concours permanent des vues politiques de votre » gouvernement avec les vœux de votre peuple la » condition indispensable de la marche régulière » des affaires publiques. Sire, notre loyauté, notre » dévouement nous condamnent à vous dire que... Oeuvres - Page 7by Pierre Antoine Berryer - 1885Full view - About this book
| François Guizot - France - 1863 - 610 pages
...vœux de votre peuple, la condition indispensable de la marcbe régulière des affaires publiques. Sire, notre loyauté, notre dévouement, nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas. s La liberté politique était ainsi proclamée en principe et appliquée aux circonstances du moment,... | |
| Hermile Reynald - France - 1863 - 514 pages
...gouvernement avec votre peuple, la condition indispensable de la marche régulière des affaires publiques. Sire, notre loyauté, notre dévouement nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas. » C'était une véritable déclaration de guerre ; un amendement présenté par M. Lorgeril et suggéré... | |
| François Guizot - 1863 - 584 pages
...vœux de votre peuple, la 'condition indispensable de la marche régulière des affaires publiques. Sire, notre loyauté, notre dévouement, nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas. » La liberté politique était ainsi proclamée en principe et appliquée aux circonstances du moment,... | |
| comte Louis Gustave Le Doulcet de Pontécoulant - 1863 - 972 pages
...vœux de votre peuple, la condition indispensable de la marche régulière des affaires publique>Sire, notre loyauté, notre dévouement, nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas. t Une déliance injuste des sentiments et de la raison de la France est aujourd'hui la pensée fondamentale... | |
| Pierre Sébastien Laurentie - 1867 - 478 pages
...vœux de votre peuple , la condition indispensable de la marche régulière des affaires publiques. Sire, notre loyauté, notre dévouement nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas. » C'était une rupture constitutionnelle manifestement énoncée; et de quelque façon que les opinions... | |
| Achille Tenaille de Vaulabelle - 1868 - 506 pages
...les vœux de votre peuple la condition indispensable de la marche régulière des affaires publiques. Sire, notre loyauté, notre dévouement, nous condamnent à vous dire QUE CE COKCOURS N'EXISTE PAS. a Une défiance injuste des sentiments et de la raison de la France est aujourd'hui... | |
| Marc Antoine Calmon - 1870 - 548 pages
...publiques, n'existait pas, et elle ajoutait : « Une défiance injuste des sentiments et d^ la raison d; la France est aujourd'hui la pensée fondamentale de l'administration. Votre peuple s'en afilige, parce qu'elle est injurieuse pour lui; il s'en inquiète, parce qu'elle est une menace pour... | |
| François Guizot - Europe - 1872 - 550 pages
...indispensable de la marche régulière des affaires publiques. Sire, notre loyauté, notre dévouement nom condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas....défiance injuste des sentiments et de la raison de 11 France est aujourd'hui la pensée fondamentale de l'administration ; votre peuple s'en afflige,... | |
| Pierre-Antoine Berryer - France - 1872 - 508 pages
...régulière des affaires publi« ques. Sire, notre loyauté, notre dévouement nous condamnent à c vous dire que ce concours n'existe pas. » Une défiance...injuste des sentiments et de la raison de la France • ett aujourd'hui la pensée fondamentale de l'administration. Votre " |>euple s'en afflige, parce... | |
| Alphonse Maréchal - France - 1872 - 506 pages
...successivement la parole. A ce moment, on arriva au paragraphe où se trouvait la fameuse phrase: « Sire, notre loyauté, notre dévouement, nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas. » II s'agissait, on se le rappelle, du « concours permanent » des vues politiques du gouvernement... | |
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