 | Alcide Beauchesne - France - 1866 - 578 pages
...reproche rien ; j'ai un profond regret d'abandonner mes pauvres enfants; vous savez que je n'existais que pour eux; et vous, ma bonne et tendre sœur, vous...avec nous, dans quelle position je vous laisse ! J'ai 1 D'après un témoignage isolé, « la Heine ne rentra point dans la chambre (|u'elle avait occupée... | |
 | Henry Barbet de Jouy - 1866 - 304 pages
...reproche rien. J'ai un profond regret d'abandonner mes pauvres enfants : vous savez que je n'existais que pour eux et vous, ma bonne et tendre sœur, vous...être avec nous, dans quelle position je vous laisse I J'ai appris dans le plaidoyer même du procès que ma fille était séparée de vous. Hélas ! la... | |
 | Alexandre Dumas - France - 1867 - 328 pages
...regret d'abandonner mes pauvres enfants; vous savez que je n'existais que pour eux et pour vous. Vous avez, par votre amitié, tout sacrifié pour être...appris, par le plaidoyer même du procès, que ma fille était séparée de vous. Hélas! la pauvre enfant, je n'ose pas lui écrire, elle ne recevrait pas... | |
 | Alexandre Dumas - France - 1867
...regret d'abandonner mes pauvres enfants; vous savez que je n'existais que pour eux et pour vous. Vous avez, par votre amitié, tout sacrifié pour •être...appris, par le plaidoyer même du procès, que ma lille était séparée de vous. Hélas! la pauvre enfant, je n'ose pas lui écrire, elle ne recevrait... | |
 | Paul de Kock - 1867 - 304 pages
...mes pauvres enfants. Vous savez que je n'existais que pour eux. « Et vous, ma tendre et bonne soeur, vous qui avez, par votre amitié, tout sacrifié pour être avec nous, dans quelle position je vous laissel — J'ai appris dans le plaidoyer même du procès que ma fille était séparée de vous. Hélas... | |
 | Alcide de Beauchesne - France - 1868 - 618 pages
...reproche rien ; j'ai un profond regret d'abandonner mes pauvres enfants; vous savez que je n'existais que pour eux; et vous, ma bonne et tendre sœur, vous...appris par le plaidoyer même du procès que ma fille était séparée de vous. Hélas! la pauvre enfant, je n'ose pas lui écrire, elle ne recevrait pas... | |
 | Karl de baron Ketschendorf - Trials (Political crimes and offenses) - 1869 - 494 pages
...reproche rien. » J'ai un profond regret d'abandonner mes pauvres enfants; vous savez que je n'existais que pour eux et vous, ma bonne et tendre sœur ! vous...Dans quelle position je vous laisse! » J'ai appris dans le plaidoyer même du procès que ma fille était séparée de vous. Hélas! la pauvre enfant,... | |
 | France. Assemblée nationale - France - 1869 - 1056 pages
...vous, ma bonne et tendre sœur, vous 0 qui avez, par votre amitié, tout saerilié pour « être avoc nous ; dans quelle position je vous « laisse! J'ai...appris par le plaidoyer même du « procès que ma lille était séparée de vous. Hé• las! la pauvre enfant, je n'ose pas lui écrire, • elle ne... | |
 | Alphonse de Lamartine - France - 1869 - 114 pages
...savez que je n'existais que " pour eux et vous : vous qui avez par votre amitié tout " f acrifié pour être avec nous. Dans quelle position je " vous laisse ! J'ai appris, par le plaidoyer munie du " procès, que ma fille était séparée de vous ! líélas ! la " pauvre enfant, je n'ose... | |
 | France - 1869 - 872 pages
...rien : j'ai un pro« fond regret d'abandonner mes pauvres en• fants; vous savez que je n'existais que pour « eux et vous, ma bonne et tendre sœur, vous « qui aveu, par votre amitié, tout sacrifié pour « être avec nous ; dans quelle position je vous « laisse!... | |
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Je suis calme comme on l'est, quand la conscience ne reproche rien, j'ai un profond regret d'abandonner mes pauvres enfants ; vous savez que je n'existais que pour eux, et vous, ma bonne et tendre sœur ; vous qui avez par votre amitié... 
