Œuvres de Fénelon, archevêque de Cambrai, Volume 2Lefèvre, 1835 |
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... terre . Mon ar- gument est décisif . Vous le supposez par terre 1 , sans entreprendre d'y répondre . Vous triomphez seulement sur ce qu'il attaque saint Thomas . Mais Rép . à quatre lettr . , n . 47 , pag . S'il se croyoit obligé en ...
... terre . Mon ar- gument est décisif . Vous le supposez par terre 1 , sans entreprendre d'y répondre . Vous triomphez seulement sur ce qu'il attaque saint Thomas . Mais Rép . à quatre lettr . , n . 47 , pag . S'il se croyoit obligé en ...
Page 149
... Terre- » Sainte , tenant d'une main un flambeau allumé , » et de l'autre un vase plein d'eau . Comme on lui » demanda ce qu'elle vouloit faire , elle répondit » qu'elle vouloit brûler le paradis et éteindre l'en- » fer , afin que les ...
... Terre- » Sainte , tenant d'une main un flambeau allumé , » et de l'autre un vase plein d'eau . Comme on lui » demanda ce qu'elle vouloit faire , elle répondit » qu'elle vouloit brûler le paradis et éteindre l'en- » fer , afin que les ...
Page 184
... terre . LXXVII . Pour l'histoire d'un religieux de dis- tinction qui déclara , dit ce prélat , que je ne vou- lois pas qu'on pût dire que je changeasse rien par l'avis de M. de Meaux , elle m'est absolument in- connue . Je ne sais ni ...
... terre . LXXVII . Pour l'histoire d'un religieux de dis- tinction qui déclara , dit ce prélat , que je ne vou- lois pas qu'on pût dire que je changeasse rien par l'avis de M. de Meaux , elle m'est absolument in- connue . Je ne sais ni ...
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... terre . » Quoi ! n'y avoit- il point de salut pour lui à attendre la décision du pape , après lui avoir envoyé ses objections manu- scrites ? Mais si le pape n'avoit pas cru nécessaire que je me dédisse , ce prélat ne pouvoit - il ...
... terre . » Quoi ! n'y avoit- il point de salut pour lui à attendre la décision du pape , après lui avoir envoyé ses objections manu- scrites ? Mais si le pape n'avoit pas cru nécessaire que je me dédisse , ce prélat ne pouvoit - il ...
Page 187
... terre ? LXXXIII . Il est temps de revenir à madame Guyon , qui est le grand moyen dont M. de Meaux se sert pour rendre mon livre odieux par ma per- sonne qu'il suppose , suspecte . Je lui demande qu'il explique en termes précis ce qu'il ...
... terre ? LXXXIII . Il est temps de revenir à madame Guyon , qui est le grand moyen dont M. de Meaux se sert pour rendre mon livre odieux par ma per- sonne qu'il suppose , suspecte . Je lui demande qu'il explique en termes précis ce qu'il ...
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Common terms and phrases
actes actes d'espérance aime ames amour naturel auroit avez avoit béatitude besoin Cambrai causes occasionelles charité choses chrétiens cœur consolation contemplation contraire créature déja délibéré desirs dessein dire divine doctrine donner esprit est-ce éternelle étoient étoit François de Sales frères gloire grace Grégoire de Nazianze hommes Ibid impie indélibéré infiniment j'ai jamais Jésus-Christ juste l'ame l'amour l'auteur l'Écriture l'Église l'espérance l'homme l'intérêt propre l'ordre l'ouvrage de Dieu laisse libre arbitre livre madame Guyon Meaux ment mercenaire monde monseigneur motif n'étoit non-seulement ouvrage par-là parfait parfaite parle paroles pasteurs péché Père perfection personne persuasion peuples Pirot plaisir pourroit pouvoit prédestination prélat prescience prière pur amour qu'à qu'un quiétisme raison d'aimer retrancher rien s'il sagesse saint Augustin saint Cyprien saint Paul Saint-Esprit salut sect Seigneur sens sentiment seroit seul suppose Surin surnaturelle tion Verbe vérité vertus veut vicieux Voilà volontés particulières vouloir vous-même vrai
Popular passages
Page 295 - ... 0 profondeur des trésors de la sagesse et de la science de Dieu! que ses jugements sont incompréhensibles , et...
Page 479 - ... soient leur disposition ordinaire : autrement on obscurcit leur esprit, on abat leur courage; s'ils sont vifs, on les irrite; s'ils sont mous, on les rend stupides. La crainte est comme les remèdes violents qu'on emploie dans les maladies extrêmes; ils purgent, mais ils altèrent le tempérament et usent les organes : une âme menée par la crainte en est toujours plus faible.
Page 472 - Pour les filles , dit-on , il ne faut pas qu'elles soient savantes ; la curiosité les rend vaines et précieuses ; il suffit qu'elles sachent gouverner un jour leurs ménages , et obéir à leurs maris sans raisonner.
Page 208 - Quand vous le voudrez, je vous dirai comme à un confesseur tout ce qui peut être compris dans une confession générale de toute ma vie, et de tout ce qui regarde mon intérieur (4o).
Page 488 - Il n'est rien de plus fâcheux que de voir beaucoup de personnes, qui ont de l'esprit et de la piété, ne pouvoir penser à la mort sans frémir; d'autres pâlissent pour s'être trouvées au nombre de treize à table, ou pour avoir eu certains songes, ou pour avoir vu renverser une salière ; la crainte de tous ces présages imaginaires est un reste grossier du paganisme; faites-en voir la vanité et le ridicule. Quoique les femmes n'aient pas les mêmes occasions que les hommes de montrer leur...
Page 472 - Rien n'est plus négligé que l'éducation des filles. La coutume et le caprice des mères y décident souvent de tout. On suppose qu'on doit donner à ce sexe peu d'instruction.
Page 474 - Mais celles qui n'ont pas assez d'ouverture d'esprit pour ces curiosités, en ont d'autres qui leur sont proportionnées: elles Veulent, ardemment savoir ce qui se dit, ce qui se fait, une chanson, une nouvelle, une intrigue, recevoir des lettres, lire celles que les autres...
Page 484 - Vous pouvez vous servir de quelque personne qui sera libre avec l'enfant, et qui paroîlra désirer apprendre de lui son histoire : l'enfant sera ravi de la lui raconter. Ne faites pas semblant de l'entendre, laissez-le dire sans le reprendre de ses fautes. Lorsqu'il sera plus accoutumé à raconter , vous pourrez lui faire remarquer doucement la meilleure manière de faire une narration , qui est de la rendre courte , simple et naïve , par le choix des circonstances qui représentent mieux le naturel...
Page 271 - Qu'entendons-nous par le mot de providence? Ce n'est point seulement l'établissement des lois générales, ni des causes occasionnelles ; tout cela ne renferme que les règles communes que Dieu a mises dans son ouvrage en le créant. On ne dit point que c'est la providence qui tient la terre suspendue , qui règle le cours du soleil , et qui fait la variété des saisons ; on regarde ces choses comme les effets constants et nécessaires des lois générales que Dieu a mises d'abord dans la nature...
Page 484 - Animez vos récits de tons vifs et familiers ; faites parler tous vos personnages : les enfants, qui ont l'imagination vive, croiront les voir et les entendre. Par exemple, racontez l'histoire de Joseph ; faites parler ses frères comme des brutaux, Jacob comme un père tendre et affligé ; que Joseph parle lui-même ; qu'il prenne plaisir, étant maître en Egypte, à se cacher à ses frères, à leur faire peur, et puis à se découvrir.