avoient avoit Bavière cardinal d'Etrées catholique César Charles château de Vincennes chevalier de Gremonville choses comte connoissance connoître conseils d'Angleterre d'Espagne déclaration descendans mâles desirer dessein devoit donne et lègue duc d'Iorck duché de Milan duchesse dudit seigneur marquis Dumnorix éminence ennemis envoyé Espagne Etats étoient étoit eût filles Fouquet Grande-Bretagne guerre Hollandais Hortense Mancini j'ai l'électeur de Bavière l'Empereur ledit lesdits lettre Louis XIV madame madame de Maintenon Majesté mandé maréchal maréchal de Tallard Mazarini ment mille livres ministres mondit seigneur cardinal mondit seigneur cardinal-duc n'avoit n'étoit notaires paix pape paroît passer persuadé Portugal pourroit pouvoit prendre présent testament prince d'Aversberg princesse des Ursins raison reine rien Rome royaume royaume de Naples secret seigneur cardinal testateur seigneur marquis Mancini sentimens sera seroient seroit service seul sieur Colbert sieur d'Artagnan sieurs exécuteurs somme Suisses sujets tion traité Très-Chrétien troupes trouve
Popular passages
Page 108 - Je sais que vous êtes très-éloigné de ce dé« faut; mais les effets du premier ne sont guère moins « dangereux, et c'est ce qui m'alarme pour vous. « Je vous aime trop tendrement pour me résoudre « à vous abandonner. Vous me réduirez cependant à « cette fâcheuse extrémité, si je cesse d'être informé « de ce qui se passe dans vos conseils. Je ne puis y « avoir part si vous retranchez au cardinal d'Estrées « les entrées que vous lui aviez données jusqu'à pré« sent , non-seulement...
Page 135 - religion, l'honneur, l'intérêt, les alliances et « votre propre signature ne sont rien entre nous, « j'envoie mon cousin, le duc de Vendôme, à la « tête de mes armées pour vous expliquer mes « intentions. Il ne vous donnera que vingt-qua« tre heures pour vous déterminer.
Page 456 - CAR TEL EST NOTRE PLAISIR : et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, nous avons fait mettre notre scel à cesdites présentes.
Page 201 - ... quoique ma tendresse pour mes peuples ne soit pas moins vive que celle que j'ai pour mes propres enfants, quoique je partage tous les maux que la guerre fait souffrir à des sujets aussi fidèles, et que j'aie fait voir à toute l'Europe que je...
Page 168 - ... d'Estrées, au lieu de vous y faire entrer. Les gens comme nous doivent s'élever au-dessus des démêlés particuliers , et se conduire par rapport à leurs propres intérêts , et à ceux de leurs sujets qui sont toujours les mêmes...
Page 179 - Les marques de la confiance que vous prenez en « moi me font toujours un sensible plaisir. J'userai « aussi de cette même confiance pour vous avertir, « comme un fils que j'aime tendrement, qu'étant « maître et roi, il convient moins au rang où vous « êtes qu'à quelque état que ce soit de chercher des « détours pour expliquer vos véritables sentimens. La « crainte de quelque embarras domestique est une « raison trop foible pour vous obliger à déguiser la « vérité, que Votre...
Page 199 - J'ai parlé à mon neveu; il m'a protesté que, pendant son séjour en Espagne, il n'a jamais entré en rien de ce qui regardoit le gouvernement; il m'a pris même à témoin de son silence au sujet de mon ambassadeur, qu'il n'a pas songé, comme il est vrai, à faire rappeler.
Page 216 - J'informe le sieur de Bonnac en dé« tail de l'état de la négociation. Comme il vous en « rendra compte, il ne me reste qu'à vous assurer « que je ne souhaite pas moins la paix pour vous que « pour moi, et que je serai content quand je vous « verrai heureux, et solidement établi sur le trône « d'Espagne. C'est en y contribuant de tout mon « pouvoir que je veux vous faire connoître la tendre « amitié que j'ai pour vous. » Le Roi et la Reine, à la lecture de cette lettre, dont ils...
Page 25 - J'en serai fâché; mais il en faudra prendre un. Il a des talents; mais il n'en fait pas un bon usage. Il donne trop souvent à souper aux princes, au lieu de travailler; il néglige les affaires pour ses plaisirs; il fait attendre trop longtemps les officiers dans son antichambre; il leur parle avec hauteur, et quelquefois avec dureté.
Page 198 - ... et vous ne devez pas douter qu'elles « n'augmentent le désir que j'ai toujours eu de vous « maintenir dans le rang où il a plu à Dieu de vous « placer. Vous voyez que jusqu'à présent j'ai fait les « derniers efforts pour vous y conserver; et je n'exa« mine pas si le bien de mon royaume le demandoit.