Molière définissoit un médecin , un homme que l'on paie pour conter des fariboles dans la chambre d'un malade, jusqu'à ce que la nature l'ait guéri , ou que les remèdes l'aient tué. La Revue hebdomadaire - Page 133edited by - 1897Full view - About this book
| Gabriel Legué - 1895 - 302 pages
...aux accusations contenues dans cette saillie de Molière : « Un médecin est un homme que l'on paye pour conter des fariboles dans la chambre d'un malade...nature l'ait guéri ou que les remèdes l'aient tué. » Leur extérieur grotesque les désignait d'avance à la risée parterre. Le plus souvent, ils ne... | |
| Léon Vallée - French literature - 1903 - 568 pages
...aussi, reprit le docteur, comme il est mort. » Un médecin est un homme que l'on paie pour couler des fariboles dans la chambre d'un malade, jusqu'à...nature l'ait guéri ou que les remèdes l'aient tué. Furetière. Le médecin Vernage cessant l'exercice de la médecine disait « Je me retire ; je suis... | |
| Victor Du Bled - France - 1908 - 330 pages
...Molière, dans le Festin de Pierre, définit le médecin : « Un homme que l'on paie pour raconter des fariboles dans la chambre d'un malade, jusqu'à...nature l'ait guéri, ou que les remèdes l'aient tué. » L'habile médecin. Je ne sais, mais, mon cher docteur, J'éprouve certaine faiblesse, Des éblouissements...... | |
| Antoine Furetière - 1908 - 180 pages
...thé Fureteriana, Furetière is credited with thé sayiug: " Uu Médecin est un homme que l'on paye pour conter des fariboles dans la chambre d'un malade, Jusqu'à ce que la nature l'ait guery, ou que les remèdes Payent tué." (Ed. T. Guillain, Paris, 169(5, p. 211.) Ll. 129-130: l'Autlieur... | |
| Académie nationale des sciences, belles-lettres et arts de Bordeaux - Science - 1928 - 402 pages
...bien, en effet, un avocat, dit-on, qui a défini le médecin : « Un homme que l'on paie pour dire des fariboles dans la chambre d'un malade jusqu'à...nature l'ait guéri, ou que les remèdes l'aient tué. » Et c'est aussi un médecin qui traitait les avocats de cymbales sonores rendant le son voulu par... | |
| Georges Grimmer - 1962 - 88 pages
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