En vous parlant peut-être pour la dernière fois, je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien , et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité. Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement; mais mon cœur est déchiré... Gazette des nouveaux tribunaux - Page 3641793Full view - About this book
| Louis-Pierre Anquetil - 1845 - 674 pages
...parlant » peut-être pour la dernière fois. Je vous déclare que ma con» science ne me reproche rien, et que mes défenseurs ne vous ont » dit que la vérité. Je n'ai jamais craint que ma conduite fût exa» minée publiquement; mais mon cœur est déchiré de trouver » dans l'acte d'accusation l'imputation... | |
| Frédéric Alfred P. comte de Falloux - 1846 - 358 pages
...fini de parler, Louis XVI se leva et prononça ces mots d'une voix pleine de fermeté : défenseurs no vous ont dit que la vérité. Je n'ai jamais craint...le sang du peuple, et surtout que les malheurs du 10 août me soient attribués. J'avoue que les preuves multipliées que j'avais données, dans tous... | |
| France - 1847 - 478 pages
...fois , je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien, et que mes défenseurs vous ont dit la vérité. « Je n'ai jamais craint que ma conduite...le sang du peuple , et surtout que les malheurs du 10 août me soient attribués. J'avoue que les gages multipliés que j'avais donnés , dans tous les... | |
| Cléry (M.) - France - 1847 - 500 pages
...dernière fois, je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien, et que mes défenseurs vous ont dit la vérité. « Je n'ai jamais craint que ma conduite...le sang du peuple, et surtout que les malheurs du 10 août me soient attribués. J'avoue que les gages multipliés que j'avais donnés, dans tous les... | |
| François Barrière, Mathurin Lescure - France - 1847 - 492 pages
...dernière fois, je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien, et que mes défenseurs vous ont dit la vérité. « Je n'ai jamais craint que ma conduite...d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple, et sui'tout que les malheurs du 10 août me soient attribués. J'avoue que les gages multipliés que j'avais... | |
| Alphonse de Lamartine - France - 1847 - 450 pages
...parlant peut-être pour la der» nière fois , je vous déclare que ma conscience ne » me reproche rien et que mes défenseurs ne vous » ont dit que la vérité....mon » cœur est déchiré de trouver dans l'acte d'accusa» tion l'imputation d'avoir voulu faire répandre le » sang du peuple , et surtout que les... | |
| Alphonse de Lamartine - France - 1847 - 616 pages
...parlant peut-être pour la der« nière fois , je vous déclare que ma conscience ne me « reproche rien et que mes défenseurs ne vous ont dit que « la vérité. Je n'ai jamais craint que ma conduite fût exa« minée publiquement; mais mon cœur est déchiré de « trouver dans l'acte d'accusation l'imputation... | |
| Alphonse de Lamartine - France - 1847 - 428 pages
...parlant peut-être pour la dernière » fois, je vous déclare que ma conscience ne me » reproche rien et que mes défenseurs ne vous ont » dit que la vérité. Je n'ai jamais craint que ma con» duite fût examinée publiquement ; mais mon cœur » est déchiré de trouver dans l'acte d'accusation... | |
| abbe Antoine Eugene de Genoude - 1848 - 654 pages
...vous parlant peut-être pour la dermère fois, je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien, et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité....mais mon cœur est déchiré de trouver dans l'acte d'accnsation l'imputation d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple, et surtout que les malheurs... | |
| René François Rohrbacher - Church history - 1848 - 676 pages
...devant l'histoire : songez qu'elle jugera votre jugement, et que le sien sera celui des siècles. » l'imputation d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple, et surtout que les malheurs du dix août me soient attribués. J'avoue que les preuves multipliées que j'avais données, dans tous... | |
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