| François-Alphonse Aulard - France - 1882 - 594 pages
...toujours rapprocher, toujours réunir; des hommes qui substituent ainsi l'irascibilité de l'amour-propre au culte de la patrie, et se livrent les uns les autres aux préventions populaires (1). , Et moi aussi, on voulait, il ya peu de jours, me porter en triomphe; et maintenant on crie dans... | |
| France - 1883 - 606 pages
...toujours rapprocher, toujours réunir; des hommes qui substituent ainsi l'irascibilité de l'amour propre au culte de la patrie, et se livrent les uns les autres...populaires. Et moi aussi on voulait, il ya peu de jours, — 700 — me porter en triomphe, et maintenant l'on crie dans les rues : LA GRANDE TRAHISON DU COMTE... | |
| Napoléon Maurice Bernardin - 1884 - 474 pages
...toujoursrapprocher, toujours réunir ; des hommes qui substituent ainsi l'irascibilité de l'amour-propre au culte de la patrie, et se livrent les uns les autres aux préventions populaires ! El moi aussi, on voulait, il ya peu de jours, me porter en triomphe, et maintenant on crie dans les... | |
| Villemain (M.) - French literature - 1884 - 434 pages
...toujours rapprocher, toujours réunir; des hommes qui substituent ainsi l'irascibilité de l'amour^ propre au culte de la patrie, et se livrent les uns les autres aux préventions populaires. fit moi aussi, on voulait, il ya peu de jours, me porter en triomphe; et maintenant on crie dans les... | |
| Blaise Pascal - 1886 - 626 pages
...sur le droit de faire la paix et la guerre : • .... Et moi aussi, on voulait il ya peu de jours nie porter en triomphe, et maintenant on crie dans les rues : La grande trahison, du comte de Mirabeau! > 3. L'in-4 et les autres éditions : « .... d'utilité en cela.... • En vérité, lui dis-je, je... | |
| Edmond Rousse - 1891 - 240 pages
...l'Assemblée. Rien ne put ébranler sa constance : « Et moi aussi, dit-il au début de sa réplique, on voulait, il ya peu de jours, me porter en triomphe;...on crie dans les rues : La grande trahison du comte do Mirabeau! Je n'avais pas besoin de cette leçon pour savoir qu'il est peu de distance du Capitole... | |
| Edmond Rousse - 1891 - 236 pages
...l'Assemblée. Rien ne put ébranler sa constance : « Et moi aussi, dit-il au début de sa réplique, on voulait, il ya peu de jours, me porter en triomphe; et maintenant on crie dans les rues : La grande traliison du comte de Mirabeau! Je n'avais pas besoin de cette leçon pour savoir qu'il est peu de... | |
| Eugène Geruzez - French literature - 1891 - 486 pages
...populaires! » C'est alors qu'au souvenir de l'ovation décernée la veille à Barnave, il s'écrie : « Et moi aussi, on voulait il ya peu de jours me porter en triomphe, et maintenant on cric dans les rues la grande trahison du comte de Mirabeau!... Je n'avais pas besoin de cette leçon... | |
| Henry Morse Stephens - France - 1892 - 574 pages
...rapprocher, toujours réunir ; des hommes, qui substituent ainsi l'irascibilité de l'amour-propre au culte de la patrie, et se livrent les uns les autres...; et maintenant, on crie dans les rues : LA GRANDE TBAHISON DU COMTE DE M1BABEAU ... Je n'avais pas besoin de cette leçon pour savoir qu'il est peu de... | |
| I.-A. Rayeur - France - 1892 - 292 pages
...hommes qui substituent ainsi l'irascibilité de l'amour-propre au culte de la patrie, ot so livront les uns les autres aux préventions populaires ! Et moi aussi, on voulait, il ya peu do jours, mu porter en triomphe, et maintenant on crie daim luN rues la grande trahison du comte de... | |
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