 | L. Esp. J. V. Claravali del Curso - France - 1850 - 634 pages
...d'abandonner mes enfants. Vous savez que je n'existais que pour eux. Et vous , ma bonne et tendre soîur, vous qui avez par votre amitié tout sacrifié pour...dans quelle position je vous laisse ! J'ai appris dans le plaidoyer même du procès , que ma fille était séparée de vous (1). Hélas ! la pauvre... | |
 | Alphonse de Lamartine - France - 1851 - 1002 pages
...d'abandonner mes pauvres enfants; vous savez que je n'existais que pour eux et vous : vous qui avez par voire amitié tout sacrifié pour être avec nous. Dans...appris, par le plaidoyer même du procès, que ma fille était séparée de vous! Hélas ! la pauvre enfant, je n'ose pas lui écrire ; elle ne recevrait pas... | |
 | Alphonse Marie Louise de Lamartine - 1852 - 678 pages
...n'existais que par eux et dans ma « bonne et tendre sœur: vous qui avez par amitié tout « sacrifie pour être avec nous, dans quelle position je vous...par le plaidoyer même du procès, que « ma fille était séparée de vous. Hélas! la pauvre enfant! « je n'ose pas lui écrire : elle ne recevrait... | |
 | Alphonse de Lamartine - France - 1852 - 376 pages
...tendre sœur : vous qui avez par amitié » tout sacrifié pour être avec nous , dans quelle position v je vous laisse! J'ai appris, par le plaidoyer même du » procès, que ma fille était séparée de vous. Hélas! la » pauvre enfant ! je n'ose pas lui écrire : elle ne recevrait... | |
 | L. de Saint-Germain - 1853 - 230 pages
...profond regret d'abandonner mes pauvres enfants; vous savez que je n'existais que pour eux et pour vous , vous qui avez , par votre amitié , tout sacrifié...être avec nous. Dans quelle position je vous laisse I... J'ai appris, par le plaidoyer même du procès, que ma fille étai t séparée de vous. Hélas... | |
 | Charles Augustin Sainte-Beuve - Authors, French - 1853 - 466 pages
...reproche rien ; j'ai un profond regret d'abandonner mes pauvres enfants. Vous savez que je n'existais que pour eux; et vous, ma bonne et tendre sœur, vous qui avez par voire amitié tout sacrifié pour être avec nous, dans quelle position je vous laisse!... » Les sentiments... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1853 - 468 pages
...reproche rien. J'ai un profond reo gret d'abandonner mes pauvres enfants. Vous » savez que je n'existais que pour eux ; et vous, ma » bonne et tendre sœur, vous qui avez par amitié » tout sacrifié pour être avec nous, dans quelle po» sition je vous laisse! J'ai appris,... | |
 | Achille de Vaulabelle - 1855 - 544 pages
...reproche rien. J'ai un profond regret d'abandonner mes pauvres enfants. Vous savez que je n'existais que pour eux et vous, ma bonne et tendre sœur; vous qui avez, par amilié, tout sacrifié pour dire avec nous, dans quelle position je vous laisse ! « J'ai appris,... | |
 | Michel Joseph P. Picot - 1856 - 554 pages
...reproche rien. J'ai un profond regiet d'aban» donner mes pauvres enfants; vous savez que je n'existe que pour eux et » vous, ma bonne et tendre sœur; vous qui ave/ p ir votre amitie tout si» crifié pour être avec nous. Dans quelle position je vous l.iisse!... | |
 | Théodore-Henri Barrau - France - 1857 - 550 pages
...reproche rien. J'ai un profond regret d'abandonner mes pauvres enfants. Vous savez que je n'existais que pour eux et vous, ma bonne et tendre sœur ; vous...appris par le plaidoyer même du procès, que ma fille était séparée de vous. Hélas! la pauvre enfant! je n'ose pas lui écrire ; elle ne recevrait pas... | |
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Je suis calme comme on l'est, quand la conscience ne reproche rien, j'ai un profond regret d'abandonner mes pauvres enfants ; vous savez que je n'existais que pour eux, et vous, ma bonne et tendre sœur ; vous qui avez par votre amitié... 
